Les graisses saturées pourraient être bonnes pour la santé, conclut cette étude de l'Université de Bergen (Norvège), qui apporte de nouvelles données à ce débat de longue date et remet en question l’effet « malsain » de ces acides gras, en particulier pour la santé cardiaque. Cette conclusion, étayée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, engage en fait à consommer des aliments diversifiés et de bonne qualité.
Cette recherche de l'Université de Tel Aviv (TAU) suggère que les famines et les jeûnes traversés au cours de notre histoire laissent leur empreinte génétique sur la descendance. Une empreinte génétique néfaste, puisqu’elle raccourcit considérablement la durée de vie des enfants et de leurs descendants de sexe masculin. Une étude présentée dans l’American Journal of Clinical Nutrition qui aboutit à un résultat surprenant : Le raccourcissement des télomères induit par la famine est un phénomène sexuellement dépendant.
Des risques significativement accrus de diabète, de maladie cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et de cancer, les risques d’une consommation excessive de produits alimentaires à base de viande ont été largement documentés. Cet examen de la littérature qui nous apporte une nouvelle synthèse, très complète, de ces effets sur la santé et nous en révèle un tout nouveau : celui d’une « exacerbation » de certains symptômes de l’asthme.
Drôle d’expérience qui nous est relatée par ces chercheurs de l’excellent Cornell Food & Brand Lab ! Le repas, partagé avec d’autres apparaît, mais seulement chez les hommes, comme un moment de rivalité et une « démonstration de virilité », écrivent les auteurs. Car en société, en compagnie d’autres hommes, les hommes mangent 30% de plus ! En synthèse, ces conclusions présentées dans la revue Frontiers in Nutrition montrent que « l'alimentation sociale » conduit à la suralimentation… surtout chez certains hommes.
Le sucre, en excès, est associé à l'obésité, au diabète et à la carie dentaire et limiter sa consommation de sucre fait partie des recommandations nutritionnelles de la plupart des pays du monde. Cette étude financée par des géants de l’industrie alimentaire, de boissons et de produits alimentaires sucrés (Coca-Cola, PepsiCo et McDonald), peut être remise en cause, pour conflit d’intérêt.
Question posée par ces chercheurs de l’Université de Liverpool qui suggèrent ici que les normes sociales influencent de manière significative les choix alimentaires. Les résultats de cette revue systématique de la littérature scientifique, publiés dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, suggèrent que notre alimentation répond à des normes et que c'est une manière inconsciente aussi de manifester notre appartenance à un groupe social.
Ne faudrait-il pas mettre la planète (ou du moins une partie) au régime ? Plus d’une personne sur 3 dans le monde a dépassé la limite d’un IMC supérieur à 25, seuil au-delà duquel le surpoids s’installe. C’est la conclusion d’un groupe de réflexion britannique, l’Overseas Development Institute, qui confirme une forte hausse de l’incidence du surpoids, de 11% en moins de 30 ans et appelle à une stratégie de lutte internationale pour une alimentation équilibrée et contre l’obésité, du même type que celle mise en place pour le tabagisme.
Plus de 300 cas confirmés d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) humaines, pour ces années 2009 et 2010, en France métropolitaine et dans les départements et territoires d’outre-mer, c’est le bilan surprenant du Réseau national de surveillance des maladies de Creutzfeldt-Jakob (MJC), sur une maladie pas si rare que cela, fatale et difficile à détecter car de longue durée d’incubation, et sans aucune réaction inflammatoire ou immunitaire détectable.
Pourquoi est-il plus difficile de contrôler son poids avec l’âge et pourquoi vieillissement rime souvent avec adiposité, surpoids voire obésité ? Cette étude japonaise de l’Université de Shizuoka apporte pour la première fois une explication biologique de l'obésité liée à l'âge. L’échec ou la plus grande difficulté de la graisse brune à consumer de l’énergie. Ce processus, décrypté dans le Faseb Journal, semble une cible prometteuse de nouveaux traitements des maladies métaboliques.
C’est une des rares études à avoir suivi, sur une longue durée des personnes ayant suivi un régime pour perdre du poids et l’une des seules aussi à conclure que le maintien de la perte de poids est possible sur le long terme, mais à la condition, bien sûr, de respecter un certain nombre de mesures clés. Ce bilan, présenté dans l’édition de janvier 2014 de l’American Journal of Preventive Medicine, tient sans surprise en 4 mots, activité physique, régime à faible teneur en matières grasses auto-pesée et jamais d’excès.
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