Une consommation régulière de champignons, associée à un risque plus faible de cancer, c’est la conclusion de cette équipe de nutritionnistes de la Penn State, à paraître dans la revue Advances in Nutrition. Cette revue systématique et méta-analyse de 17 études sur le cancer portant au total sur plus de 19.500 patients atteints de cancer permet de préciser la relation entre la consommation de champignons et le risque de cancer, via un anti-oxydant bénéfique, l’ergothionéine.
Cette étude d’une équipe de l'Université Queen Mary de Londres documente un peu plus le lien entre la viande rouge et les maladies cardiaques. Cette large étude observationnelle, menée auprès de 20.000 participants, confirme qu'une plus grande consommation de viande rouge et transformée est associée à une dégradation de la fonction cardiaque. Des travaux présentés à l’ESC Preventive 2021, qui décrivent pour la première fois par le menu les effets physiologiques d’un apport excessif sur le système cardiovasculaire.
Une carence en vitamine D peut altérer la fonction musculaire en raison d'une réduction de la production d'énergie dans les muscles, par les mitochondries : des souris carencées en vitamine D présentent ici une fonction mitochondriale musculaire altérée, avec des implications sur la fonction musculaire, les performances et la récupération. L’étude, publiée dans le Journal of Endocrinology, rappelle que la prévention d'une carence en vitamine D chez les personnes âgées pourrait aussi contribuer à préserver la fonction et la force musculaires au cours du vieillissement, et donc participer au maintien de l’autonomie de la personne âgée.
Perdre du poids grâce à l'exercice ? Oui, mais si l'activité physique nous incitait aussi à manger plus et à consommer plus de calories que celles dépensées ? Cette étude de la Technical University of Munich (TUM) et de l'Université du Nebraska (États-Unis) s’est penchée sur cette question, curieusement pour la première fois. Les conclusions, présentées dans la revue Nutrients apportent également quelques conseils aux patients mais aussi aux nutritionnistes.
Cette étude expérimentale montre sur des tissus cérébraux humains l’action bénéfique d’un dérivé de la vitamine A, l’acide rétionique, sur la santé synaptique et la connectivité du cerveau. En décryptant l’action de ce composé sur la plasticité cérébrale, ces travaux, publiés dans la revue eLife, contribuent à expliquer le bénéfice cognitif de la vitamine A, déjà documenté par de précédentes études.
Mais comment la leptine, une hormone fabriquée par la graisse corporelle, supprime-t-elle l'appétit ? Cette étude d’une équipe d’endocrinologues de l'Université d'Utrecht décrypte pour la première fois un nouveau neurocircuit qui en connectant via la leptine, les réserves de graisse corporelle et le système de récompense de la dopamine du cerveau régule ou peut réguler les comportements alimentaires. Ces travaux, menés chez l’animal et publiés dans la revue Biological Psychiatry, expliquent comment l’hormone leptine freine la suralimentation et ouvrent de nouvelles perspectives pour lutter contre l’obésité.
Une substance chimique du cerveau appelée enképhaline qui provoque un signal d’envie similaire à celui de l'opium -ou des opioïdes- en cas de consommation de chocolat ? L’injection de cette même substance synthétisée dans le cerveau qui déclenche un état compulsif chez l’animal ? Ces deux constatations peuvent-elles suggérer que le chocolat pourrait entraîner une addiction aussi élevé que l'opium ?
Les conservateurs utilisés dans des centaines d'aliments populaires peuvent nuire au système immunitaire, alerte cette équipe de l'EWG, une association environnementale américaine à but non lucratif vouée à la protection de la santé humaine et de l'environnement. Cette analyse des données du ToxCast (US Environmental Protection Agency’s Toxicity Forecaster) a permis cette évaluation des risques pour la santé, associés aux produits chimiques les plus couramment ajoutés aux aliments, y compris les substances perfluoroalkylées (PFAS), qui peuvent migrer vers les aliments, à partir de leurs conditionnements.
Nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau avec cette analyse des effets du sucre sur le développement cérébral de l’Enfant, via le microbiote intestinal. L’équipe de l’University of Georgia décrypte ici, dans la revue Translational Psychiatry, comment une consommation élevée de sucre à l'enfance affecte l'apprentissage et la mémoire.
Des données à prendre en compte par les parents alors que les enfants sont les plus gros consommateurs de sucre ajouté.
L’observance de ces 2 facteurs de mode de vie, la pratique régulière de l’exercice et une alimentation saine, à partir de la quarantaine est synonyme de bénéfice considérable en matière de santé cardiométabolique plus tard dans la vie. C’est la conclusion de cette récente analyse des données de la « fameuse » Framingham Heart Study publiée dans le Journal of the American Heart Association (JAHA).
![]() |
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
![]() |
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |