La carence en vitamine D s’avère associée à une mauvaise fonction musculaire chez les adultes de 60 ans et plus, conclut cette étude d’une équipe du Trinity College Dublin. Alors que le maintien de la fonction des muscles squelettiques tout au long de la vie est un élément essentiel du vieillissement en bonne santé, car il favorise l’autonomie, la mobilité, la qualité de vie et réduit le risque de chutes et la fragilité, le statut en vitamine D doit être surveillé, compte-tenu de ce rôle protecteur.
Ce que nous mangeons, combien et quand, nos habitudes alimentaires modifient nos horloges internes et nos réponses hormonales. Cette étude du Helmholtz Zentrum München décrypte le rôle clé des glucocorticoïdes dans ce mécanisme : c’est en particulier en fonction de leur action, que les rythmes quotidiens de la sécrétion d’hormones, élevée avant le réveil et l’alimentation, faible pendant le sommeil et le jeûne, ainsi que les cycles quotidiens du stockage des sucres et des graisses ou de leur libération par le foie sont modifiés par notre régime alimentaire.
La santé d’une personne âgée dépend de son alimentation, on le sait, mais pour vieillir en bonne santé il faut adhérer, tôt dans la vie à un régime équilibré et à un apport alimentaire raisonnable. Ainsi, cette équipe du Max-Planck-Gesellschaft, montre, chez l’animal, que la réduction de l’apport alimentaire ne permet plus d’améliorer la santé de souris si elle intervient après un certain âge.
Cette étude du King’s College London révèle un facteur commun entre l’obésité et l’usure des dents chez les adultes : la consommation de boissons gazeuses, des boissons à la fois acides sucrées. Ces conclusions, présentées dans la revue Clinical Oral Investigations, appellent les dentistes à participer aussi à la lutte contre l’obésité, en recommandant aux patients concernés de limiter leur consommation.
On connaît la prévalence de l’obésité qui atteint aujourd’hui près de 40% aux Etats-Unis (15% en France) et son cortège de comorbidités.
La consommation de fibres alimentaires est protectrice pour notre intestin, contre le risque cardiovasculaire et de cancer gastro-intestinal, mais elle peut apporter bien d’autres bénéfices : cette étude de l’Université de Vanderbilt (Nashville) montre également un effet préventif contre le cancer du poumon. Même effet avec les yaourts (ou probiotiques). Ces conclusions, documentées dans le JAMA Oncology, confirment le rôle clé de la nutrition -et de certains nutriments- parmi d’autres facteurs de mode de vie, dans la prévention des cancers.
De nombreuses études décryptent ces dernières années le rôle clé du microbiote intestinal pour la santé, et les associations entre un microbiote déréglé et le risque de maladies intestinales, métaboliques et mentales. Mais « comment faire » pour se donner toutes les chances d’un microbiote intestinal sain ? La réponse est simple, opter pour les aliments d’origine végétale et observer globalement un régime alimentaire de type méditerranéen, répond cette étude présentée lors de la UEG (United European Gastroenterology) Week Barcelona 2019.
Les études sont nombreuses à démontrer que la malbouffe riche en acides gras saturés et en sucres est un facteur d’obésité, de troubles métaboliques et de maladie cardiaque. Cette étude, publiée dans l’European Heart Journal et présentée à la 67è Annual Scientific Meeting of the Cardiac Society of Australia and New Zealand (Adélaïde, Australie) révèle que la disponibilité de la restauration rapide détermine l’incidence des crises cardiaques : pour chaque point de restauration rapide supplémentaire, l’incidence augmente de 4 crises cardiaques supplémentaires/100.000 consommateurs.
Si de nombreuses études ont documenté les multiples bénéfices du thé pour la santé et la performance cognitive, peu de recherches ont regardé, à l’imagerie, comment la boisson la plus consommée au monde influe sur la connectivité voire la structure du cerveau Cette étude présentée dans la revue Aging, qui examine de manière exhaustive les effets de la consommation de thé sur la connectivité cérébrale à l’aide de techniques multimodales d’imagerie, apporte la première preuve « physique » d’une contribution positive cérébrale et cognitive du thé : l’organisation des réseaux neuronaux apparaît renforcée et plus efficace.
Les bénéfices de la vitamine D ont déjà été documentés pour la santé cardiovasculaire et dans la prévention de certains cancers, le cancer du sein notamment. L’huile de poisson -au-delà de ses avantages cognitifs mieux connus-, dans l’amélioration de la qualité de vie des patients atteints de cancer et dans la prévention du cancer du sein. Ce très large essai présenté dans la revue Menopause confirme et précise les promesses de la vitamine D et des acides gras oméga-3 à prévenir le décès par cancer et l’infarctus du myocarde.
Ce n’est pas la première étude à révéler cette capacité remarquable de certains phénols présents dans les coques de fèves de cacao et les grains de café, mais aussi le thé, à inverser les effets cellulaires néfastes de l’obésité et de ses conditions associées, l’inflammation chronique et la résistance à l’insuline. Les chercheurs en Sciences de l’alimentation et en nutrition humaine de l’Université de l’Illinois se sont à nouveau intéressés au potentiel de ces composés anti-inflammatoires présents dans les enveloppes de grains de café, non seulement pour confirmer leurs bénéfices dans le soulagement des maladies chroniques, mais également dans le cadre d’une économie responsable : ces travaux, présentées Food and Chemical Toxicology concluent en effet que ces 1.160 000 tonnes d’enveloppes de grains, qui finissent comme déchets, pourraient être utilisées pour produire un supplément extrêmement bénéfique, un brûleur de graisse à la fois naturel et efficace.
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