Cette équipe de l'Université de Virginie soutenue par le NIH/National Heart, Lung and Blood Institute révèle la responsabilité de l’allergène de la viande rouge dans le risque associé de maladie cardiaque : certains patients « moins sensibles » à un allergène de la viande rouge présentent une accumulation réduite de plaque dans les artères du cœur (visuel de gauche). Des données présentées dans la revue Arteriosclerosis, Thrombosis and Vascular Biology certes préliminaires mais qui ouvrent une nouvelle approche ou cible potentielle pour prévenir ou traiter les maladies cardiaques dans un sous-groupe de personnes plus sensibles.
Les torchons de cuisine peuvent contribuer à la croissance d'agents pathogènes responsables d’intoxications alimentaires sévères, alerte cette étude de l'Université de Maurice, présentée au Congrès annuel ASM Microbe, de l’American Society for Microbiology (Atlanta, Georgie). Des données qui sensibilisent aux pratiques hygiéniques familiales, dans la cuisine, qui contribuent aussi à la charge microbienne des essuie-tout.
L’étude montre que plusieurs facteurs sont en cause dans la propagation de ce type d’intoxication, dont la composition et la taille de la famille, les pratiques hygiéniques dans la cuisine.
Contrairement à cette idée reçue erronée et persistante, il ne faut pas « manger pour deux » durant la grossesse mais plutôt surveiller son alimentation de près. Car la suralimentation pendant la grossesse est non seulement liée à un gain de poids maternel et mais aussi à l'obésité infantile, confirme cette étude britannique. Une confirmation mais aussi la révélation que durant la grossesse, une femme sur 3 connait une perte de contrôle sur son alimentation.
Les aliments que nous consommons jouent un rôle important dans notre santé. Ces différentes études scientifiques montrent comment les œufs, les noix, les produits laitiers, les légumes et même le café peuvent aider à protéger contre certains problèmes de santé. Ces dernières recherches, présentées au congrès Nutrition 2018 de l'American Society for Nutrition (Boston) sensibilisent ainsi à l'ajout de certains de ces aliments à notre alimentation pour réduire notre risque de diabète, de cancer, de maladies neurodégénératives et d'autres problèmes de santé.
Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 46% des décès liés aux maladies non transmissibles, soit 17,5 millions de décès par an. Cette nouvelle revue de la littérature met en évidence les avantages des régimes à base de plantes pour la santé cardiaque : ses données présentées dans la revue Progress in Cardiovascular Diseases indiquent que les régimes à base de plantes vont réduire jusqu’à 40% le risque de maladie cardiaque.
La réponse nous est apportée par ces chercheurs en nutrition de Université de Californie – Davis qui conviennent du rôle unique des boissons sucrées sur le risque de maladie cardio-métabolique. Des conclusions en forme d’avertissement, présentées dans les Obesity Reviews, spécifiquement contre les boissons sucrées, non seulement facteurs de problèmes de santé chroniques mais même dans le cadre de régimes qui n'entraînent pas de prise de poids.
La carence en vitamine D est liée à un risque accru de diabète, par cette étude de l’Université de Californie – San Diego. Ces données épidémiologiques, présentées dans la revue PLoS ONE, ajoutent ainsi aux effets métaboliques néfastes d’une insuffisance en vitamine D
La quantité quotidienne moyenne recommandée de vitamine D est de 400 UI pour les enfants de moins d'un an; 600 UI pour les âges de 1 à 70 ans (et moins pour les femmes enceintes ou qui allaitent) et 800 UI pour les personnes de plus de 70 ans- selon les National Institutes of Health.
Cette étude révèle un mode de contrôle glycémique à la fois exceptionnel, simple et quasi-dépourvu de complications. Il s’agit de régimes à très faible teneur en glucides qui permettent en effet d’améliorer le contrôle glycémique dans le diabète de type 1, avec de très faibles taux d'hypoglycémie et d'autres complications. Ces résultats, présentés dans la revue Pediatrics justifient néanmoins une confirmation par d’autres essais cliniques.
On parle beaucoup des jeûnes intermittents, avec des bénéfices possibles pour le métabolisme et le maintien du poids, cependant les données restent contradictoires. De plus, en imposant des changements importants à l'action de l'hormone régulatrice du sucre, l'insuline, le jeûne intermittent -ici pratiqué tous les 2 jours- pourrait augmenter le risque résistance à l »insuline et entraîner le développement d'un diabète, suggère cette étude présentée à Barcelone lors de la réunion annuelle de la European Society of Endocrinology, ECE 2018.
On sait qu’il existe des gènes de susceptibilité à l’obésité, cette étude révèle un lien entre l'obésité chez les grands-mères maternelles et leurs petits-enfants. Si ces conclusions, présentées dans la revue Pediatric Obesity confirment celles de précédentes études, c’est la première recherche prospective sur l'obésité pédiatrique à examiner la relation entre l'obésité abdominale des grands-parents et des petits-enfants, soit sur 3 générations.
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