Ces hydrates de carbone fermentescibles, ou leur produit, l'acétate de cellulose, testés ici avec succès sur des souris, restent à tester chez l’Homme. Reste également à trouver une formulation riche en hydrates de carbone fermentescibles, sûre et acceptable car en trop grande quantité, ils peuvent entrainer la diarrhée, des ballonnements, des douleurs intestinales et des flatulences. Cependant, la piste, décrite dans la revue Nature Communications semble très prometteuse.
Si la chirurgie de l’obésité ou chirurgie bariatrique accumule les preuves de son efficacité contre le diabète, elle montre aussi ici, avec cette étude de l'Université de Floride du Sud (Tampa) son efficacité dans la stéatose hépatique non alcoolique. Ces conclusions, présentées à la Digestive Disease Week, montrent même une inversion de la fibrose du foie lorsqu’à stade précoce, l'épaississement et la cicatrisation des tissus hépatiques.
Être obèse à 25 ans augmente le risque d’obésité sévère à 35 ans certes. Mais, selon cette étude de l'Université de New York, c’est le poids en soi à 35 ans ou plus, plutôt que de la durée de l'obésité qui reste le meilleur indicateur du risque cardiovasculaire et métabolique. Ces données, publiées dans l’édition de juin de l'American Journal of Preventive Medicine, sont un encouragement à prévenir toute prise de poids supplémentaire, chez les jeunes déjà en surpoids.
Stigmatiser peut décourager tout effort « anti-obésité », rappelle, s’il le fallait, cette étude californienne (UCLA). Ses conclusions, publiées dans le Jama Pediatrics, qui semblent de bon sens, montrent que la stigmatisation va même favoriser, chez les jeunes filles, le développement de l’obésité. A 10 ans, « être traitée de grosse » par un parent ou un camarade, c’est un risque accru de 66% d’être obèse à 19 ans.
Tout est question de mesure, mais comme pour tout le monde, regarder la télévision pendant les repas, est déconseillé aux femmes enceintes, sous peine de prendre de mauvaises habitudes, ensuite pour l’alimentation de son enfant. Alors que le risque d’obésité pour l’enfant commence in utero en cas de prise de poids trop élevée de la mère, ses bonnes habitudes alimentaires se prennent aussi durant la grossesse de sa mère.
En 2030, 9 hommes sur 10 seront en surpoids ou obèses en Irlande ; à partir de l’âge de 40 ans, les adultes européens prennent en moyenne 1 kilo par an ; Ces quelques repères nous sont apportés par cet abstract du Congrès EuroPRevent 2014. Une étude qui estime la prévalence de l'obésité dans 53 pays européens d'ici à 2030, prévoit une véritable submersion par les maladies non transmissibles déjà principales causes de décès en Europe.
Des sociétés savantes, des associations de professionnels de santé et de la nutrition, d’acteurs de terrain, de consommateurs et de patients s’associent pour lancer une grande pétition citoyenne pour que soit mis en place un étiquetage nutritionnel simple, intuitif et compréhensible par tous sur la face avant des emballages des aliments. Une étape indispensable dans la lutte contre l’obésité et ses comorbidités.
Les enfants qui, à la petite enfance, dorment moins que le nombre d’heures recommandées voient leur « adiposité » globale ou graisse corporelle augmenter dès l’âge de 7 ans, révèle cette étude menée par des chercheurs du Massachusetts General Hospital, dépendant de la Harvard Medical School. Ces conclusions, publiées dans l’édition de juin de la revue Pediatrics, apportent des preuves convaincantes sur le lien entre un sommeil insuffisant et l'obésité infantile et cela quelle que soit la période de la petite enfance mais montre également, sur plus de 1.000 enfants, qu'un enfant sur 3 environ, ne dort pas suffisamment.
L’absence de surpoids pour un enfant, ne signifie pas obligatoirement une bonne composition corporelle. Cette étude « FitKids » de l’Université de l'Illinois montre que les enfants qui pratiquent une activité physique ont, entre autres bénéfices, une meilleure distribution de leur graisse corporelle -indépendamment de leur poids- et en particulier moins de graisse abdominale, un facteur de risque de diabète et de maladies cardiaques plus tard dans la vie.
Inutile de redémontrer que l’adiposité et un IMC trop élevé à l'âge adulte favorise le risque cardiaque plus tard dans la vie, dont l’athérosclérose, l’hypertension artérielle et le diabète. Il reste à démontrer que perdre un excès de poids ou de la graisse corporelle peut favoriser l’effet iverse. C’est chose faite avec cette étude publiée dans le Lancet Diabetes & Endocrinology qui montre qu’à tout âge, les adultes qui perdent du poids vont améliorer leur santé cardiovasculaire.
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