Cette étude, publiée dans la revue Nutrients, lance un signal d'alarme aux parents, aux pédiatres et aux décideurs politiques face aux allégations trompeuses concernant les aliments pour bébés, et, dans la réalité, face à leur composition majoritairement non conforme aux besoins nutritionnels du petit enfant. Ainsi, l’équipe de biologistes et de nutritionnistes du George Institute for Global Health (Sydney) révèle que -sur le marché américain du moins- 60 % des aliments pour nourrissons et tout-petits ne répondent pas aux recommandations nutritionnelles.
Le régime végétarien plus efficace que le régime méditerranéen pour maintenir un poids de santé ou perdre du poids et réduire l’inflammation ? C’est ce que suggère cette équipe d’experts du Physicians Committee for Responsible Medicine (Washington) qui conseille, dans la revue Frontiers in Nutrition, d’adopter de préférence un régime végétarien à faible teneur en matières grasses.
Ce régime réduit en effet de 73 % les composés alimentaires inflammatoires nocifs appelés produits finaux de glycation avancée (AGE : advanced glycation end-products) de 73 %, par rapport au régime méditerranéen.
Ces endocrinologues et biologistes de la Harvard T.H. Chan School of Public Health identifient un lien significatif entre le fer héminique, présent dans la viande rouge et d'autres produits d'origine animale, et le risque de diabète de type 2. Leur étude, publiée dans la revue Nature Metabolism, qui montre aussi que le fer non héminique -présent dans les aliments d'origine végétale- n'est pas associé au risque de diabète de type 2.
Déjà documenté comme bénéfique à la longévité en population générale, le régime méditerranéen se révèle particulièrement associé à ce risque plus faible de mortalité, chez les survivants du cancer. Ainsi, l’adhésion à ce régime alimentaire après un diagnostic de cancer est associée à une forte réduction de la mortalité, notamment due aux maladies cardiovasculaires. Cette étude italienne menée par une équipe de chercheurs de l’Istituto Neurologico Mediterraneo Neuromed (I.R.C.C.S.),
Cette revue de la littérature, menée à l'Université George Washington, confirme de nombreux liens entre la consommation de légumineuses et des résultats positifs pour la santé, en particulier dans la gestion du diabète de type 2. Elle confirme également les effets des légumineuses sur les principaux biomarqueurs cardiovasculaires, tels que le cholestérol LDL et le cholestérol HDL. Prises ensemble, ces conclusions, présentées dans la revue Nutrients, sont favorables à l'augmentation de la consommation de légumineuses dans le cadre d’une alimentation saine et en particulier en cas de diabète.
Les diététiciens-nutritionnistes développent-ils des préjugés ou des obsessions quant à leur propre poids ou celui de leurs patients ? Cette étude britannique, basée sur un sondage, à paraître dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics révèle en effet une stigmatisation importante liée au poids de et chez ces professionnels de santé, à la fois envers eux-mêmes et envers les autres, dont leurs patients.
Cette étude de biologistes de l’Institut Riken (Japon) aboutit à une découverte importante : les antigènes alimentaires comme les protéines du lait contribuent à empêcher les tumeurs de se développer dans nos intestins, en particulier l'intestin grêle. Des expériences, menées chez la souris et présentées dans la revue Frontiers in Immunology montrent comment ces protéines déclenchent et stimulent le système immunitaire intestinal, l’engageant à stopper la croissance tumorale.
Cette équipe de nutritionnistes et de neuroscientifiques de l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign suggère que consommer plus d'aliments à base de soja pourrait améliorer plusieurs capacités cognitives, dont l’attention, la réflexion et la concentration, notamment chez les enfants. La recherche, présentée lors du Congrès Nutrition 2024 de l’American Society for Nutrition (ASN) met en lumière de nouveaux avantages des isoflavones, des flavonoïdes très présents dans les aliments à base de soja..
Les aliments à faible Nutri-Score sont définitivement associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires, conclut cette équipe de médecins nutritionnistes et de chercheurs en nutrition de l’INSERM, France. La recherche, publiée dans le Lancet Regional Health rapporte un risque accru de maladies cardiovasculaires associé à la consommation d'aliments moins bien classés sur l'échelle Nutri-Score au sein de la cohorte européenne EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition).
Cet essai clinique, mené à l’Oregon Health & Science University (OHSU), tente de conclure sur l'effet de l'huile de poisson et des omega-3 sur le cerveau des personnes âgées et aboutit à « un bénéfice statistiquement significatif » pour les personnes génétiquement prédisposées à la maladie d'Alzheimer. Les conclusions, publiées dans le JAMA Network Open, ne révèlent en effet et précisément aucun bénéfice statistiquement significatif pour toutes les personnes âgées en général.
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