Ces scientifiques du Terasaki Institute for Biomedical Innovation (Los Angeles) décryptent et nous expliquent comment les régimes occidentaux, riches en fructose et en graisses, finissent par déclencher le développement d’un diabète de type 2 : En augmentant le métabolisme du fructose dans l'intestin grêle, ils entraînent la libération d'un métabolite spécifique du fructose qui endommage les cellules bêta pancréatiques productrices d'insuline.
Ce n’est pas la première étude à documenter l’axe intestin-cerveau, mais c’est la première à confirmer un lien génétique flagrant entre la maladie d'Alzheimer et la santé intestinale, un lien qui implique aussi les lipides sanguins dont le cholestérol. Menés par une équipe de neurologues et gastroentérologues de l’Université Edith Cowan (Australie), ces travaux, publiés dans la revue Communications Biology, pourraient contribuer à une détection plus précoce de la neurodégénérescence et au développement de nouveaux traitements.
Cette étude de la Loma Linda University (Californie) associe la consommation de lait de vache à un risque accru de cancer de la prostate. En cause dans cette association, le calcium et certaines protéines laitières. Ces données, publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition, incitent leurs auteurs à conseiller aux hommes à risque plus élevé de cancer de la prostate, à opter pour une consommation « prudente » de produits laitiers.
Le régime végétalien offre de nombreux avantages mais est-ce une option thérapeutique en soi pour lutter contre le diabète ? C’est la conclusion de cette méta-analyse d’endocrinologues et de nutritionnistes du Steno Diabetes Center de Copenhague : le régime végétalien favorise la perte de poids et la baisse de la glycémie chez les adultes diabétiques de type 2. Ces conclusions, présentées lors de l’European Congress on Obesity (ECO, Maastricht) sont donc en faveur de ce régime alimentaire, pour un meilleur contrôle de la glycémie.
Les fluctuations du poids corporel résultant d'une réduction et d'une augmentation drastique des calories peuvent-elles entraîner des changements physiologiques qui augmentent le risque de maladie cardiaque ou de diabète plus tard dans la vie ? Oui, répond cette équipe d’endocrinologues et de nutritionnistes de l'Université de Georgetown à Washington : les variations spectaculaires de l'apport alimentaire et les carences nutritionnelles associées peuvent avoir des effets délétères sévères, à long terme sur la santé cardiovasculaire et le métabolisme.
Quels peuvent être les avantages d’un régime alimentaire pour prévenir ou réduire la progression de la maladie arthritique ? Cette équipe de l’Université de Manchester jette un regard plutôt dubitatif sur les bénéfices possibles de certains aliments. En dépit de certains avantages nutritionnels déjà documentés, l’étude, présentée dans la revue RMD Open conclut que le régime alimentaire est peu susceptible ou très marginalement, de lutter ou au contraire de favoriser la progression de l’arthrose ou de la polyarthrite rhumatoïde.
Un supplément protéiné, qui aide à contrôler le diabète de type 2 nous est présenté par cette équipe de diabétologues de l’Université de Newcastle : la consommation d'une petite quantité de protéines de lactosérum avant les repas aide les personnes atteintes de diabète de type 2 à contrôler leur glycémie, selon cette petite étude pilote de 7 jours, publiée dans le British Medical Journal (BMJ) Open.
Ils ne constituent certainement pas un substitut à la pratique de l’exercice, à une alimentation équilibrée ou encore à un mode de vie sain, mais les tocotriénols, qui appartiennent à la famille des vitamines E, peuvent constituer les bases d’un supplément efficace pour lutter contre l’obésité et ses comorbidités -dont l’hyperlipidémie. Ainsi, cette nouvelle étude préclinique, de biologistes et pharmacologues du Shibaura Institute of Technology (SIT), publiée dans la revue Molecules, met en lumière les effets anti-obésité de la vitamine E.
Un régime à faible indice glycémique (IG) peut aider les patients cardiaques à perdre du poids et à réduire leur risque, souligne cette étude d’une équipe du Centre médical de Tachkent (Ouzbékistan), présentée lors de l’EuroHeartCare Congress de la Société Européenne de Cardiologie. L’équipe recommande aux patients atteints de maladie coronarienne, au-delà de la réduction des apports de graisse saturée, d'opter pour une consommation d'aliments à faible indice glycémique.
Les papilles gustatives peuvent s'adapter à un régime pauvre en sel, plaident ces cardiologues, avec cette étude pilote, présentée au Congrès scientifique de l’Association on Cardiovascular Nursing and Allied Professions (ACNAP)-EuroHeartCare de la Société Européenne de Cardiologie. Une intervention destinée à adapter le goût et à l’habituer à un apport en sel réduit, peut redonner le plaisir de manger, moins salé, aux patients souffrant d'hypertension (HTA).
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