Si de nombreux effets de la vitamine D ont été démontrés, la vitamine D est surtout connue pour ses bénéfices dans la santé osseuse. Cette équipe de l’University of South Australia en décrit un nouvel avantage en documentant, pour la première fois, un lien direct entre de faibles niveaux de vitamine D et des niveaux élevés d'inflammation. Cette étude génétique, publiée dans l’International Journal of Epidemiology identifie ainsi un biomarqueur important permettant de détecter les personnes à risque de formes plus sévères de maladies chroniques à composante inflammatoire.
Ce sont de nouvelles directives qui visent à prévenir l'obésité spécifiquement chez les femmes d'âge mûr, qui viennent d’être publiées par ces experts du Cedars-Sinai Medical Center (Los Angeles). Des recommandations publiées dans les Annals of Internal Medicine qui sensibilisent les femmes à cette fenêtre critique de prise de poids mais appellent également les médecins à une meilleure surveillance et gestion du poids chez leurs patientes d'âge moyen et d’âge mûr.
« Petit-déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince et dîner comme un pauvre » ?
Concentrer l’essentiel de ses apports caloriques tôt dans la journée, pour se caler avec l’horloge et le début de la période d’activité, réduit la faim pour le reste de la journée, mais n'affecte pas le métabolisme et la combustion des graisses, souligne de manière plutôt surprenante, cette équipe de nutritionnistes de l'Université d'Aberdeen (Écosse).
Ce risque de maladie cardiaque accru avec la consommation de viande rouge et de produits de la viande, pourrait provenir de la réponse des microbes intestinaux à la digestion, conclut cette équipe de la Friedman School of Nutrition Science et de l'Université Tufts (Boston) dans la revue Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biology (ATVB) : les métabolites ou composés chimiques produits dans le tube digestif par les bactéries du microbiote, après la consommation de viande rouge, contribuent ainsi à expliquer ce risque cardiovasculaire.
« Peu importe la fibre que vous choisissez, le principal c’est d’en avoir », conclut cette équipe de nutritionnistes de la Duke University : les scientifiques nous expliquent, ici dans la revue Microbiome, que l’intestin humain a évolué pour prospérer grâce aux fibres fermentescibles, et non pour consommer des cheeseburgers au bacon. Si les bénéfices des fibres sont déjà bien documentés, l’étude confirme ces avantages, des avantages plus flagrants encore, chez les personnes qui, habituellement, n’en consomment pas suffisamment.
Quelle efficacité d’une supplémentation en vitamine D pour prévenir l’infection et les formes sévères de COVID-19 ? Plusieurs études ont traité le sujet mais avec des résultats mitigés. Ces 2 nouveaux essais font pencher le débat « du mauvais côté » : ils n’identifient aucun lien entre les suppléments de vitamine D et une réduction du risque réduit de COVID. Ces nouvelles données, publiées dans le British Medical Journal, n’enlèvent cependant en rien l’intérêt d’une telle supplémentation en cas de carence avérée.
Déjà impliquée par de précédentes études dans la pathogenèse de la maladie diabétique et notamment de certaines de ses complications ophtalmologiques, l’enzyme aldose réductase (AR) est pointée du doigt par cette équipe de la NYU Grossman School of Medicine (New York) : une alimentation riche en graisses favorise l'induction de l'activité de l'aldose réductase (AR), qui favorise l'expression puis la sénescence des adipocytes dans le tissu adipeux sous-cutané et freine la lipolyse, selon cette étude publiée dans la revue Obesity.
Cette nouvelle étude sur l'alimentation limitée dans le temps, un type spécifique de jeûne intermittent confirme des effets métaboliques bénéfiques prometteurs de ce régime alimentaire, chez les adultes atteints de diabète de type 2. L’étude, publiée dans la revue Diabetologia est en ligne avec de précédentes recherches ayant déjà révélé des changements métaboliques prometteurs chez les personnes en surpoids ou obèses, notamment l'augmentation de la combustion des graisses, la baisse de la glycémie et l'amélioration de la sensibilité à l'insuline.
L’accumulation de graisse dans le foie (ou stéatose hépatique non alcoolique ou maladie du foie gras non alcoolique – NAFLD) est définitivement liée à un risque accru d'insuffisance cardiaque dans les 10 années à venir, alerte cette équipe internationale. L’étude, publiée dans la revue Gut, souligne l’impact de ce facteur majeur et indépendant, de diabète, d'hypertension artérielle et d'autres troubles cardiovasculaires courants.
Boire du thé noir, comme du thé vert, est aujourd’hui largement associé à de multiples avantages pour la santé. Cette nouvelle étude des NIH, publiée dans les Annals of Internal Medicine montre que le thé, la boisson, la première boisson la plus consommée dans le monde, est associé à un risque plus faible de mortalité. Et cet avantage démontré ici aussi pour le thé noir, commence avec une consommation modérée, d’environ 2 tasses par jour.
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