L’ocytocine, appelée aussi « hormone de l’amour » et dont les bénéfices suggérés se multiplient, pourrait contribuer à améliorer les symptômes de l’anorexie. Un trouble du comportement alimentaire qui se développe fréquemment peu après la puberté, en simultané avec une obsession de la nourriture et du poids. Cette étude, publiée dans la revue scientifique Psychoneuroendocrinology, qui a regardé l’effet de l’ocytocine administrée par spray intranasal, sur la réponse aux stimuli alimentaires, doit être confirmée sur un échantillon plus large et sur un plus long terme.
Une étude précédente avait déjà montré que consommer une soupe à petite gorgées réduisait de 30% la quantité totale consommée. Une autre, plus ancienne, que les mangeurs rapides (fast eaters) consomment 90 grammes de nourriture à la minute, à comparer à 70 g/mn pour les gastronomes. Cette étude plus récente, publiée dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, confirme que manger lentement et surtout bien mâcher, contribue à réduire l'apport alimentaire en favorisant le contrôle de l'appétit.
Trop de fastfood, partout, près de nos domiciles et nos lieux de travail ou sur le chemin de nos déplacements quotidiens…Cette densité de junk food à emporter participe à l'épidémie d'obésité, dénonce cette étude de l’Université de Cambridge menée sur plus de 5.000 adultes. Les conclusions, présentées dans le British Medical Journal constituent une attaque non dissimulée contre les pourvoyeurs de malbouffe.
Pour le moment, connaître son risque génétique de surpoids ou d’obésité n’est pas à la portée de tout le monde. Mais le moment est proche où un test génétique accessible, pourra nous indiquer quels sont les aliments à éviter pour contrôler son poids. Cette étude, donc théorique -sauf à prendre en compte l’histoire familiale d’obésité et encore ce serait ignorer les facteurs environnementaux- conclut néanmoins qu’avec les «gènes de l’obésité», il est préférable d’éviter les aliments frits, sous peine de prendre rapidement du poids.
Dépression et obésité ont déjà été associées, cependant, cette étude de l'Université de Rutgers-Camden (New Jersey) montre que les adolescentes qui souffrent de l'un de ces troubles vont accroître leur risque pour l'autre trouble, plus tard dans la vie. Cette constatation, documentée dans l’International Journal of Obesity, rappelle aux professionnels, comme aux parents, que l'adolescence est une période critique de développement de la dépression comme de l’obésité.
Des pratiques des parents peu favorables en matière d'alimentation du nourrisson, voire obésogènes, sont mises en avant par cette étude de l’Université de Caroline du Nord. Les conclusions, obtenues sur un large échantillon d'enfants et publiées dans l’édition d’avril de la revue Pediatrics, incitent à débuter les actions de prévention de l'obésité bien plus tôt encore. Et si l’étude est menée aux Etats-Unis, elle a le mérite de révéler des comportements à éviter pour l'alimentation du petit enfant.
Plusieurs études ont démontré que non seulement l’espérance de vie globale continue à augmenter, mais avec une compression du nombre d’années d’incapacité et de la morbidité dans les années qui précèdent le décès. Globalement, en 50 ans, l’espérance de vie a progressé de plus de 10 ans, pourtant. Cette étude menée par une équipe du Brigham and Women Hospital (Boston), montre que pour les adultes aujourd’hui d’âge mur, qui étaient en surpoids ou obèses à l'adolescence, l’espérance de vie est restée comparable à celle des années 60.
Cette étude menée dans une province du Canada, auprès de plus de 11.000 élèves de 164 écoles, qui avaient accès, au sein de leur établissement, aux boissons sucrées, montre l’impact de ces boissons sur l’IMC. Plus que la pizza, les frites, les chips et les bonbons, concluent ici les auteurs dans l’International Journal of Behavioral Nutrition and Physical Activity. Â
L'étude renforce non seulement les preuves que la forte concentration de sucre dans les boissons gazeuses contribue à l'obésité chez les adolescents mais aussi que l'environnement alimentaire scolaire doit être pris en compte dans les stratégies de prévention de l'obésité infantile.
Moins de sommeil implique un besoin accru d’énergie. Ainsi, dès l’âge d’un an environ, la durée de sommeil est déjà associée à l’apport nutritionnel. C'est pourquoi, les très jeunes enfants qui dorment moins mangent plus, avec pour conséquence un risque accru d'obésité plus tard dans la vie, conclut cette étude menée par des chercheurs de l’University College London (UCL). Les conclusions, publiées dans l’International Journal of Obesity évaluent ainsi à 10%, le montant de l’augmentation de l’apport calorique liée au manque de sommeil chez le petit enfant.
Il est des périodes critiques pour la définition du risque d'obésité, comme les premiers mois de vie. L’allaitement maternel a durant cette période tout son rôle à jouer, rappelle cette étude française de l’Inserm, qui prend en compte l’apport nutritionnel sur les 2 premières années de vie. Ses conclusions présentées dans le Journal of Pediatrics, démontrent l’association entre l’allaitement maternel et le risque d’obésité à 20 ans.
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