C’est une étude de plus à démontrer que l'intervention alimentaire peut être aussi efficace que les médicaments pour réduire le cholestérol et qui prône l’alimentation telle un traitement plus « simple et tout aussi viable » pour les nombreux patients qui ne peuvent ou ne veulent pas prendre une statine. Ainsi, en remplaçant seulement une petite partie de ce que les patients hyperlipidémiques consomment habituellement, par des produits formulés avec précision pour aider à réduire le cholestérol LDL, il apparaît possible d’obtenir une réduction rapide et très significative du cholestérol.
Cette équipe de scientifiques de de l'Université de Rochester identifie ici, dans la revue PLoS ONE, des indices qui relient la douleur et la nourriture. Cette nouvelle illustration de l’axe intestin cerveau, confirme aussi un nouveau facteur d’obésité : la douleur chronique paraît induire un changement du comportement alimentaire qui peut fréquemment conduire au développement de l'obésité.
On sait depuis longtemps qu'il existe une association entre la nourriture et la douleur, car les personnes souffrant de douleur chronique ont souvent des difficultés à maintenir un poids de santé.
C’est l’une des premières revues à documenter ces bénéfices du café sur la digestion. C’est donc un nouvel avantage de la consommation modérée de café, que met en avant cette équipe de chercheurs français de l’hôpital Necker-Enfants Malades Hospital, de l’Université Paris Descartes et de la faculté de médecine de Strasbourg : cet examen de la littérature, publié dans la revue Nutrients, constate que la consommation de café a des effets stimulants sur le processus digestif, ainsi qu'un effet protecteur contre les calculs biliaires et certaines maladies du foie.
Si le régime alimentaire ne suffit sans doute pas à repousser le virus, il a son rôle à jouer dans la prévention des infections et des formes sévères de COVID-19. Ce commentaire d’experts en nutrition, publié dans l’European Journal of Clinical Nutrition, se montre en faveur de l'adoption d'un régime riche en fruits et légumes, donc en antioxydants, pour conjurer l'infection et la maladie COVID-19.
Cette étude menée par les chercheurs du National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI/NIH) révèle que prendre ses repas de jour permet de réduire les risques pour la santé liés au travail de nuit. Ce petit essai clinique, publié dans la revue Science Advances, confirme en effet que manger pendant la nuit, comme le font de nombreux travailleurs postés, augmente encore plus les niveaux de glucose, alors que s’alimenter uniquement pendant la journée permet de limiter l’augmentation de la glycémie liée à une horloge biologique malmenée.
On sait que le sucre est un facteur d’activité cérébrale et qu’à l’instar de la plupart des nutriments, sa consommation en excès peut avoir des effets néfastes sur la santé, notamment sur la santé métabolique. Cette équipe du Tokyo Metropolitan Institute of Medical Science a regardé précisément les effets d’un apport excessif de sucre sur les fonctions cérébrales supérieures. Elle conclut, dans la revue Science Advances, qu’un régime riche en saccharose peut favoriser l’angiopathie cérébrale avec une altération de l’absorption du glucose et des dysfonctionnements cérébraux.
L'obésité est un facteur de risque bien documenté de diabète gestationnel, et un nombre croissant de femmes enceintes sont en surpoids ou obèses. Les habitudes alimentaires ont un impact à la fois sur l'obésité et sur le développement du diabète gestationnel. Cette étude de l’Université de Turku (Finlande) publiée dans l’European Journal of Nutrition engage à nouveau les femmes en âge de concevoir non seulement à veiller à maintenir un poids de santé, mais aussi à adopter une alimentation équilibrée.
Les personnes ayant une consommation plus élevée d'aliments ultra-transformés, par opposition aux aliments frais (visuel) ont un risque accru d’événement cardiovasculaire fatal, soit de 70% de deuxième crise cardiaque ou deuxième accident vasculaire cérébral (AVC), par rapport aux participants consommant moins fréquemment ce type d’aliments. Cette conclusion d’une étude de l’Istituto Neurologico Mediterraneo Neuromed (IRCCS, Italie),documentée dans l’European Heart Journal, vaut notamment chez les personnes qui souffrent déjà de maladies cardiovasculaires et même si ces personnes sont déjà « passées » au régime méditerranéen.
Le jeûne intermittent à raison d'un ou 2 jours par semaine, induit aussi une réponse bénéfique anti-inflammatoire, conclut cette équipe de nutritionnistes et de cliniciens de l’Intermountain Healthcare (Salt Lake City). C’est un nouvel avantage au spectre des bénéfices, de plus en plus large au fil des études de ce mode d’alimentation qui alterne périodes de jeûne et repas, plus ou moins longues selon les régimes.
Le jeûne gagne en popularité comme moyen de perdre du poids ; l'associer à l'exercice peut améliorer les résultats pour la santé, conclut cette équipe de médecins du sport de l’Université Brigham Young (Utah). Ainsi, pratiquer l'exercice au début du jeûne peut aider à atteindre la cétose – ou le stade métabolique auquel le corps commence à brûler les graisses- 3,5 heures plus rapidement, conclut cette étude publiée dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise.
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