Cette étude de la Columbia montre comment FTO, un gène couramment associé à l'obésité, contribue au gain de poids. Les variations de ce gène affectent indirectement la fonction du cil primaire ou antenne sortant de la membrane de certaines cellules du cerveau et autres cellules ce qui affecte les récepteurs de la leptine, l’hormone de la satiété. Cette étude explique ainsi comment le gène de l'obésité contribue à la prise de poids.
Décidément, le bol de céréales du petit déjeuner, le sandwich ou la salade de midi et l’excès de viande du soir n’assurent pas l’environnement métabolique idéal pour la santé du muscle. Alors que la consommation de protéines est fréquemment concentrée au dîner, au lieu d'être uniformément répartie dans la journée, cette étude de l’Université du Texas, publiée dans le Journal of Nutrition, plaide pour une meilleure répartition au fil de la journée.
Consommer des boissons light (ou « diététiques ») pourrait participer à la perte de poids, conclut cette étude de l’Université du Colorado. Ces boissons influeraient plus que l’eau sur la satiété, expliquent les auteurs qui publient ne favoriseraient pas une préférence pour les aliments et les boissons sucrées.
L'étude est financée par The American Beverage Association…qui représente l'industrie américaine des boissons non-alcooliques.
À l'heure actuelle, il n'existe aucun traitement efficace pour contrer la progression pathologique de la maladie d'Alzheimer, cependant des études ont suggéré l’incidence de facteurs environnementaux dont l’alimentation et certains nutriments : la choline notamment, une vitamine présente dans des aliments courants et connue pour son rôle clé dans différentes fonctions cellulaires est plébiscitée par ces travaux de l’Arizona State University.
Prise d’antibiotiques, travail de nuit ou par quart ou décalage horaire sont des situations fréquentes qui peuvent perturber les interactions entre le microbiote et l'horloge biologique ce qui peut accroître le risque de prise de poids et d’obésité. Au cœur de cet équilibre métabolique fragile régulé par ce couple microbiote et horloge biologique, une protéine bien spécifique lie le gain de poids aux bactéries intestinales.
L’épidémie d'obésité est à l’origine d’une « flambée » de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD : Non-Alcoholic Fatty Liver Disease), une préoccupation majeure en Santé publique qui sera débattue au prochain International Liver CongressTM. La stéatose hépatique non alcoolique est ainsi devenue la première cause de maladie du foie en Europe. Les chercheurs et les experts mondiaux entendent bien à cette occasion sensibiliser à la promotion d'une meilleure alimentation et de la pratique de l’activité physique.
La consommation d'huile de friture -ou d'aliments frits dans l'huile- accroît le risque de cancer du côlon et de colite, rappelle cette recherche d’une équipe de l’Université du Massachusetts. Cette comparaison des effets, chez la souris, de l'huile fraîche et de l'huile de friture révèle, dans la revue Cancer Prevention Research, que ce risque de maladie inflammatoire de l'intestin et de cancer du côlon est médié par l’oxydation des acides gras polyinsaturés lorsque l’huile est chauffée.
On sait que les boissons sucrées contribuent, chez leurs consommateurs réguliers, à hauteur de jusqu’à 25% des apports en sucres et qu’ajoutées à un régime alimentaire occidental, elles favorisent encore le risque d’obésité. Pour cette raison, les jus de fruits ont mauvaise presse aussi et leur consommation chute, en particulier chez les enfants. Pourtant, nous dit cette étude de l’Université de l'Ohio, les jus 100% à base de fruits peuvent contribuer à améliorer la qualité de l'alimentation des enfants.
Ces chercheurs du Trinity College Dublin montrent avec l’étude la plus large réalisée ce jour sur le sujet, que des niveaux inférieurs de vitamines et d’antioxydants alimentaires spécifiques sont associés à la fragilité associée à l’âge. Leurs conclusions, présentées dans le Journal of Post-Acute and Long-Term Care Medicine (JAMDA) appellent à de nouvelles recommandations nutritionnelles pour les plus âgés.
La fragilité est un syndrome chronique courant qui touche jusqu'à 25% des adultes âgés de plus de 65 ans et plus de la moitié des adultes âgés de plus de 80 ans.
En augmentant le « bon » cholestérol (HDL), un régime riche en légumes permet de réduire la fatigue chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP), révèle cette étude de l’Université de Buffalo (UB). Ces travaux, présentés dans la revue PLoS ONE, qui examine les effets des taux de graisse dans le sang sur la fatigue causée par la maladie, montrent également une réduction logique et bénéfique, avec ce type de régime, du taux de cholestérol total.
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