Alors qu’au fil des tendances, de multiples régimes sont mis en avant tour à tour, avec des allégations spécifiques, cette étude du Fred Hutchinson Cancer Research Center (FHCRC, Seattle) apporte un repère nutritionnel de base aux femmes : adhérer à un régime alimentaire allégé en acides gras et riche en fruits, légumes et céréales apporte de multiples avantages. Ces données présentées dans le Journal of Nutrition montrent que ce simple principe nutritionnel permet de réduire la mortalité après un cancer du sein, de ralentir la progression du diabète et de prévenir les maladies coronariennes.
L’alimentation et son effet sur les bactéries du microbiote intestinal pourrait jouer un rôle clé dans la réduction du risque d’Alzheimer. Cette nouvelle recherche du Wake Forest Baptist Medical Center (Caroline du Nord), présentée dans la revue EBioMedicine, en identifiant plusieurs signatures microbiotiques distinctes – des substances chimiques produites par les bactéries – associées à la déficience cognitive légère (MCI), réaffirme à nouveau le rôle clé de l’axe intestin-cerveau.
Notre corps a besoin de vitamine D pour absorber le calcium et maintenir la solidité et la santé des os. De nombreuses personnes se voient prescrire des suppléments de vitamine D et certains patients peuvent prendre jusqu’à 20 fois la dose quotidienne recommandée pour prévenir ou traiter diverses affections médicales pouvant être liées à une carence en vitamine D. Cette équipe de l’Université de Calgary a voulu préciser la bonne dose.
La metformine, un antidiabétique oral, n’a pas la même efficacité chez tous les patients. Leur alimentation et donc leur microbiote intestinal est très certainement en cause, conclut cette équipe de du MRC London Institute et de l’Imperial College. On savait que les médicaments en particulier les antibiotiques, avaient une grande influence sur notre microbiote, ces nouvelles conclusions présentées dans la revue Cell montrent, dans l’autre sens comment l’alimentation et le microbiote influent de manière significative sur la réponse au traitement.
On apprend que la salade est parmi les terrains les plus propices à la croissance de la bactérie Salmonelle, avec cette étude de laboratoire, publiée dans la revue Applied and Environmental Microbiology. Déjà deuxième source d’intoxication alimentaire, la salade, lorsqu’elle est toute prête et ensachée posent un risque encore accru d’intoxication alimentaire. Enfin, si un sachet de salade est contaminé par des bactéries intestinales, ces bactéries se reproduisent, même dans le réfrigérateur, et il n’y a rien à faire pour les éliminer.
Le lien entre la consommation de graisses saturées et le risque de maladie cardiovasculaire reste objet à débat. Cependant, préférer de temps à autre au beurre et à la viande, l’huile d’olive et le poisson permet de réduire le risque de maladie cardiaque, assure cette large cohorte américaine portant sur plus de 100.000 participants suivis pendant plus de 20 ans. Des conclusions sans grande surprise tout de même, présentées dans le British Medical Journal, mais qui doivent sensibiliser à nouveau à limiter ses apports d’acides gras saturés.
Si plusieurs études ont suggéré des risques associés à la consommation d’aspartame, l’édulcorant a néanmoins été confirmé comme « sûr » par la dernière évaluation de l’Agence de sécurité européenne EFSA. On en consomme pour réduire ses apports en sucres, cependant… Cette étude du Massachusetts General Hospital (MGH) révèle un mécanisme possible qui contribue à expliquer pourquoi l’édulcorant aspartame ne favorise pas la perte de poids.
Compléter un régime alimentaire avec des fibres fermentescibles (dont l’amidon) peut réduire l’appétit et le gain de poids corporel. Mais voilà, il existe une condition à cet effet, le récepteur d’acide gras libre 2 (FFAR2). C’est la démonstration de cette équipe britannique qui décrypte encore un peu plus le mécanisme sous-jacent « fibres fermentescibles-microbiote-métabolisme et satiété », dans la revue Nature Reviews Endocrinology.
Dans la littérature scientifique, la carence en vitamine D, fréquemment associée à une insuffisance d’exposition (raisonnable) à la lumière du soleil, est documentée comme associée à toute une gamme de complications, en particulier à la fragilité et à la maladie osseuses. Les personnes carencées devraient prendre une supplémentation, ainsi que certains groupes de population plus à risque, dont les femmes enceintes.
Et le risque d’un large éventail de maladies chroniques pourrait être très réduit avec cette simple consommation de quelques noix, chaque jour. Ces données d’une équipe de l’Impérial de Londres, présentées dans la revue BMC Medicine, montrent que 20g de noix par jour suffisent à réduire le risque de maladie cardiaque, de cancer et autres maladies chroniques. Des conclusions peu contestables puisqu’issues des données de plus de 800.000 participants.
![]() |
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
![]() |
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |