C’est une nouvelle étude à plaider en faveur d’une restriction de la plage alimentaire dans la journée pour lutter contre le surpoids et les troubles métaboliques associés. Un type de jeûne intermittent mais calé sur le cycle circadien. Cette équipe du Salk Institute (La Jolla) confirme en effet que manger dans une fenêtre réduite à 10 heures dans la journée, peut protéger contre l'obésité et le diabète.
Personne n’est trop vieux pour passer au régime méditerranéen, souligne cette équipe italienne de l'Institut IRCCS Neuromed qui révèle qu'un des modèles alimentaires les plus sains au monde réduit de 25% le risque de mortalité chez les personnes de plus de 65 ans. Le régime méditerranéen est donc ici à nouveau, dans le British Journal of Nutrition, plébiscité comme un secret de longue vie pour les personnes âgées.
Cette étude pilote suggère que des modifications mineures d’horaires notamment, du petit-déjeuner et du dîner pourraient contribuer à réduire la graisse corporelle. Le nombre et les horaires ainsi que les apports caloriques respectifs des différents repas de la journée sont des facteurs fréquemment invoqués pour leurs effets sur le poids corporel. Ces données, présentées dans le Journal of Nutritional Sciences montrent que retarder le petit-déjeuner et avancer l’heure du dîner, sans contrainte sur la prise alimentaire peut permettre de lutter contre l’adiposité.
Le Fonds mondial de recherche contre le cancer et l’Institut américain de recherche sur le cancer ont estimé que dans les pays développés, environ 35% des cancers du sein et 45% des cancers colorectaux pourraient être évités grâce à une meilleure observance des recommandations nutritionnelles. Cette nouvelle analyse de données de notre cohorte française NutriNet Santé qui nous est proposée dans la revue Cancer Research, confirme la force de la relation déjà très documentée, entre alimentation et risque de cancer.
Le régime alimentaire a un impact plus important sur le bien-être émotionnel chez les femmes que chez les hommes, souligne cette étude de l’Université de Binghamton (New York), ce qui implique, en pratique, que les femmes pourraient avoir besoin d'un régime alimentaire plus riche en nutriments pour soutenir un bien-être émotionnel positif. Des conclusions présentées dans la revue Nutritional Neuroscience qui peuvent également contribuer à expliquer pourquoi les femmes sont deux fois plus susceptibles d’être anxieuses et dépressives et sur des épisodes plus longs, comparé aux hommes.
Les gènes ne sont pas à blâmer, du moins il n’existe aucune preuve de leur influence significative sur la prise alimentaire et le risque de surpoids ou d’obésité, conclut cette revue et analyse systématique menée par une équipe de l’Université technique de Munich (TUM). Certes des gènes ont été identifiés pour leur influence sur la faim et la satiété, tels que FTO associé à une moindre prise alimentaire et MC4R associé à une augmentation de l'apport énergétique, mais leur impact reste, selon cette analyse, très modeste en regard des facteurs de mode de vie.
Consommer du lait au petit-déjeuner, permet de réduire sa glycémie tout au long de la journée, conclut cette étude canadienne, présentée dans le Journal of Dairy Science®. L’équipe, qui décrypte les effets de liés à la composition et la concentration protéique du lait, conclut qu’un simple changement dans la routine du petit-déjeuner pourrait parfois être bénéfique pour la prise en charge du diabète de type 2.
Une étude publiée dans Nutrients, par l’équipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (EREN) Inserm / Inra / Cnam / Université Paris 13 montre que le logo d’information nutritionnelle proposé par un consortium de 6 industries agro-alimentaires (l’Evolved Nutrition Label) n’a qu’un effet très limité voire défavorable chez les consommateurs sur les tailles de portions sélectionnées pour des aliments considérés comme moins favorables à la santé.
Consommer des aliments riches en fibres peut permettre de bloquer une grande partie des effets du stress, sur notre intestin comme sur notre comportement, révèle cette étude présentée dans le Journal of Physiology. Des conclusions qui contribuent à répondre à l’intérêt croissant pour ce lien entre le microbiote et les troubles liés au stress, dont l'anxiété, la dépression et le syndrome du côlon irritable.
Si elle dispose d’un terme savant, « l’halitose », ou plus simplement la mauvaise haleine, une affection pour les uns ou une nuisance pour les autres, est fréquente puisqu’on estime qu’elle est rencontrée chez environ une personne sur deux. Cette étude de l’Université technique de Munich (TUM) a peut-être enfin trouvé la solution : le gingérol ou [6]-gingérol, un composant piquant du gingembre, qui stimule une enzyme contenue dans la salive qui décompose les substances nauséabondes.
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