Cette recherche menée à l’Université de l'Oregon (OSU) révèle comment un composé dérivé du houblon réduit l'abondance de bactéries intestinales associées au syndrome métabolique. Des conclusions importantes, publiées dans la revue Microbiome, en regard de la prévalence élevée et croissante des troubles métaboliques.
On estime que 35 % de la population des pays riches souffre de syndrome métabolique, un syndrome lié à un régime trop riche en graisses saturées.
Les fraises détiendraient-elles la bonne combinaison d’antioxydants pour optimiser la santé cognitive et l'humeur chez les personnes en surpoids ? Alors que le surpoids est associé à des interférences dans la mémoire et à des symptômes dépressifs, cette étude, menée à l'Université de Cincinnati et publiée dans la revue Nutrients, suggère en effet, avec la consommation de fraises, des améliorations significatives de la fonction exécutive et de l’équilibre émotionnel.
Cette analyse de l'Université de Hong Kong (HKUMed) de métadonnées alimentaires et sanitaires de millions de personnes conclut que la consommation de viande rouge est non seulement associée à un risque de maladie cardiovasculaire (MCV) mais aussi de diabète de type 2. Ces résultats publiés dans l'European Heart Journal confirment le risque cardiovasculaire déjà documenté par de précédentes études et révèle, en plus, un risque métabolique.
Être végétarien peut être en partie inscrit dans les gènes, conclut cette vaste étude menée à la Northwestern University (Illinois) qui identifie 3 gènes fortement liés au végétarisme. L’étude, publiée dans la revue PLoS ONE démontre pour la première fois que le profil génétique joue un rôle significatif dans le choix du régime alimentaire.
C’est aussi la première étude indexée et validée par des pairs à examiner le lien entre le végétarisme et la génétique.
On connait les bienfaits des fibres insolubles pour la régularité intestinale et la santé globale. Mais derrière ces avantages connus des aliments végétaux, « se cachent » des composés bioactifs uniques, associés à une réduction de multiples maladies chroniques. Cette équipe de l'Université du Minnesota, qui documente ses découvertes dans la revue Nutrients, suggère de nouvelles raisons pour donner la priorité aux fibres dans notre alimentation et ouvre de nouvelles options de supplémentation.
Cette équipe de virologues de l’Université de l'Alberta vient d’identifier un acide aminé, la taurine, qui pourrait jouer un rôle clé dans la prédiction et le traitement du COVID long. Les chercheurs canadiens annoncent, dans la revue Cell Reports Medicine, le lancement de leur essai de phase 3, avec à la clé, des résultats importants à la fois, pour le diagnostic et le traitement des COVID long.
Cette équipe de l’Université de Sydney apporte de nouvelles preuves soutenant l’hypothèse de l’effet de levier des protéines dans le développement de l’obésité, selon laquelle, lorsque les apports protéiques sont insuffisants, le corps compense par d’autres apports alimentaires, ce qui induit la prise de poids. Les chercheurs présentent les études publiées sur le rôle des protéines sur les mécanismes de l'appétit et de la satiété, et expliquent comment notre environnement interagit aussi avec nos besoins en protéines et autres nutriments et peut contribuer à augmenter le risque d'obésité.
Cette nouvelle compréhension de mécanismes à l’origine du manque d’appétit après l’exercice, ouvre, selon cette équipe de la FAPESP (Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo) et des Universités de Campinas (Brésil) et de Copenhague (Danemark) de nouvelles possibilités de traitement de l’obésité. En effet, ces hormones et ces métabolites sécrétés après l'activité physique et qui agissent ensemble pour supprimer la faim, suggèrent de nouvelles voies et cibles thérapeutiques.
Perdre du poids à la quarantaine est difficile, mais pas impossible, souligne cette équipe de la Mayo Clinic (Rochester) qui suggère aux femmes de cette tranche d’âge de combiner une thérapie nutritionnelle médicalisée, la pratique de l’exercice et des interventions comportementales pour parvenir à une perte de poids durable ou éviter la prise de poids à l’approche de la ménopause. L’étude, présentée lors de la Réunion 2023 de la Menopause Society, met une nouvelle fois en exergue le mode de vie, comme intervention de première intention dans le maintien d’un poids de santé, chez la femme en transition vers la ménopause.
La trigonelline dérivée du café améliore les fonctions cognitives. C’est la découverte de cette équipe de biologistes de l’Université de Tsukuba (Japon) qui ajoute ainsi au nombre des composés naturels fonctionnels capables de freiner le déclin cognitif lié à l'âge. Une recherche proposée dans la revue GeroScience, qui apporte sa petite contribution au « bien-vieillir ».
ainsi que dans les graines de fenugrec (plante et condiment) et le radis, offre ainsi des avantages cognitifs.
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