La consommation régulière de produits de la viande transformée a déjà été associée à plusieurs risques pour la santé, dont le risque de certains cancers, de maladie cardiovasculaire et de troubles de l’humeur jusqu'à des comportements maniaco-dépressifs. Cette très large recherche de l’Université de Leeds, menée à partir des données de la BioBank britannique, présente, dans l’American Journal of Clinical Nutrition, de nouvelles preuves des effets délétères de la consommation de viande transformée sur la santé du cerveau.
Le sucre est ajouté à de nombreuses denrées alimentaires courantes et nous en consommons plus de 100 grammes par jour. La teneur élevée en calories du sucre entraîne une prise poids puis une obésité et des comorbidités. Mais quel est le processus déclenché par une consommation régulière et excessive de sucres ? Et avec quel type de sucre ? Cette équipe de nutritionnistes et endocrinologues de l’Université de Zurich montre ici, dans le Journal of Hepatology comment même des quantités modérées de sucre, précisément de fructose ou de saccharose peuvent considérablement accélérer la synthèse des graisses.
Cette équipe du Deutsches Krebsforschungszentrum ou German Cancer Research Center (DKFZ, Heidelberg) révèle comment de nouveaux agents pathogènes peuvent provoquer le développement du cancer colorectal. Ces facteurs bovins présents dans les produits laitiers et la viande (BMMFs pour bovine milk and meat factors) déclenchent une inflammation chronique locale, qui peut provoquer des mutations via des molécules d'oxygène et favoriser le développement du cancer.
Une supplémentation en vitamine D peut contribuer à protéger les personnes à faibles niveaux contre les formes de COVID-19 sévères, réaffirme cette étude du Montefiore Health System et de l’Albert Einstein College of Medicine (New York, Bronx). Un rappel documenté lors du congrès ENDO 2021 de l’Endocrine Society, alors qu'environ 80% des patients COVID-19 sont carencés et que la moitié des patients ayant une faible teneur en vitamine D ne reçoivent pas de supplémentation.
On sait qu’adopter un régime alimentaire trop riche, de type « occidental », entraîne des risques accrus de différentes maladies métaboliques, dont l’obésité et ses comorbidités, le diabète de type 2, le syndrome métabolique, la maladie cardiovasculaire et la stéatose hépatique. Cependant, cette équipe de nutritionnistes du Karolinska Institutet (Suède) soutient qu’il est possible d’éliminer les dysfonctionnements métaboliques causés par un régime trop riche en graisses.
Un Appel des scientifiques européens pour la mise en œuvre du Nutri-Score en Europe, un logo nutritionnel simple et transparent reposant sur des bases scientifique solides, destiné à aider les consommateurs à améliorer leurs choix alimentaires et contribuer à la prévention des maladies chroniques.
269 scientifiques et 21 associations d’experts (représentant des centaines de scientifiques et de professionnels de la santé) travaillant dans 32 pays européens dans les domaines de la nutrition, de l’obésité, de l’endocrinologie, de la santé publique, de la médecine préventive, de la cancérologie, de la cardiologie, de la pédiatrie et du marketing social,..
Les bienfaits du régime méditerranéen et/ou d’un régime de perte de poids se « répercutent » sur toute la famille de la personne qui l’initie et l'observe, c’est ce que ces chercheurs du Hospital del Mar Medical Research Institute (IMIM) appellent « l’effet halo » ! Ainsi, la recherche, publiée dans l’ International Journal of Obesity, révèle que les proches d’un patient qui suit un programme de poids « médicalisé » perdent en moyenne près de 4 kilos, une perte de poids évaluée ici 2 ans après le début du régime.
« Le régime végétalien conduit-il à une mauvaise santé des os ? », s’interroge cette équipe de nutritionnistes du Federal Institute for Risk Assessment (BfR, Berlin). L’étude, publiée dans la revue Nutrients révèle en effet des différences dans la santé des os associées au régime alimentaire mixte ou végétalien.
Le régime végétalien est à la mode et son impact sur la santé fait l'objet d'études scientifiques plus nombreuses.
Une supplémentation en zinc chez les patients COVID-19 carencés pourrait en effet favoriser leur rétablissement, conclut cette équipe de l’Hospital del Mar Medical Research Institute (IMIM) and de la Pompeu Fabra University (UPF, Barcelone) : la mortalité par COVID dans ce groupe de patients atteint 21% vs 5% chez les patients ayant des niveaux plus élevés de zinc dans le sang.
Ces chercheurs du Texas A&M décryptent un peu plus les effets nocifs des boissons énergisantes sur le cœur. Ils montrent, dans la revue Food and Chemical Toxicology, comment ces boissons peuvent parfois « donner un coup de pouce », mais dans d’autres cas, contribuer au développement de maladies cardiaques graves. En cause, des effets directs sur les cardiomyocytes, les cellules musculaires du cœur.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |