Cette équipe de l'Université Augusta (Géorgie) alerte sur le rôle essentiel d’un acide aminé, le tryptophane, qui, en particulier avec l'âge, permet le maintien de l’humeur, les niveaux d’énergie, la réponse immunitaire et protège notre microbiome. Cette étude, publiée dans l’International Journal of Molecular Sciences, décrypte l’ensemble de la relation entre le tryptophane, le microbiome intestinal et la réponse inflammatoire.
Le tryptophane est un acide aminé présent en forte concentration dans des aliments comme le lait, la dinde, le poulet et l'avoine.
La graisse brune ou « bonne graisse », un rempart contre un grand nombre de maladies chroniques fait partie de notre capital santé. Ces chercheurs de l'Université du Texas à Houston (UTHealth) montrent comment de simples changements de régime et d’habitudes alimentaires peuvent détruire peu à peu ces tissus adipeux sains tout au long de la vie. Ces travaux, publiés dans la revue Nature, confirment que la constance et l’observance d’un régime alimentaire sain et d’un rythme circadien régulier, tout au long de la vie, contribue à limiter considérablement le risque de stockage erratique des graisses, ainsi que de troubles métaboliques et cardiaques associés.
Cette équipe de l'Université Augusta (Géorgie, US) révèle une nouvelle cible de traitement pour les maladies cardiovasculaires, un transporteur de cuivre- une molécule qui nous permet d'utiliser le cuivre que nous consommons via notre alimentation, pour permettre une multitude de fonctions vitales du corps. Or ce transporteur exerce, entre autres fonctions, un rôle clé dans notre santé cardiovasculaire : il nous permet de développer de nouveaux vaisseaux sanguins lorsque les nôtres deviennent fatigués ou malades.
Cette équipe de cliniciens de l'Université George Washington montre que l'alimentation peut suffire à venir à bout des symptômes vasomoteurs « classiques » de la ménopause. L’équipe propose un régime alimentaire efficace qui permet, précisément, de réduire, de 84 % les symptômes gênants de la ménopause, sans médicaments « bien sûr ». Ces données publiées dans Menopause, la revue de la North American Menopause Society, confirme que le soja, entre autres aliments, joue un rôle clé dans ces effets bénéfiques et apaisants.
Les effets des acides gras oméga-3 tels que les acides eicosapentaénoïque (EPA) et docosahexaénoïque (DHA), sur les résultats cardiovasculaires restent discutés. Cette large méta-analyse de chercheurs du Brigham and Women's Hospital confirme un effet bénéfique des acides gras oméga-3 sur les résultats cardiovasculaires. Ces données, présentées dans la revue EClinical Medicine, rassurent sur le rôle des acides gras oméga-3, en particulier de l'acide eicosapentaénoïque sur prescription, en contexte clinique.
Un régime riche en aliments fermentés augmente la diversité du microbiome et réduit l'inflammation, conclut cette étude de nutritionnistes de l’Université de Stanford. On sait qu’un microbiote diversifié est associé à une meilleure santé et une faible diversité du microbiome a été liée au diabète et à l’obésité. Ces données, présentées dans la revue Cell, révèlent comment un simple changement de régime alimentaire, avec un apport suffisant d’aliments fermentés, peut remodeler de manière reproductible le microbiote intestinal chez des adultes en bonne santé.
Le grignotage et la prise de collations (ou « snacks ») à base de féculents, riches en pommes de terre notamment, est associée à une augmentation drastique de 50 % du risque de décès et jusqu’à 57 % du risque de décès cardiovasculaire. Inversement, consommer des fruits, des légumes ou des produits laitiers au cours des repas est associé à un risque réduit de décès par maladie cardiovasculaire, cancer ou de toute autre cause.
Décidemment, les bactéries de nos intestins semblent détenir la clé de notre santé mais aussi de nos défenses contre la plupart des maladies chroniques, intestinales bien sûr, mais aussi métaboliques, neurologiques et même le cancer, souligne aujourd’hui cette équipe de scientifiques de l’Université de Wurtzbourg (Allemagne), publiée dans la revue Nature Communications. Les chercheurs font ici la démonstration de la capacité de certains acides gras à chaîne courte, produits par des bactéries intestinales, à booster nos cellules T antimorales.
Cette équipe de neurologues du Department of Psychiatry et de nutritionnistes de l’University of North Carolina (UNC) Health Care montre comment un changement de régime alimentaire basé sur certaines classes d'acides gras permet de réduire, de manière significative, les maux de tête chez des patients diagnostiqués comme migraineux. De nouvelles données, publiées dans le British Medical Journal (BMJ) qui ouvrent -une nouvelle fois- une voir thérapeutique non médicamenteuse, nutritionnelle et naturelle.
Cette étude de chercheurs de l’École de médecine de l'Université de Washington, menée à la fois sur la souris et in vitro, sur des échantillons de sang humain, suggère que le « bon » cholestérol HDL (High Density Lipoprotein) peut prévenir l'inflammation du foie : un type de « bon cholestérol » en particulier, appelé « HDL3 », lorsqu'il est produit dans l'intestin, apparaît tout particulièrement protecteur pour le foie.
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