C’est ce que constate cette étude autrichienne, un risque accru de certaines maladies chroniques et une moins bonne qualité de vie, chez les végétariens- en comparaison des « mangeurs de viande ». Mais l’étude, présentée dans la revue PLoS ONE, démontre l’association et non la relation de cause à effet. En effet, les personnes en moins bonne santé pourraient opter pour un régime végétarien perçu comme plus sain.
Des liens possibles entre l'obésité maternelle pendant la grossesse et le risque de troubles du développement chez l'enfant ont déjà été suggérés. Cependant cette étude de l'Institut norvégien de santé publique suggère que l'obésité paternelle pourrait être un facteur de risque bien plus élevé que l'obésité maternelle. Les conclusions, présentées dans la revue Pediatrics, suggèrent un lien génétique ou épigénétique, indépendant et fort, entre l'obésité chez le père et le développement d'un TSA chez l'enfant.
De nombreuses études portent sur ses conséquences pour les patients, en termes de comorbidités, de réduction de qualité de vie et de décès. Alors que le surpoids a déjà contaminé un tiers de la planète, son coût pour la société n’est que rarement abordé. Cette étude « s’est amusée » à faire le calcul, le coût sur toute une vie d’une obésité infantile.
Ces corps gras d'origine nutritionnelle agissent sur notre cerveau et précisément sur le circuit de la récompense impliqué dans la dépendance aux drogues, confirme cette nouvelle étude française sur l’animal. Ses conclusions publiées dans la revue Molecular Psychiatry montrent même le lien entre les fluctuations de concentration de triglycérides et l'élaboration par le cerveau de la récompense. Un pas de plus dans la compréhension du mécanisme compulsif sous-jacent à l'obésité, envisagée de plus en plus, au fil des études, comme une forme de dépendance, alimentaire.
Attendez-vous à des changements d'appétit, de goût et même d’odorat après une intervention de . La chirurgie de l’obésité entraîne donc aussi des modifications sensorielles, qui d’ailleurs ne sont pas tous négatives et pourraient même conduire à une plus grande perte de poids chez les patients.
Lisa Graham, auteur principal de l'étude explique que ses expériences cliniques avec les patients qui ont subi cette intervention de pontage gastrique ont révélé ces modifications sensorielles, pourtant jamais encore documentées dans la littérature scientifique.
Chez les hommes aussi, l'obésité et le diabète de type 2 sont impliqués dans le développement de la dysfonction des voies urinaires. Cette étude, menée à l’Université de Californie- San Francisco, ouvre une piste d’amélioration possible. Ses conclusions, publiées dans le Journal of Urology, suggèrent, qu’une intervention intensive sur le mode de vie, permet de réduire rapidement la prévalence de l’incontinence urinaire, chez des hommes diabétiques en surpoids ou obèses.
On mange moins en mangeant moins vite, à petites bouchées, mais aussi lorsque nous mâchons bien nos aliments. Savourer, prendre son temps et bien mâcher a son impact sur notre consommation globale, confirme cette étude américaine publiée dans le Journal of Consumer Research. Ainsi, les personnes qui perçoivent mieux la texture des aliments et prennent le temps de bien mâcher consomment moins de calories.
Opter pour des apports plus élevés de protéines au petit déjeuner peut apporter des bénéfices importants pour la santé, en particulier un meilleur contrôle de l'appétit et de la glycémie, suggère cette étude présentée à la Conférence de l’American Society for Nutrition's Experimental Biology. Cette étude, soutenue par Hillshire Brands, un des leaders mondiaux de l’industrie alimentaire, apporte néanmoins des précisions utiles sur les quantités optimales de protéines à consommer au petit déjeuner.
L’altitude, un facteur anti-obésité ? Non, ce serait le manque d'oxygène en altitude qui réduirait l’appétit, explique cette étude américaine qui constate, sur près de 100.000 militaires, que ceux affectés aux zones de haute altitude ont une tendance moindre au surpoids, que les troupes affectées à des zones de basses altitudes. Les conclusions, présentées dans la revue PLoS ONE, sont plus amusantes qu’utiles car, à part déménager vers les sommets…Cependant, elles posent la question des effets possibles de l’oxygène sur la variation de l'appétit.
Consommer du riz est associé à un meilleur équilibre alimentaire, à la perte de poids et, globalement, améliore les marqueurs de bonne santé, selon les conclusions d’une recherche, publiée dans la revue Food and Nutrition Sciences. Attention cette étude est co-financée par la Rice Foundation américaine, mais, menée auprès d'un échantillon de 14.386 adultes par une équipe du Baylor College of Medicine, ses conclusions fournissent des indications qui peuvent être prises en compte.
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