Alors que les différents types de jeûne intermittent réunissent un nombre croissant d’adeptes, de plus en plus de personnes se posent la question de « manger plus par nécessité » que par routine, même en l'absence de faim ou que par plaisir ou gourmandise. « Manger par nécessité ou par plaisir ? », c’est la question que pose aujourd’hui cette recherche de neuroscientifiques du Baylor College of Medicine (Houston) qui identifie un circuit cérébral qui favorise l'alimentation motivée par la faim et supprime l'alimentation motivée par le plaisir : une nouvelle piste à suivre, documentée dans la revue Nature Metabolism contre l'obésité.
Ce n’est pas la première équipe à le dire : un ratio plus élevé de protéines végétales par rapport aux protéines animales permet d’améliorer significativement la santé cardiaque. Cette large étude longitudinale menée à la Harvard T.H. Chan School of Public Health, promet une réduction de près de 20 % risque de maladie cardiovasculaire et de près de 30 % du risque de maladie coronarienne chez les personnes qui favorisent le plus les protéines végétales dans leur régime alimentaire.
Face aux effets indésirables possibles et à l’observance souvent déficiente d’une supplémentation orale en fer, ces nutritionnistes et biologistes de l’Institut Karolinska, révèlent qu’un médicament appelé carboxymaltose ferrique, administré en perfusion intraveineuse IV) fonctionne plus rapidement et de manière plus efficace qu’une supplémentation orale -par comprimés- en fer, pour le traitement de l'anémie, durant la grossesse. Ces données, publiées dans le Lancet Global Health, en révélant qu’1 seule dose de carboxymaltose ferrique administrée par IV pendant la grossesse provoque une augmentation plus rapide du taux sanguin sur 4 semaines vs la supplémentation orale, désignent une solution alternative pour contrer l’anémie maternelle.
Cette analyse d’une équipe de gynécologues et de nutritionnistes du Physicians Committee for Responsible Medicine (Washington) révèle que le remplacement, dans le régime alimentaire, des produits d'origine animale par des aliments d'origine végétale, chez les femmes ménopausées, permet de réduire de 92 % les bouffées de chaleur. Alors que les symptômes de la ménopause, dont les bouffées de chaleur, peuvent être extrêmement handicapants, ces données publiées dans le BMC Women’s Health confirment, encore une fois, l’impact de la nutrition sur le bien-être et la qualité de vie.
On sait aujourd’hui que le microbiote intestinal produit différents composés bioactifs qui peuvent affecter la physiologie de l'hôte et au fil des études, se dessine de plus en plus largement le rôle clé que peut jouer le microbiote intestinal dans la santé en général. Cette équipe de la Washington University School of Medicine met aujourd’hui en lumière, une bactérie particulière, bénéfique en raison de surprenantes capacités métaboliques.
Cette équipe de la Cleveland Clinic (Ohio) confirme le lien déjà suggéré entre les substituts du sucre et un risque accru de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral (AVC). La recherche, publiée dans l’European Heart Journal, pointe la responsabilité d’un composé particulier, le xylitol, un édulcorant « zéro calorie » courant dans certains bonbons et le dentifrice sans sucre.
Le xylitol est un substitut du sucre couramment utilisé dans les bonbons, les gommes, certains produits de boulangerie et produits oraux sans sucre comme le dentifrice.
Un programme de nutrition préopératoire réduit les coûts et les complications de la chirurgie et trouve une place naturelle dans ce concept de préhabilitation qui consiste à préparer des patients, ici à une chirurgie élective. Cette étude présentée lors du Congrès 2024 de l’American College of Surgeons (ACS) estime ainsi, et au-delà des bénéfices escomptés pour les patients, des économies annuelles de 8 millions de dollars, pour les seuls Etats-Unis, grâce à une réduction des complications, des hospitalisations et à une gestion optimisée des ressources.
Moins de 50 % de nombreux compléments prénatals contiennent la quantité adéquate de choline et d’iode, alerte cette équipe de nutritionnistes de l’Université du Colorado sur le marché américain. L’étude, publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition est l’une des premières à tester leur concentration de choline et d’iode, des nutriments essentiels au développement du fœtus.
Le message, délivré aux professionnels de la santé de la Femme, et aux femmes enceintes est donc de veiller au bon dosage de ces nutriments essentiels dans les vitamines prénatales.
Faire des enfants aussi des « mangeurs heureux », c’est l’objectif de cette équipe de nutritionnistes et de psychologues de l’University of Illinois College of Agricultural, Consumer and Environmental Sciences, qui explore comment les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux influencent l'autorégulation de l'appétit chez l'enfant. Des conclusions, publiées dans la revue Social Science & Medicine, qui commenent à défricher l'interaction complexe des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux avec de surcroît le tempérament individuel, qui fait le secret de la régulation de l'appétit chez l'enfant.
Le cholestérol n'est en effet pas le seul lipide impliqué dans les maladies cardiovasculaires liées aux acides gras trans, rappelle cette équipe du Salk Institute (San Diego) qui identifie d’autres graisses alimentaires spécifiques dans les sphingolipides qui favorisent également le développement de maladies cardiovasculaires athéroscléreuses. L’étude préclinique, publiée dans la revue Cell Metabolism, suggère que l’attention centrée sur le cholestérol a conduit au développement de médicaments hypocholestérolémiants (statines) et a probablement négligé d’autres facteurs majeurs de maladie cardiovasculaire.
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