Il nous reste à découvrir les multiples bénéfices, spécifiques à chaque nutriment et aliment frais, ou à leur combinaison dans le cadre du régime alimentaire. Ici, c’est la tomate qui présente des avantages jusque-là inconnus, avec cette étude de biologistes de l’Ohio State University, qui révèle dans la revue Microbiology Spectrum, des effets favorables sur le microbiote intestinal.
Les tomates représentent environ 22 % de l'apport en légumes dans les régimes alimentaires occidentaux et de précédentes recherches ont associé la consommation de tomates à un risque réduit de développement de diverses affections, notamment les maladies cardiovasculaires et certains cancers.
On estime que plus de 30 % des patients insuffisants cardiaques utilisent des médecines complémentaires et alternatives. Mais quels sont les avantages, ou les risques possibles de ces alternatives pour l'insuffisance cardiaque ? Existe-t-il des thérapies alternatives et non médicamenteuses véritablement efficaces ? Cette nouvelle déclaration scientifique de l'American Heart Association (AHA) nous offre, dans la revue Circulation, un état actualisé de la science sur le sujet.
Les aliments ultra-transformés sont bien liés aux décès prématurés et il faudrait leur préférer les produits frais, c’est la confirmation de cette équipe d’épidémiologistes et de nutritionnistes de l’Université de São Paulo. Selon ces données publiées dans l'American Journal of Preventive Medicine, concernant le Brésil mais applicables à d’autres pays à mode de vie occidental, la consommation d'aliments ultra-transformés contribue à près de 60.000 décès prématurés chaque année.
La vitamine D est rarement évoquée dans le traitement, même en appoint, de la dépression. Cette analyse menée à l’University of Eastern Finland suggère qu’une telle supplémentation pourrait pourtant atténuer les symptômes dépressifs. Ces données présentées dans les Critical Reviews in Food Science and Nutrition, issues de l’analyse de dizaines d'études du monde entier, vont donc mériter de nouveaux essais cliniques sur l’efficacité thérapeutique de la vitamine contre les symptômes dépressifs responsables d’une charge de morbidité élevée.
De nombreux parents adoptent des habitudes alimentaires et des aliments malsains pour compenser l’absence d'activités, inabordables pour certains ménages, conclut cette analyse de chercheurs du Centre for Food Policy at City, University of London. Ainsi, le fast food et la malbouffe viennent remplacer des activités culturelles et des loisirs trop onéreux, dans l’objectif d’apporter un sentiment de bien-être au foyer. Ainsi, ce facteur « plaisir » et « compensation » peu documenté, vient s’ajouter, pour ces ménages aux facteurs plus classiques d’accès ou de disponibilité, de coût des aliments et d’organisation du temps de travail dans le choix de l’alimentation et des habitudes alimentaires.
Cette équipe de nutritionnistes de l’Université Flinders (Australie) le dit, le craving ou le désir insatiable de boissons sucrées et/ou caféinées, existe et se développe, au même titre que l’envie de fumer ou de consommer une boisson alcoolisée. Si ces résultats peuvent paraître peu surprenants, l’étude, publiée dans la revue Eating Behaviors, sensibilise à ces envies de boissons gazeuses et de café (sucré), déclenchées par de tout autres facteurs que la soif, et qui conduisent à des apports plus élevés en sucre.
Les femmes vivent déjà plus longtemps, elles pourraient vivre encore mieux, avec une alimentation adaptée, souligne cette équipe de nutritionnistes de l’Université de Géorgie (UGA). L’étude, publiée dans la revue Nutritional Neuroscience, éclaire encore un peu plus l’importance du facteur alimentation et précise le rôle bénéfique d’antioxydants spécifiques, des fruits et de légumes, contre les problèmes de santé des femmes. Ces bénéfices sont particulièrement marqués contre les pathologies qui touchent les femmes de manière disproportionnée, comme la DMLA ou encore les démences.
Une consommation élevée de poisson peut être associée à un risque accru de mélanome, conclut cette équipe de l'Université Brown (Providence) : c’est aussi le cas, avec la consommation de poisson non frit, conclut cette vaste étude publiée dans la revue Cancer Causes & Control, qui appelle à mener une enquête plus approfondie. En effet, jusqu’à cette recherche, les études précédentes portant sur l’association entre la consommation de poisson et le risque de mélanome ont plutôt abouti à des résultats contradictoires.
Jusque-là, ce sont les bénéfices sur la santé physique du jeûne intermittent qui ont été surtout documentés, ainsi que son effet sur la longévité. Cette nouvelle étude menée par une équipe de l’University of Southern California et publiée dans les Cell Reports, révèle que le jeûne intermittent pourrait aussi présenter des avantages pour la santé cognitive : ici, un régime imitant le jeûne réduit les signes de démence chez la souris.
Plus l’empreinte carbone de l’alimentation est faible, et plus la réduction du taux de cholestérol sanguin est élevée, conclut cette équipe de nutritionnistes de l'Hôpital St. Michael's et de l'Université de Toronto qui prend en compte le rôle de l'alimentation simultanément dans la réduction des émissions de carbone et dans l'amélioration de la santé. L’étude, présentée dans l’American Journal of Clinical Nutrition soutient ainsi le régime végétalien à faible teneur en glucides pour des avantages pour la santé, similaires au régime végétarien.
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