Cette équipe de l’Université d'Otago (Nouvelle-Zélande) rappelle avec cette étude, la perte de poids possible et les bienfaits pour la santé de 3 régimes alimentaires, le régime méditerranéen, le jeûne intermittent, et le régime « paléolithique ». Cependant, les résultats présentés dans l’American Journal of Clinical Nutrition révèlent aussi que des 3 régimes, le méditerranéen est de loin, le plus facile à suivre.
Car certaines algues peuvent réellement améliorer la santé gastro-intestinale, conclut cette équipe de l’Université de Californie – San Diego, après ce premier « test » portant sur les effets de la consommation d’une algue verte spécifique, sur des symptômes digestifs. Des données présentées dans le Journal of Functional Foods qui mettent en exergue cette source précieuse de nutriments mais aussi de bénéfices pour la santé humaine.
Achever ses études, commencer un emploi et devenir parent fait partie du cours normal de la vie. Cependant ces étapes qui caractérisent l’immersion dans l’âge adulte s’accompagnent toutes d’une prise de poids. Deux études, présentées dans les Obesity Reviews, décryptent les raisons et l’ampleur de ces phénomènes et ce faisant, apportent quelques pistes pour y échapper.
La fin des études et le début de la vie professionnelle sont associés à une baisse d'activité physique, tandis que devenir mère est directement lié à une prise de poids accrue, concluent ces 2 méta-analyses menées à l'Université de Cambridge.
On sait qu’une horloge biologique déréglée mène à la prise de poids, aux troubles métaboliques et peut même favoriser le développement de certains cancers, comme le cancer du sein. Cette équipe de l'Université de Barcelone (UB) va plus loin : elle établit, dans la revue Nutrients un lien entre le décalage horaire du week-end et notamment des repas et le risque d’obésité.
Ce pigment végétal, la quercétine, peut réduire considérablement la pression artérielle, conclut cette équipe chinoise, qui démontre, avec cette méta-analyse, que la consommation régulière de ce flavonoïde peut réduire considérablement l'hypertension artérielle (HTA) chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires. Cette synthèse des données de la littérature, présentée dans les Nutrition Reviews aboutit via cet effet hypotenseur de la quercétine à une réduction drastique des risques d'insuffisance cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) et d'infarctus du myocarde.
Les buveurs de thé, et principalement de thé vert, vivent plus longtemps, conclut cette équipe de recherche de l’Académie chinoise des sciences médicales de Pékin et en meilleure santé : boire du thé au moins 3 fois par semaine est lié à une vie plus longue et plus saine, selon ces données publiées dans l’European Journal of Preventive Cardiology, un journal de la Société européenne de cardiologie (ESC) qui estiment à plus d’une année l’espérance de vie en bonne santé, gagnée avec une consommation régulière de thé.
C’est un tout nouveau mécanisme déclencheur de la maladie cœliaque qu’identifie ici cette équipe de l’Université Monash (Australie) : des protéines bactériennes qui imitent les protéines du gluten, au point d’induire ensuite une réponse immunitaire aberrante au gluten. Alors que l’exposition bactérienne avait déjà été identifiée comme un facteur de risque environnemental possible dans le développement de la maladie, ces travaux, présentés dans la revue Nature Structural and Molecular Biology, qui contribuent à expliquer son déclenchement et sa chronicité, pourraient conduire à de nouvelles approches diagnostiques ou thérapeutiques.
Cette huile fréquemment utilisée pour la friture de restauration rapide ou dans la préparation des aliments transformés (Voir visuel ci-dessous) est déjà documentée comme facteur de risque accru d'obésité et de diabète. Cette étude de l’Université de Californie – Riverside montre que sa consommation régulière entraîne aussi des changements génétiques dans le cerveau et pourrait ainsi affecter le risque de troubles neurologiques comme l'autisme, la maladie d'Alzheimer, l'anxiété et la dépression.
Ce que l’on mange a-t-il un impact réel sur notre cerveau ? Si de nombreuses données épidémiologiques mettent en évidence une association entre la nutrition et la santé mentale, la relation de cause à effet et les mécanismes sous-jacents restent encore mal compris. Mais alors que de récents résultats d'études d'intervention suggèrent que la modification de l'alimentation peut participer à la prévention et au traitement des troubles mentaux, et notamment modifier la réponse aux médicaments, il est urgent de mieux comprendre l'impact des différents régimes et aliments sur les processus métaboliques et cellulaires, sur les circuits neuronaux et les processus cognitifs et émotionnels.
Les produits laitiers ont déjà été documentés comme protecteurs contre le diabète et l’obésité. Cette méta-analyse, menée par une équipe de l’Hôpital St. Michael (Toronto) récidive : elle montre, sur un très large échantillon, que les enfants qui boivent du lait entier ont un risque plus faible d'être en surpoids ou obèses. Ces données, présentées dans l’American Journal of Clinical Nutrition, incitent encore une fois à une alimentation -de l’Enfant- basée sur des produits naturels, non transformés.
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