Une supplémentation en zinc chez les patients COVID-19 carencés pourrait en effet favoriser leur rétablissement, conclut cette équipe de l’Hospital del Mar Medical Research Institute (IMIM) and de la Pompeu Fabra University (UPF, Barcelone) : la mortalité par COVID dans ce groupe de patients atteint 21% vs 5% chez les patients ayant des niveaux plus élevés de zinc dans le sang.
Ces chercheurs du Texas A&M décryptent un peu plus les effets nocifs des boissons énergisantes sur le cœur. Ils montrent, dans la revue Food and Chemical Toxicology, comment ces boissons peuvent parfois « donner un coup de pouce », mais dans d’autres cas, contribuer au développement de maladies cardiaques graves. En cause, des effets directs sur les cardiomyocytes, les cellules musculaires du cœur.
Sport, jeûne intermittent, chez certains rien n’y fait, la graisse du ventre résiste. Cette étude d’endocrinologues et de biologistes de l’Université de Sydney montre à quel point la localisation de la graisse est importante dans sa persistance : en cartographiant, par spectographie de masse ce qui se passe dans des tissus adipeux de souris pendant le jeûne intermittent, les chercheurs australiens décryptent une cascade de changements biologiques bien spécifique au type de dépôts graisseux et à sa localisation dans le corps.
Cette recherche d’une équipe de l’Université de Reading apporte une nouvelle explication à l’effet néfaste des régimes riches en graisses sur la santé cardiaque : les graisses suractivent une protéine destructrice qui stresse les cellules cardiaques jusqu’à l’hypertrophie, et ce jusqu’à la crise cardiaque. Ces travaux, publiés dans la revue Biochemical and Biophysical Research Communications, identifient une protéine clé dans ce processus, qui constitue une nouvelle cible thérapeutique prometteuse.
C’est une nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau, que nous propose cette équipe de l’Oregon Health & Science University (OHSU) qui identifie des changements dans le microbiome intestinal liés à un comportement comparable à celui observé dans la maladie d'Alzheimer. Cette étude, menée chez la souris et publiée dans les Scientific Reports, élargit notre compréhension du rôle critique des microbes dans la santé cérébrale et cognitive.
La vitamine B6 (pyridoxine) pourrait contribuer à prévenir les formes graves de COVID-19, ses complications dont notamment la tempête de cytokines. La vitamine B6 pourrait également dissoudre les caillots sanguins fréquemment associés au décès par COVID-19. Alors que peu de recherches encore ont regardé les effets de B6 en prévention de COVID-19, cette équipe de l’ Université d'Hiroshima apporte de premières données prometteuses, avec cet examen de la littérature publié dans la revue Frontiers in Nutrition.
On sait déjà que le fructose, présent en forte concentration dans les boissons sucrées, les sucreries et les aliments transformés est associé à l'obésité, au diabète de type 2 et à la stéatose hépatique non alcoolique. Mais si les apports de fructose ont considérablement augmenté dans le monde ces dernières années, la compréhension du fructose sur le système immunitaire est restée limitée.
Globalement, les études sont favorables à une consommation raisonnable de café et font valoir ses bénéfices divers pour la santé. Cependant, trop c’est trop, écrivent ces chercheurs de l’University of South Australia qui alertent les inconditionnels du café : une consommation trop élevée soit 6 tasses ou plus par jour, peut, à long terme augmenter le risque de maladie cardiovasculaire. Ces résultats, oubliés dans la revue Clinical Nutrition mettent en lumière l’action spécifique du cafestol sur les niveaux de lipides sanguins.
On pense généralement et parfois à tort, qu’il faut éviter tout aliment frit dans son alimentation. En cause principalement, le risque accru de maladie coronarienne, d'insuffisance cardiaque, de diabète ou d'hypertension souvent associé à la consommation régulière de fritures, riches en acides gras saturés. Cependant, peu d'études ont rapporté une telle association en deçà d’une consommation très fréquente de fritures, c'est-à-dire à raison de 4 fois ou plus par semaine (1).
On sait que remplacer les protéines de la viande rouge par des protéines végétales saines réduit significativement le risque de maladie cardiovasculaire. Cependant, les protéines végétales apportent un autre effet bénéfique, jusque-là ignoré, pour la santé des femmes plus âgées : un risque plus faible de décès prématuré lié à la démence. C’est la conclusion de cette large étude menée par une équipe de l'Université de l'Iowa et publiée dans le Journal of American Heart Association (JAHA) qui apporte une motivation supplémentaire à opter pour un régime sain de type végétarien ou méditerranéen.
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