Il ne s’agit pas de frissonner toute la journée, mais d’opter pour une température intérieure raisonnable, de 18-19°C, recommande cette étude néerlandaise, publiée dans Science and Society. Au point que les recommandations sur la température ambiante devraient faire partie du cadre d’un mode de vie sain. Les conclusions de cet examen de la littérature suggèrent que des températures de vie raisonnables favorisent la «thermogenèse sans frisson » et permettent ainsi d’optimiser son bilan énergétique personnel.
Des études toujours plus nombreuses reconnaissent les effets de certains aliments, nutriments ou régimes alimentaires sur le risque de maladies, et, plus récemment sur les maladies neurologiques, confortant la notion de traitement diététique. Cette recherche, publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry, suggère que pour la maladie d’Alzheimer aussi, la mise en œuvre précoce d'un traitement diététique, ici à base d’acides gras omega-3, peut ralentir la progression de la maladie.
2 rapports, celui du Professeur Serge Hercberg, Epidémiologiste de la Nutrition, directeur de recherche à l’Inserm et coordonnateur, entre autres études, de NutriNet Santé et du Professeur de Nutrition Arnaud Basdevant, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, mettent en avant le rôle clé que doit jouer l’alimentation, à la fois dans notre bien-être mais aussi dans la prévention et le traitement de nombreuses maladies chroniques, dont bien sûr l’obésité.
Cette étude de l'Université du Minnesota a regardé les implications concrètes de la position de l'American Medical Association (AMA) qui, en juin 2013, définissait l’obésité comme une maladie, à part entière. Au-delà de l’impact voulu de ce message d’alerte sur la communauté médicale américaine, la perception, par les patients obèses de messages axés sur les effets néfastes de l'obésité sur la santé, semble avoir limité leurs comportements de santé et leurs efforts de perte ou de contrôle du poids.
Sauter le petit déjeuner accroît le risque de résistance à l'insuline et au fil du temps celui de diabète de type2, montrait déjà cette étude de l'Université du Colorado. Cette nouvelle étude de l’Université d’Uméa suggère, à son tour, qu’un petit-déjeuner trop léger, dans la jeunesse, entraîne un risque accru de syndrome métabolique à l'âge adulte. Les conclusions, publiées dans la revue Public Health Nutrition, conseillent en pratique aux adolescents de soigner le premier repas de la journée.
Si les dernières données américaines montrent une légère amélioration chez les enfants d'âge préscolaire, la prévalence de l'obésité infantile aux Etats-Unis a doublé au cours des dernières décennies. Cette nouvelle étude, publiée dans le New England Journal of Medicine décortique les taux d’obésité infantile par tranche d’âge et conclut que, chez un enfant sur 2, elle est déjà apparente dès l’âge de 5ans.
Cette recherche de laboratoire menée à l'Université de Californie du Sud révèle comment chez le ver C. elegans, différents régimes alimentaires peuvent impacter le vieillissement et la durée de vie. Certes, la recherche a porté sur le ver, mais Caenorhabditis elegans présente des parallèles surprenants avec l’Homme. Bien que ces conclusions publiées dans la revue Cell Metabolism ne peuvent être directement généralisées à l’Homme, elles suggèrent que la combinaison génome-alimentation est associée à la durée de vie.
De très nombreuses études montrent l’influence de l’horloge biologique et du cycle circadien. Une horloge qui influe d’ailleurs directement sur notre métabolisme. Pour la perte de poids, il existe également un cycle, suggère cette étude de l'Université Cornell. Les conclusions, à paraître dans la revue Obesity Facts, rappellent en effet que les variations de poids entre la semaine et le week-end doivent être considérées comme normales et bien prises en compte, sans sentiment d’échec, lors d’un régime de perte de poids.
L'obésité est un facteur de risque reconnu de cancer du côlon, cette étude de l'Université du Michigan (MSU) montre que des niveaux élevés de leptine, un indice de masse corporelle et un tour de taille élevé chez les hommes sont des facteurs associés à un risque accru de polypes colorectaux fréquemment à l’origine d’un cancer du côlon. Ces données, présentées dans la revue PLoS ONE, fournissent des biomarqueurs possibles, liés à l’obésité, annonciateurs du risque de développement du cancer du côlon.
Si la fonction première de l'alimentation est de nourrir le corps, ce n'est pas cette finalité qui nous pousse à rechercher la nourriture, mais la faim. Ces chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center (Boston), qui ont tenté de remonter aux origines cérébrales de la faim, « dessinent » un premier schéma des circuits complexes du cerveau qui régulent cet état de motivation intense.
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