Si les dernières données américaines montrent une légère amélioration chez les enfants d'âge préscolaire, la prévalence de l'obésité infantile aux Etats-Unis a doublé au cours des dernières décennies. Cette nouvelle étude, publiée dans le New England Journal of Medicine décortique les taux d’obésité infantile par tranche d’âge et conclut que, chez un enfant sur 2, elle est déjà apparente dès l’âge de 5ans.
Cette recherche de laboratoire menée à l'Université de Californie du Sud révèle comment chez le ver C. elegans, différents régimes alimentaires peuvent impacter le vieillissement et la durée de vie. Certes, la recherche a porté sur le ver, mais Caenorhabditis elegans présente des parallèles surprenants avec l’Homme. Bien que ces conclusions publiées dans la revue Cell Metabolism ne peuvent être directement généralisées à l’Homme, elles suggèrent que la combinaison génome-alimentation est associée à la durée de vie.
De très nombreuses études montrent l’influence de l’horloge biologique et du cycle circadien. Une horloge qui influe d’ailleurs directement sur notre métabolisme. Pour la perte de poids, il existe également un cycle, suggère cette étude de l'Université Cornell. Les conclusions, à paraître dans la revue Obesity Facts, rappellent en effet que les variations de poids entre la semaine et le week-end doivent être considérées comme normales et bien prises en compte, sans sentiment d’échec, lors d’un régime de perte de poids.
L'obésité est un facteur de risque reconnu de cancer du côlon, cette étude de l'Université du Michigan (MSU) montre que des niveaux élevés de leptine, un indice de masse corporelle et un tour de taille élevé chez les hommes sont des facteurs associés à un risque accru de polypes colorectaux fréquemment à l’origine d’un cancer du côlon. Ces données, présentées dans la revue PLoS ONE, fournissent des biomarqueurs possibles, liés à l’obésité, annonciateurs du risque de développement du cancer du côlon.
Si la fonction première de l'alimentation est de nourrir le corps, ce n'est pas cette finalité qui nous pousse à rechercher la nourriture, mais la faim. Ces chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center (Boston), qui ont tenté de remonter aux origines cérébrales de la faim, « dessinent » un premier schéma des circuits complexes du cerveau qui régulent cet état de motivation intense.
Les fibres alimentaires sont bénéfiques à la santé, mais, en dépit de notre régime alimentaire omnivore, nous ne sommes pas bien équipés pour consommer et métaboliser la matière végétale complexe. En fonction des fibres consommées, certaines de nos bactéries intestinales peuvent ou ne peuvent pas digérer. Ces travaux menés à l’Université de York qui tentent d’identifier comment ces bactéries digèrent les glucides complexes, permettent de mieux comprendre les troubles nutritionnels et tracent de nouvelles voies pour de futurs pré et probiotiques.
Comment l'odeur d’un aliment influence la prise alimentaire, c’est le processus décrypté par cette équipe de l’Inserm qui montre, avec ces travaux présentés dans Nature Neuroscience comment le système endocannabinoïde contrôle la prise alimentaire à partir de la perception des odeurs.
Les perceptions sensorielles telles que le sens de l'odorat font partie des facteurs qui encouragent la prise alimentaire. Mais quel est le processus qui relie la perception de l'odeur dans le cerveau à l'envie de manger, c'est le circuit mis à jour, chez la souris, par ces chercheurs du NeuroCentre Magendie, à Bordeaux.
Notre corps se défend contre le froid grâce à une hormone clé, l’irisine qui stimule les tissus adipeux à produire de la chaleur pour maintenir la température corporelle. Cette hormone est également produite par le muscle lors de la pratique de l'exercice physique. A partir de là, comment ne pas rapprocher les effets des frissons et de l’exercice physique sur la consommation de calories.
La qualité de votre attachement à vos parents peut-elle affecter le risque d’obésité de votre enfant? Cette étude de l'Université de l'Illinois semble le suggérer. Un sentiment d’insécurité familiale peut en effet rejaillir sur l’enfant, qui pourra développer un comportement alimentaire malsain, à risque d’obésité. Ces conclusions publiées dans le Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics décrivent donc l’association complexe entre la sécurité affective des parents, leur propre parentalité et le risque d’obésité de l’enfant.
Certains probiotiques à effet perte ou contrôle du poids ? C’est ce que suggèrent ces chercheurs de l’université de Laval, qui démontrent, avec leur étude publiée dans le British Journal of Nutrition, qu’un probiotique, Lactobacillus rhamnosus, peut doubler la perte de poids sur une période de 6 mois.
Le Pr Angelo Tremblay, de l'Université Laval et auteur principal de l'étude, rappelle que la flore intestinale des personnes obèses diffère de celle des personnes minces.
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