Déverrouiller le génome du brocoli pour comprendre ses bienfaits pour la santé, c’est chose faite avec cette étude de biologistes de la Nanjing Agricultural University The Academy of Science, qui décrypte précisément le génome de « B. oleracea var. italica Plenck » (Bop04-28-6, brocoli). Cette recherche en horticulture, avec des implications en nutrition et en santé, révèle dans la revue spécialisée Horticulture Research, les fondements génétiques de la production de glucosinolates au sein de ces légumes largement consommés.
La réalisation de cette recherche par une équipe de l’Université de l’Oklahoma Health Sciences Center, auprès d’un groupe de pompiers, ne réduit pas ses implications à ce groupe de population, mais apporte un exemple de l’efficacité de l’alimentation à prévenir et à lutter contre les cancers. Ces travaux, publiés dans le Journal of Nutrition Education and Behaviour, révèlent à quel point les habitudes alimentaires peuvent réduire un risque bien documenté de cancer et appellent à mieux communiquer sur ce mode de prévention.
Cette recherche de nutritionnistes, de biologistes et de psychologues de l’Université du Nebraska-Lincoln établit un lien entre des nutriments clés et un vieillissement cérébral plus lent. Ces conclusions, publiées dans la revue Nature Aging, confirment également un profil nutritionnel similaire à celui du régime méditerranéen, chez les participants présentant un vieillissement cérébral plus lent.
Les scientifiques étudient depuis longtemps le cerveau dans le but de favoriser un vieillissement plus sain.
C’est « un petit truc » qui apporte un grand bonus pour leurs consommateurs : refroidir les oranges sanguines pourrait les rendre encore plus saines en renforçant leur concentration en anthocyane, un pigment anti-oxydant bénéfique à la santé. Cette équipe de biologistes de l’Université de Floride (UF), un état au climat subtropical de grande culture, démontrent ici dans la revue Food Chemistry Advances que lorsque le fruit est exposé à des températures plus « froides » inférieures à leur température habituelle de culture, le fruit regorge « encore plus » d'antioxydants et d'autres bienfaits pour la santé.
Un régime alimentaire de jeûne intermittent 5:2 permet le contrôle glycémique chez les adultes diabétiques et en surpoids. Ces conclusions d’une équipe de la Chinese Academy of Medical Sciences, (Beijing), publiées dans le JAMA Network Open, sont donc en faveur d’une intervention nutritionnelle en première intention, ou en combinaison, en cas de surpoids et de diabète précoce.
Si le jeûne intermittent a déjà démontré de multiples bénéfices métaboliques, il existe de multiples pratiques qui emportent chacune des avantages spécifiques.
Concentrée en omega-3, l’huile de poisson constitue une supplémentation courante. Cette équipe de cardiologues de l’Université de Guangzhou (Chine) alerte sur les effets possibles d’une consommation trop régulière de suppléments d'huile de poisson. Une telle consommation pourrait augmenter, plutôt que diminuer, le risque de première maladie cardiaque et d'accident vasculaire cérébral (AVC) chez les personnes en bonne santé cardiovasculaire. Ces nouvelles données, publiées dans le BMJ Medicine, rappellent que toute supplémentation ne doit pas être prise à la légère, mais sur conseil d’un professionnel de santé.
Cette équipe de biologistes et de virologues de l’Université de l’Illinois à Chicago présente au Congrès ASM Microbe 2024 de nouvelles connaissances sur les effets des régimes riches en protéines sur le microbiome intestinal, la composition corporelle et la santé. L'équipe décrypte notamment comment un excès de protéines non digérées dans le côlon peut être fermenté pour produire des métabolites bénéfiques comme les acides gras à chaîne courte par exemple, ou comment un excès d'autres protéines peut conduire à la production de métabolites nocifs comme l'ammoniac et les sulfures- à l’origine de troubles gastro-intestinaux et à d’autres problèmes de santé.
Ce sont 20 années d’études passées en revue par cette équipe de chercheurs en nutrition de l’Université de Bologne, qui confirment les bienfaits pour la santé associés aux régimes végétariens, ou à base de plantes, avec cependant, un appel à des recherches complémentaires sur certains effets de carence possibles. Des données donc actualisées, publiées dans la revue PLoS ONE, qui mettent notamment en exergue leurs bénéfices cardiovasculaires.
Alors que les études sont plus nombreuses sur le jeûne intermittent, une autre forme de restriction alimentaire trouve de plus en plus d’adeptes : le jeûne hydrique prolongé. De multiples allégations de santé, dont la perte de poids corporel et des améliorations sur de nombreux marqueurs métaboliques et cellulaires font aujourd’hui son succès. Mais quelles sont à ce jour les données de la science sur les effets de tels régimes sur la santé ?
Si de très nombreuses recherches ont déjà alerté sur les risques pour la santé associés à la consommation régulière d’aliments ultra-transformés, cette nouvelle recherche, publiée dans le British Medical Journal (BMJ) se distingue par son suivi de 30 ans. L’analyse qui établit un lien entre les aliments ultra-transformés et un risque plus élevé de décès prématuré, précise que tous les aliments ultra-transformés ne devraient pas être universellement restreints, soutient cependant la limitation voire l’évitement de certains, pour la santé à long terme.
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