Le régime alimentaire des enfants a un impact sur leur santé à vie, en particulier sur leur espérance de vie, démontre cette équipe de l’Université de Californie – Riverside (UCR). Les chercheurs qui ont regardé les effets d’aliments malsains chez de jeunes souris constatent des modifications durables sur le microbiome intestinal avec des conséquences sur la durée de vie. Ces conclusions, présentées dans le Journal of Experimental Biology, obtenues chez l’animal devront encore être validées chez l’Homme, soulignent, comme l’ont déjà fait de nombreuses études, l’importance du régime alimentaire au jeune âge pour la santé bien plus tard dans la vie.
Les recommandations actuelles suggèrent déjà de limiter la consommation de caféine pendant la grossesse à 2 tasses de café par jour. En révélant des changements dans le cerveau du bébé exposée in utero à la caféine, cette étude de l'Université de Rochester, publiée dans la revue Neuropharmacology, souhaite sensibiliser les femmes en âge de concevoir à un risque possible de troubles de comportement minimes mais préoccupants chez l’enfant.
La consommation de raisin peut protéger la peau des dommages causés par les UV, révèle cette étude publiée dans le Journal of the American Academy of Dermatology, révèle que les polyphénols du raisin apportent cette résistance accrue aux coups de soleil et limitent les dommages cutanés causés par les UV.
Certes l’étude est soutenue par la California Table Grape Commission mais elle apporte une promesse intéressante en réponse à l’incidence croissante des cancers de la peau associés à une exposition aux rayons UV du soleil : environ 90% des cancers cutanés non mélaniques et 86% des mélanomes, respectivement sont associés aux UV.
Si cette étude est menée par l’Institute for Scientific Information on Coffee (ISIC), elle pourra néanmoins intéresser tous les amateurs de café dans le doute et à la recherche de preuves sur ses effets, en particulier sur le sommeil et sur la vigilance. Rédigé par le professeur Renata Riha, du département de médecine du sommeil de l'Université d'Édimbourg, ce rapport, intitulé «Café et sommeil dans la vie quotidienne», ne manque en effet pas de références.
Cette étude originale de l’Université de Toronto s’est penchée sur les différents facteurs possibles associés au trouble de stress post-traumatique (SSPT). Cette recherche aboutit à un certain nombre de découvertes qui relient la nutrition au SSPT. Parmi ces facteurs figure la consommation quotidienne de fibres ? Un résultat d’association, finalement pas si surprenant, documenté dans la revue Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology.
C’est une nouvelle étude qui remet en cause l’hypothèse que café puisse être « mauvais » pour le cœur parce que responsable de palpitations, d’hypertension artérielle, ou autres complications… Cette méta-analyse, publiée dans la revue Circulation de l’american Heart Association (AHA), confirme la relation maintenant mieux documentée entre l'augmentation de la consommation de caféine et une diminution du risque d’insuffisance cardiaque.
Cet essai croisé randomisé « révolutionnaire » qui a comparé les régimes végétalien et méditerranéen révèle qu'un régime végétalien allégé en graisse n’a pas d’équivalent en termes de poids, de composition corporelle, de sensibilité à l'insuline et de taux de cholestérol. Même pas le régime méditerranéen pourtant documenté comme la référence pour la santé cardiométabolique ! Ces nouvelles données publiées dans le Journal of the American College of Nutrition, contredisent l'idée reçue de perte de poids associée au régime méditerranéen.
On ne compte plus les bénéfices du thé, en particulier du thé vert pour la santé, et à elle-seule, la boisson la plus consommée du monde confirme le potentiel thérapeutique de certaines plantes et de certains aliments. Quant au café, c’est « quasi idem », à condition de ne pas en consommer en excès. Cette étude observationnelle de l’Université University in Suita (Japon), documente, dans la revue Stroke, un nouveau bénéfice : boire du thé vert et du café semble réduire le risque de récidive de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.
Certes cette étude est financée par le US Mushroom Council, cependant elle apporte des données très intéressantes sur ce légume d’appoint, le champignon, et sur ses effets bénéfiques possibles à partir de données issues de la fameuse National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES 2011-2016). Cette analyse confirme ainsi l'impact nutritionnel significatif d'une seule portion de champignons, et l'apport de vitamine D, et le tout sans augmentation des calories ou de sodium.
La consommation d'aliments frits est définitivement liée à un risque très accru d’événement cardiaque majeur, conclut cette étude chinoise qui met pour la première fois en exergue la relation dose-dépendante entre ces apports alimentaires et le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) : selon ces données à paraître dans la revue Heart, chaque portion hebdomadaire supplémentaire de 100g environ accroît le risque jusqu’à 12%.
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