Quand faut-il manger pour bien gérer son poids? Faut-il prendre un petit déjeuner ? Faut-il éviter les collations de fin de soirée ? Cette équipe de l'Université de Vanderbilt confirme, dans la revue PLoS Biology, tout l’intérêt de la chrononutrition : ce n'est pas seulement le nombre de calories que vous mangez, mais quand vous les mangez, car le moment des repas détermine dans quelle mesure on brûle ces calories.
Un régime pauvre en glucides redonne-t-il « un coup de jeune » au cerveau ? Un régime alimentaire pauvre en glucides (ou « carbodiet ») pourrait en effet prévenir et inverser les effets liés à l'âge dans le cerveau, soutient cette équipe de l’Université Stony Brook (New York). L’étude démontre, par neuroimagerie que si les premiers changements neurobiologiques associés au vieillissement peuvent être observés à un âge bien plus jeune que prévu, dès la quarantaine, ce processus, plus précoce qu’on ne le pensait, peut être prévenu ou inversé par des changements de régime alimentaire.
Vous n'arrivez pas à dormir mais ne voulez pas prendre de médicaments ? Le concept est simple : les prébiotiques alimentaires peuvent apporter des changements favorables au microbiome intestinal et réduire notre vulnérabilité aux perturbations induites par le stress, en particulier lors de comportements complexes comme le sommeil. La théorie est défendue par cette équipe de Université du Colorado à Boulder qui élargit les bienfaits des fibres alimentaires au-delà de la santé digestive.
Ce flavonoïde présent en forte concentration dans les oranges et les mandarines pourrait contribuer à lutter contre l'obésité, révèle cette étude de l’Université de Western Ontario, publiée dans le Journal of Lipid Research. Avec des implications pratiques et immédiates ! L'équivalent de seulement 2 verres et demi de jus d'orange par jour pourrait en théorie, inverser l'obésité et réduire le risque de maladie cardiaque et de diabète.
Un régime végétarien riche en noix, en légumes et soja notamment apparaît très efficace à réduire le risque d'AVC, conclut cette étude de l'Université Tzu Chi (Taiwan). Les conclusions, présentées dans la revue Neurology qui mettent à nouveau en garde contre l’excès de viande mais aussi de poisson confirment celles d’une toute récente étude présentée dans l’European Heart Journal.
L'AVC est la deuxième cause de décès dans le monde et l'une des principales causes d'invalidité, rappelle l’auteur principal, le Dr Chin-Lon Lin, de l'Université Tzu Chi à Hualien : « L'AVC peut également favoriser la démence.
Cet examen de la littérature sur les omega-3, mené par une équipe de l’Université d'East Anglia, remet totalement en question d’éventuels bénéfices des omega-3 contre le cancer. Des résultats présentés dans le British Journal of Cancer (BJC) et dans les Cochrane Reviews qui réfutent clairement l'intérêt à augmenter notre consommation de ces acides gras,. Les conclusions réfutent également de nombreuses allégations sur leur capacité à protéger contre les cancers.
10% de la population mondiale souffrira de troubles anxieux, une des principales causes actuelles de handicap. L’anxiété est certainement, comme l’obésité, un mal du siècle. Et si une nutrition équilibrée est évidemment la première des conditions pour éviter l’obésité, cette étude de l’Université de Toronto suggère que c'est également une solution pour réduire le mal-être et l’anxiété. Ces chercheurs suggèrent qu’en dépit de facteurs parfois sévères, les troubles anxieux ne peuvent être pris en charge que par des approches globales qui ciblent l’ensemble du mode de vie et notamment l'alimentation.
De nombreuses études ont fait valoir les bénéfices des produits laitiers, notamment contre la fragilité, l’hypertension et certains troubles métaboliques même dont l’obésité et le diabète. Cette nouvelle recherche de la Loma Linda University (Californie) associe, à nouveau, la consommation de « lait laitier » à un risque accru de cancer du sein. Des données probantes, présentée dans l’International Journal of Epidemiology qui suggèrent que la consommation régulière d'un seul verre par jour peut augmenter jusqu'à 50% le risque de cancer du sein.
La consommation régulière de boissons avec sucres ajoutés est liée à un déséquilibre lipidique et donc à un risque accru de maladie cardiovasculaire, confirme cette étude de l'Université Tufts de Boston. Consommer ne serait-ce que l’équivalent d’une canette par jour entraîne une réduction des niveaux de « bon » cholestérol mais une augmentation des triglycérides. Deux marqueurs bien connus de risque cardiovasculaire, rappellent ces cardiologues qui publient dans le Journal of the American Heart Association (JAHA).
Alors que l’AVC est la deuxième cause de décès dans le monde, ces données permettent d’y voir plus clair dans le lien entre le régime alimentaire et le risque de chaque type d’accident vasculaire cérébral. En effet, jusqu'à présent, la plupart des études ont examiné l'association entre l'alimentation et l'AVC, tous types confondus. Cette nouvelle étude, publiée dans l’European Heart Journal et menée auprès de plus de 400.000 Européens a bien distingué AVC ischémique et AVC hémorragique.
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