La stéatose hépatique non alcoolique ou maladie du foie gras non alcoolique touche entre 20 et 30% de la population des pays riches. La maladie peut entraîner une résistance à l'insuline, un diabète de type 2, un risque cardiovasculaire ainsi qu'une dysbiose intestinale. Cette étude de la Ben Gurion University (BGU), publiée dans la revue Gut, révèle l’effet préventif et curatif remarquable d’un régime méditerranéen, encore enrichi en plantes ( « green-Mediterranean diet ») qui permet de diviser par 2 la quantité de graisse accumulée dans le foie.
Ces pharmacologues de l’Université de Bristol reviennent sur les preuves d'efficacité spécifique de certains micronutriments, en cas d'exposition au virus SRAS-CoV-2 et au-delà de leur effet mieux connu de soutien du système immunitaire humain. A travers un examen général de la littérature et des simulations mathématiques effectuées sur des bases de milliers de composés, ces travaux présentés dans la revue Angewandte Chemie, expliquent comment certaines vitamines, stéroïdes et antiviraux en se liant à la protéine de pointe, parviennent à inhiber la capacité infectieuse du virus.
C’est un facteur circadien efficace contre le cancer du sein : le moment où l’on s’alimente semble en effet exercer un impact significatif sur le risque de cancer et, le cas échéant la progression tumorale : cette étude de l’Université de Californie San Diego montre, chez la souris que, non pas ce qu’elle mange, mais la plage de temps durant laquelle elle mange, a une incidence significative sur ce risque.
La réponse anormale du système immunitaire qui provoque la sclérose en plaques (SEP) en attaquant et endommageant le système nerveux central peut être déclenchée par le manque d'un acide gras spécifique dans les tissus adipeux, selon cette équipe de l’Université de Yale. Une découverte présentée dans le Journal of Clinical Investigation qui suggère qu'un « simple » changement de régime alimentaire pourrait contribuer à traiter certains patients atteints de la maladie auto-immune.
Les graisses saturées alimentaires sont connues pour augmenter le taux de cholestérol sanguin, et une augmentation du cholestérol sanguin est souvent associée au développement de la maladie cardiovasculaire. Pourtant, une toute nouvelle perspective scientifique pourrait bouleverser cette interprétation et nécessiter un changement de paradigme : ce nouveau modèle d’une équipe de 3 nutritionnistes de l'Université de Bergen, présenté dans l'American Journal of Clinical Nutrition suggère une explication alternative à cette « hypothèse régime almentaire-santé cardiaque » à l’origine de nombreuses recommandations nutritionnelles.
Cette étude pilote, menée au Cedars-Sinai Medical Center (Los Angeles), suggère en effet que les personnes ayant un index élevé d'oméga-3 ont un risque de décès lié au COVID-19 réduit. Ces nouvelles données, publiées dans la revue spécialisée Prostaglandins, Leukotrienes and Essential Fatty Acids (PLEFA) qui apportent une première preuve directe des effets bénéfiques des acides gras oméga-3 chez les patients COVID-19, rappellent aussi la place essentielle de ces acides gras dans une alimentation variée et équilibrée.
Ces scientifiques des National Institutes of Health (NIH) identifient le rôle précieux d’un nutriment : la taurine, déjà connue pour ses effets favorables à la digestion et énergisants, semble également prévenir avec efficacité les infections bactériennes. Ces travaux, présentés dans la revue Cell, constituent une étape prometteuse dans la recherche d'alternatives aux antibiotiques.
Cette équipe s’est spécialisée dans l’étude des défenses naturelles du corps contre les infections bactériennes.
On sait que le mode de vie est déterminant dans la durée de vie, et que parmi ces facteurs « environnementaux », l’alimentation médiée par le microbiote intestinal joue un rôle clé. Cette étude de la Tokyo Metropolitan University révèle qu’une meilleure alimentation combinée à une meilleure absorption du glucose dans le cerveau, permet de prolonger la durée de vie. Une démonstration, présentée dans la revue eScience, effectuée sur la mouche des fruits, qui suggère néanmoins des pistes chez l’Homme : un apport calorique restreint et une meilleure absorption neuronale du glucose pourraient bien avoir des effets anti-âge.
Cette équipe de recherche de l’University of British Columbia (UBC, Vancouver) suggère une forte corrélation entre le suivi de certains régimes alimentaires, précisément le régime MIND (Mediterranean-Dash Intervention for Neurodegenerative Delay) et le régime méditerranéen, et le développement éventuel de la maladie de Parkinson. Si les effets neuroprotecteurs du régime MIND contre la maladie d'Alzheimer et la démence sont aujourd’hui bien démontrés, cette étude, publiée dans la revue Movement Disorders, est la première à suggérer un bénéfice protecteur similaire contre la maladie de Parkinson (MP).
Consommer des fibres alimentaires pourrait éloigner le risque de dépression, conclut cette large étude d’une équipe du Seoul National University College of Medicine : un lien développé dans la revue Menopause, qui semble au moins partiellement s’expliquer par des interactions intestin-cerveau. Une nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau et de manière plus pratique, des multiples bénéfices d’une alimentation équilibrée pour la santé mentale.
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