Des scientifiques du Max-Planck-Gesellschaft décryptent les fonctions des cellules nerveuses du nerf vague, une voie clé entre l’intestin et le cerveau, 2 organes qui communiquent afin de réguler la satiété et la glycémie au cours de la consommation alimentaire. Cependant, ces chercheurs font une découverte surprenante : toutes les cellules nerveuses n’ont pas les mêmes fonctions. Bien que regroupées dans le même centre de contrôle, elles innervent différentes régions de l'intestin et contrôlent de manière spécifique la satiété et la glycémie.
Une personne diabétique sur 2 est hypertendue.
Retrouver le contrôle glycémique par la perte de poids et maintenir ensuite un poids de santé reste une méthode clé pour parvenir à une rémission ou une meilleure gestion du diabète de type 2. Mais cela apporte également d’autres avantages, comme un meilleur contrôle de l’hypertension artérielle et la réduction voire l’arrêt du traitement antihypertenseur.
Les personnes qui prennent un dîner essentiellement constitué de légumes et de fruits pourraient réduire leur risque de maladie cardiaque de 10%, conclut cette étude de cardiologues de l'Université de médecine de Harbin (Chine). Des données publiées dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism qui confirment que des apports trop élevés ou réguliers de glucides raffinés et de viande grasse au dîner sont associés à un risque cardiaque plus élevé.
S’il n’est pas encore possible d’inverser l’ensemble du processus de vieillissement, il apparaît ici envisageable d’inverser l'âge épigénétique en adhérant à un régime et à un mode de vie appropriés. En d’autres termes, adopter un mode de vie très sains pourrait gommer voire effacer certaines des modifications épigénétiques qui résultent de différents facteurs environnementaux de vieillissement. Cette étude pilote, publiée dans la revue Aging, et menée auprès de participants âgés en bonne santé, montre qu’un tel changement de vie, même à l’âge avancé peut concrètement faire gagner à notre ADN du moins, jusqu’à plusieurs années de vie…
Il s’agit d’un petit essai clinique contrôlé randomisé mené auprès de 43 hommes adultes en bonne santé, âgés de 50 à 72 ans, invités à suivre un programme de 8 semaines comportant des conseils sur l'alimentation, le sommeil, l'exercice et la relaxation, ainsi qu’une supplémentation en probiotiques et phytonutriments.
La science et cette équipe de nutritionnistes du Pennington Biomedical Research Center (Bârton-Rouge) en particulier, se rapprochent d'un régime optimal pour la santé métabolique sans privation ou restriction calorique : il s’agit plutôt ici d’une restriction en méthionine via la caséine oxydée et ce régime apparaît aussi efficace qu’un régime alimentaire globalement restreint en méthionine. Cette recherche, publiée dans la revue iScience, reprend le concept de restriction en acides aminés souffrés, avec l’objectif d’aboutir à des aliments consommables : car les aliments à faible teneur en méthionine ont très mauvais goût !
Alors les omega-3 bénéfiques ou néfastes à la santé ? Et si oui, faut-il préférer les aliments riches en omega-3 ou une simple supplémentation ?
Le débat se poursuit et au fil des études, la connaissance progresse sur les effets multiples de ces acides gras. Pour preuve, cette étude de l'Intermountain Healthcare Heart Institute (Salt Lake City) qui révèle que certains omega-3 sont bénéfiques à la santé cardiaque et d’autres pas.
Leur consommation quotidienne recommandée est d’au moins 400 grammes par jour. Consommer plus de fruits et légumes réduit le risque de maladies chroniques, métaboliques et cardiaques, mais permet aussi de réguler son stress, conclut cette équipe de nutritionnistes et psychologues de l'Université Edith Cowan (ECU, Perth, Australie). En cause, les niveaux de caroténoïdes, ces pigments végétaux qui donnent leurs couleurs aux fruits et aux légumes, et qui sont également de puissants antioxydants, bénéfiques à la santé physique et mentale.
On sait qu’un seul verre c’est tout l’apport de sucre d’une journée, pourtant certaines personnes en consomment de manière quotidienne. Or consommées régulièrement, avant l'âge de 50 ans, les boissons sucrées sont également associées à un risque jusqu’à multiplié par 2 de cancer de l'intestin, révèle aujourd’hui cette équipe de nutritionnistes de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston) et de la Washington University (St.
Ses effets neuroprotecteurs, aussi, sont déjà bien documentés, le régime méditerranéen est à nouveau plébiscité, ici, dans la revue Neurology, par une équipe du DZNE – German Center for Neurodegenerative Diseases pour sa capacité de protection contre la perte de mémoire et la démence : un apport relativement plus important de légumes, légumineuses, fruits et céréales et des acides gras monoinsaturés, tels que l'huile d'olive, protège contre les dépôts de protéines toxiques mais aussi contre l'atrophie cérébrale.
Le régime végétarien est à nouveau confirmé comme associé à une meilleure santé cardiovasculaire via un profil de biomarqueurs plus sain, avec cette très large étude britannique, présentée à l’European Congress on Obesity de l’European Association for the Study of Obesity. Des résultats qui confirment les avantages des protéines végétales plutôt qu’animales contre le risque cardiaque et cela, quels que soient l’âge et le poids corporel et même indépendamment de certains facteurs de mode de vie, pourtant clivants pour la santé, comme le tabagisme et la consommation d'alcool.
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