Cette nouvelle revue de la littérature « réhabilite » le jus d’orange, d’une certaine façon et au moins pour sa capacité, à condition d’être du jus à 100 %, à lutter contre l’inflammation et le stress oxydatif. La recherche suggère que ces avantages sont médiés par la réduction de l’interleukine 6, un marqueur bien établi de l’inflammation, chez les adultes en bonne santé et à haut risque.
Ce n’est pas la première étude à suggérer cet effet antidépresseur des champignons –autres que les champignons magiques et leur psilocybine– mais il s’agit ici d’une très large analyse de données de la National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES), l’une des plus grandes cohortes américaines en nutrition. L’équipe de la Penn State a analysé ainsi les données alimentaires et les résultats de santé mentale de 24.000 adultes suivis pendant plus de 10 ans, pour identifier et préciser cette association entre une consommation élevée de champignons et un risque très réduit de dépression.
La nutrition joue un rôle essentiel dans la santé et la santé cardiaque particulièrement, tout au long de la vie. Une alimentation saine pour le cœur et un mode de vie sain comportant la pratique d’une activité physique régulière et l’absence de tabagisme jouent un rôle essentiel dans la prévention de niveaux élevés de mauvais cholestérol, de l’hypertension artérielle, de l’obésité, du diabète de type 2 et du syndrome métabolique, toutes ces comorbidités pouvant augmenter le risque de maladie cardiaque.
Ce n’est pas la première étude à identifier une corrélation entre les niveaux de lipides et le développement de troubles mentaux. Suivant le concept de l’axe intestin-cerveau, une récente étude vient de montrer, sur un modèle animal, comment un déséquilibre du microbiote induit une baisse des niveaux de certains lipides essentiels, ce qui favorise l’émergence d’un état dépressif. Cette nouvelle recherche d’une équipe de la Penn State suggère à son tour, dans la revue Bipolar Disorders, que l’ajustement de l’apport en acides gras pourrait réduire la variabilité de l’humeur, ici dans les troubles bipolaires.
Une supplémentation à base de cétones, pourrait être une nouvelle option thérapeutique pour stimuler la fonction cérébrale en cas d’obésité. C’est la conclusion de cette recherche de l’Université de la Colombie-Britannique, publiée dans The Journal of Physiology, qui révèle que ce type de suppléments, pris 3 fois par jour pendant 14 jours permet d’améliorer le flux sanguin vers le cerveau et de cette manière contribue à booster certaines fonctions cognitives, comme la mémoire de travail et la vitesse de traitement, chez des adultes atteints d’obésité.
C’est un nouvel exemple d’héritage épigénétique et de l’impact de facteurs de mode de vie des parents sur la santé des enfants : cette étude de la Marshall University Joan C. Edwards School of Medicine (Virginie occidentale) montre que les régimes maternels riches en acides gras oméga-3 peuvent protéger les enfants à naître du cancer du sein. Ces données présentées dans la revue Frontiers in Cell and Developmental Biology incitent à opter pour des changements simples dans le régime alimentaire bénéfiques à la mère et à l’enfant, et qui permettraient de réduire l’incidence des cancers, avec, très probablement, de vraies implications en santé publique.
Ces experts nutritionnistes de l'Universitat Rovira i Virgili (Catalogne) ne sont pas contre les sushis mais à condition de limiter les quantités de thon : leur analyse des concentrations de différents composés toxiques dans ces aliments suggère en effet de bien choisir ses makis, nigiris ou sashimi, notamment en raison de niveaux plus élevés de mercure et de méthylmercure dans les sushis contenant du thon, liés à la bioaccumulation et à la bioamplification de ce métal.
Pas trop de fer dans l’alimentation, grâce à des apports alimentaires en nutriments spécifiques, permet le maintien d’une meilleure cognition chez les personnes âgées, soulignent ces chercheurs cliniciens de l'Université du Kentucky : en synthèse, un apport alimentaire sain s’avère associé à une diminution du fer dans le cerveau et une meilleure cognition. La preuve par l’IRM est apportée ici dans la revue Neurobiology of Aging.
A ce stade, les études sont mitigées sur l’efficacité de la vitamine D à prévenir contre les formes sévères de la maladie COVID-19. Les dernières données suggèrent plutôt une absence voire très peu de bénéfices significatifs chez les patients non réellement carencés. Cette nouvelle étude, menée par une équipe du Trinity College Dublin et de l'Université d'Édimbourg nous apporte de nouvelles preuves de la capacité protectrice de la vitamine D contre les formes graves de COVID-19 grave et la mortalité associée.
Ce n’est pas la première étude à faire cette recommandation : manger des pommes de terre pour réduire sa tension. Les nutriments de la pomme de terre peuvent contribuer à réduire la rétention de sodium et le risque d'hypertension, souligne à nouveau cette recherche d’une équipe de nutritionniste de la Purdue University (Indiana). En particulier chez les personnes à risque cardiométabolique plus élevé, ces données, publiées dans la revue Nutrients, révèlent que la consommation de pommes de terre permet un apport alimentaire de potassium complémentaire bienvenu et induit une réduction de la pression artérielle systolique.
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