Et si l’on pensait un peu, avant de manger, aux effets de l’alimentation sur la santé ? L'état d'esprit au moment du repas peut aussi impacter sur les choix et les apports alimentaires et sur la réponse du cerveau aux aliments, suggère cette étude de l'Université de Tübingen (Allemagne), qui attaque, elle-aussi, mais sur un axe original, l’hyperphagie et l’obésité sous l’angle mental.
Quels sont les premiers responsables de la prise de poids et de l’obésité ? Plutôt les aliments gras ou plutôt les aliments sucrés ? Cette « drôle » de question, à laquelle de multiples études ont déjà répondu, motive cette nouvelle recherche d’une équipe de la Chinese Academy of Sciences. Les conclusions, présentées dans la revue Cell Metabolism et issues de l’analyse chez la souris de 30 régimes différents, variables dans leurs apports en graisse, hydrate de carbone (sucre) et protéique, et de plus de 100.000 mesures de poids et de graisse corporels sont sans équivoque : le facteur alimentaire qui fait grossir le plus, c’est la quantité de graisse dans le régime alimentaire.
Les personnes qui consomment régulièrement des oranges sont moins susceptibles de développer la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), conclut cette recherche du Westmead Institute for Medical Research. Ce sont à nouveau les flavonoïdes, des antioxydants trouvés dans les oranges qui apportent cet avantage, non négligeable puisque la dégustation d’une orange par jour est associée à une réduction de plus de 60% du risque de développer une DMLA, 15 années plus tard.
Ces dernières années, l’intérêt des chercheurs pour le curcuma a littéralement explosé, en particulier pour ses propriétés anticancéreuses. Cet engouement sans précédent répond à une demande croissante de préparations thérapeutiques à base de curcuma par une partie de la population en quête de traitements naturels et d’extraits de plantes.
Les propriétés exceptionnelles du curcuma : il faut rappeler que les recherches scientifiques ont permis de confirmer plusieurs allégations que leur prêtaient plusieurs traités de médecines traditionnelles :
Le régime méditerranéen peut-il être aussi le moyen de lutter contre l'ostéoporose ou la perte de densité osseuse liée à l’âge ? C’est ce que suggère cette étude d’une équipe de l’Université d'East Anglia (Angleterre) : le maintien d'une alimentation riche en fruits, légumes, noix, céréales non raffinées, huile d'olive et poisson peut réduire la perte osseuse et son effet est rapidement discernable : seulement 12 mois de ce régime suffisent à freiner la progression de la perte osseuse.
Cette nouvelle étude tente de mettre un point final aux discussions concernant les effets de la consommation de sel sur la santé cardiovasculaire et notamment l'augmentation du risque d'hypertension artérielle (HTA). Selon les chercheurs du de Brigham and Women's Hospital (BWH, Boston) en effet, les résultats paradoxaux récents pourraient être liés à des méthodologies d’évaluation imprécises. Bref, ces nouvelles données publiées dans l’International Journal of Epidemiology confirment en cas d’excès le risque d’hypertension artérielle, mais étendent la relation de manière linéaire au risque de décès.
L’adhésion à une alimentation sans gluten est, en général, corrélée à des comportements plus sains chez les jeunes adultes, souligne cette étude de l’Université du Minnesota (Minneapolis). Des conclusions présentées dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics qui associent les aliments sans gluten à des habitudes alimentaires plus saines, mais avec un bémol cependant : ces adeptes du gluten-free ont tendance à en surconsommer, au dépens du maintien du poids.
L'adhésion à un régime alimentaire de type méditerranéen est favorable à la santé cardiaque, avec ou sans réduction de la consommation de viande rouge, si la viande rouge consommée est maigre et non traitée, explique cette équipe de l'Université Purdue. Ainsi, l’étude est importante car elle montre que la viande rouge peut faire partie d'un régime alimentaire sain pour le cœur, tout comme un régime méditerranéen « pur et dur ».
« Les aliments agissent sur notre cerveau comme le font les composés pharmaceutiques » a déclaré Fernando Gómez-Pinilla, un professeur de neurochirurgie qui a passé des années à étudier les effets de l’alimentation, de l’exercice et du sommeil sur le cerveau. Pour lui, il n’y a pas l’ombre d’un doute : les aliments ont le potentiel d’influer positivement sur la santé du cerveau et sur les fonctions cognitives qui lui sont associées.
C’est le premier essai mené sur des effets vasculaires éventuels de la mangue, un fruit riche en toute une série de polyphénols, dont la mangiférine, la quercétine, la gallotannine, l'acide gallique…qui pouvaient laisser augurer de tels bénéfices. C’est bien le cas, et tout particulièrement chez les femmes, conclut cette étude de l'Université de Californie – Davis : 2 portions de mangue par jour ont un effet très bénéfique sur la pression artérielle systolique ici de femmes ménopausées en bonne santé.
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