Un seul repas pourrait faire la différence dans le contrôle glycémique : réduire les glucides du petit-déjeuner peut être bénéfique toute la journée pour les personnes atteintes de diabète de type 2, conclut cette équipe de l’Université de la Colombie-Britannique (Okanagan, UCBO, Canada). Alors que l’une des principales difficultés pour les personnes vivant avec un diabète de type 2 est l’augmentation rapide ou importante de la glycémie après le repas, l’étude, publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, indique qu’un petit-déjeuner pauvre en glucides, à la première heure du matin, semble permettre de mieux contrôler la glycémie tout au long de la journée.
Une meilleure alimentation pourrait-elle rajeunir votre cerveau ? Ces scientifiques de l’Université Ben Gourion du Néguev (Israël) répondent par l’affirmative. Ils publient dans la revue eLife les résultats d’un essai de régime à long terme qui confirme ses effets positifs sur la santé du cerveau. Il s’agit à nouveau, et sans surprise, d’un type de régime méditerranéen, un régime méditerranéen vert, qui à la perte de poids corporel associe une réduction du vieillissement cérébral.
Le thé noir, tout autant que le vert est bénéfique à nos artères et à notre santé cardiovasculaire, c’est la première conclusion de cette étude menée à l’Université Edith Cowan (ECU, Australie) et proposée dans la revue Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biology. Deuxième conclusion, les flavonoïdes sont les substances, contenues dans le thé, majoritairement responsables de ces effets favorables. Enfin, ces flavonoïdes contenus dans une seule tasse quotidienne de thé, pourraient déjà apporter un niveau significatif de prévention cardiovasculaire, plus tard dans la vie.
Cette équipe de la Peking University s’interroge sur la capacité des régimes très faibles en glucides et en acides gras, à prolonger la vie des adultes d'âge moyen et plus âgés. En d’autres termes, sont-ce les sucres ou les graisses qui sont principalement en cause dans la mortalité prématurée ? Cette large étude, publiée dans le Journal of Internal Medicine (JIM), confirme prioritairement l’effet nocif et majeurs des acides gras saturés.
Cette large étude menée à l’Université de l’Ohio est la première à comparer les stratégies de perte de poids et leurs résultats dans le contexte des « Life’s Essential 8 » de l’American Heart Association (AHA), une liste de facteurs de « contrôle » associés à la santé cardiaque. Les conclusions, présentées dans le Journal of the American Heart Association (JAHA) rappellent que rien ne vaut une bonne alimentation et une pratique régulière de l’activité physique sur le long terme, pour perdre du poids ou maintenir un poids de santé, un message primordial en regard de la hausse de prévalence de l’obésité : ainsi, plus de 85% de la population adulte américaine sera en surpoids ou obèse d’ici 2030.
Reconnu, avec le régime DASH, comme le nec plus ultra pour la santé métabolique et cardiovasculaire, le régime méditerranéen est devenu un standard pour de nombreux consommateurs. Cependant, de la théorie à la pratique, pour diverses raisons notamment de disponibilité et d’accès à ses composants, il existe souvent un écart entre l’intention et la pratique, difficile à appréhender. Un nouveau score, développé à l’Université de Cambridge et documenté dans la revue PLoS Medicine, pourrait permettre de mesurer l’adhésion au régime méditerranéen.
Cette équipe de gastroentérologues de l’Université de Vienne (MedUni Vienna) révèle le rôle important de cellules immunitaires, les macrophages de l’intestin, dans le développement de la carence en fer. Alors qu’un métabolisme du fer équilibré est une condition essentielle à la santé, le fer étant un composant important de l'hémoglobine, responsable du transport de l'oxygène dans les globules rouges, ces travaux, publiés dans la revue Blood, suggèrent une nouvelle approche pour d'éventuelles mesures thérapeutiques, contre l’anémie.
Alors que de nombreuses études ont montré l’importance d’opter, pour les parents, pour un mode de vie sain, même avant la conception, et chez la mère durant la grossesse, que ces facteurs de mode de vie déterminent la santé des enfants pour la vie, cette nouvelle étude, d’une équipe de pédiatres et de gynécologues de l’Université de Birmingham développe, dans la revue Fertility and Sterility, un nouvel avantage d’une alimentation saine durant la grossesse : des apports élevés en fruits et légumes sont liés à un risque de fausse couche réduit.
Cette étude, menée par une équipe du Max Planck Institute for Marine Microbiology ouvre-t-elle l’espoir de permettre un jour à l’Homme de produire des phytostérols de novo dans le but de réduire ses niveaux de cholestérol sanguin ? En tous cas, la recherche découvre et décrit des vers marins capables de synthétiser des phytostérols de novo et montre que de nombreux autres animaux possèdent les gènes nécessaires pour fabriquer ces stérols végétaux.
Cette étude publiée dans BJU International (BJUI) confirme en premier lieu que si l'adhésion à une alimentation saine ne semble avoir aucun effet sur le risque de cancer de la prostate, en revanche une alimentation malsaine peut augmenter le risque de cancer de la prostate agressif. L’alimentation est donc bien un facteur de risque, et le régime occidental augmente sans aucun doute ce risque.
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