La consommation de certains émulsifiants additifs alimentaires pourrait être associée, aussi, à un risque accru de diabète de type 2, conclut cette nouvelle analyse des données de la cohorte française NutriNet-Santé. Ces conclusions, publiées dans le Lancet Diabetes & Endocrinology sensibilisent à nouveau aux effets des régimes alimentaires occidentaux, riches en aliments ultra-transformés.
En Europe et en Amérique du Nord, rappellent les chercheurs dans leur communiqué, 30 à 60 % de l’apport énergétique alimentaire des adultes provient d’aliments ultra-transformés.
On sait que l’alimentation -dont les antioxydants- a un impact considérable sur la santé mentale. Mais cette étude de nutritionnistes et psychologues de l’Université d'Otago (Nouvelle Zélande) va plus loin en suggérant un effet immédiat de bonne humeur, avec la consommation de fruits « à fourrure » comme le kiwi et riches en vitamine C. Cet effet documenté dans le British Journal Of Nutrition, engage à respecter les apports en fruits recommandés et à ne pas oublier le kiwi.
Des produits frais (ici gratuits) ajoutés chaque semaine à l'alimentation, ont un effet mécanique positif sur la pratique de l’activité physique, conclut cette analyse présentée lors des American Heart Association’s (AHA – EPI) Lifestyle Scientific Sessions 2024. Ainsi, en pratique un programme de livraison hebdomadaire gratuite de produits frais à domicile a induit les bénéficiaires de ce programme à augmenter de 42 minutes leur durée hebdomadaire d’activité physique.
Alors que les recherches se multiplient pour démontrer les bénéfices pour la santé, métabolique et cardiovasculaire, du jeûne intermittent, cette étude d’une équipe de l'Université Jiao Tong de Shanghai révèle qu’un type précis de jeûne intermittent, une alimentation limitée dans le temps, sur une plage horaire de 8 heures dans la journée, est associée à un risque 91 % plus élevé de décès cardiovasculaire.
Trop manger ou « mourir de faim » sont deux comportements qui endommagent autant le foie, alertent ces scientifiques du Stowers Institute for Medical Research (Kansas City) avec cette recherche menée chez… le poisson cavernicole. La recherche, bien que très expérimentale, publiée dans la revue Life Science Alliance, apporte un nouvel aperçu de la stéatose hépatique et délivre un nouveau message sur les effets possibles de restrictions alimentaires trop excessives : « Pas assez manger, comme trop manger, est toxique pour le foie ».
Ce n’est pas la première à le suggérer, mais cette étude de l’Université de Californie du Sud (USC) confirme, et explique comment un régime de type jeûne intermittent réduit les facteurs de risque de maladie et l'âge « biologique » chez l'Homme. En pratique, un tel régime qui imite le jeûne et induit une forme spécifique de restriction alimentaire, permet de réduire la résistance à l'insuline, la graisse hépatique, le vieillissement du système immunitaire et l'âge biologique chez les humains.
Remplacer la viande rouge par du hareng et des sardines pourrait sauver jusqu'à 750.000 vies par an en 2050, conclut cette équipe qui fait valoir, dans le British Medical Journal (BMJ) Global Health, à la fois la teneur élevée de certains poissons en acides gras polyinsaturés à longue chaîne oméga-3 (DHA et EPA), dont l'apport peut prévenir les maladies coronariennes, et leur empreinte carbone plus faible que celle des autres sources d’aliments d’origine animale.
Cette équipe de neurologues de l’Université de Californie Los Angeles (UCLA) révèle que les femmes particulièrement, qui souffrent de solitude, présentent une activation accrue dans les régions du cerveau associées aux fringales. Avec, associée à cette activation, une motivation réelle à manger décrite comme une forme de « craving » notamment en cas d’exposition à des aliments riches en calories ou sucrés.
Mieux connu pour ses avantages dans l’épilepsie réfractaire sévère, le régime cétogène apparaît réduire aussi les symptômes en cas de maladies mentales graves, comme le trouble bipolaire ou la schizophrénie. C’est la conclusion de cette équipe de psychiatres et de neurologues de la Stanford Medicine qui, avec ce petit essai pilote publié dans la revue Psychiatry Research, révèle, plus largement que ce régime alimentaire contribue à « stabiliser » le cerveau.
Les injections comme le coût de l'insuline restent une préoccupation pour de nombreux patients diabétiques de type 1, cette recherche qualifiée de « révolutionnaire » montre qu'un régime végétalien faible en graisse mais sans limitation des glucides peut être une solution non médicamenteuse pour réduire les besoins en insuline, gérer la glycémie et améliorer la santé cardiaque de ce groupe de patients.
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