Il existe des mesures simples de mode de vie qui permettent de mieux contrôler la pression artérielle, voire de gérer une hypertension (HTA). Parmi ces options naturelles, une simple habitude alimentaire, la consommation quotidienne de yaourt s’avère ici associée, selon cette étude de chercheurs de l’Université d’Australie du Sud et de l’Université du Maine, à une baisse jusqu’à 7 points de pression artérielle.
Cette large étude d’une équipe de l'Université d'Oxford confirme qu’une consommation de viande trop régulière ou trop importante est associée à un risque de cancer plus élevé. Ces données d’association, publiées dans la revue BMC Medicine montrent également les bénéfices protecteurs d’un régime végétarien et végétalien contre le risque de cancer.
Si l’étude ne fait pas la démonstration d’une relation de cause à effet entre l'alimentation et le risque de cancer, elle apporte à la preuve d'association à grande échelle dentre une consommation trop élevée de viande et une incidence plus élevée des cancers- cette association est également identifiée pour d’autres maladies chroniques.
Manger des légumes contribue, mais ne suffit absolument pas à protéger contre les maladies cardiovasculaires, conclut cette étude à grande échelle menée à partir des données de la BioBank britannique. Des conclusions publiées dans la revue Frontiers in Nutrition, qui suggèrent que de multiples études précédentes, très positives sur les régimes à base de plantes n’ont pas suffisamment et correctement pris en compte les facteurs de confusion possibles, dont notamment les facteurs socio-économiques et d'autres facteurs de mode de vie.
Cette étude préclinique du Ludwig Institute for Cancer Research révèle les bénéfices du régime cétogène dans le traitement du cancer du pancréas. En combinaison avec la chimiothérapie. De précieuses données publiées dans la revue Med, alors que si son traitement a considérablement progressé, le pronostic du cancer du pancréas reste très fréquemment très négatif, avec une survie toujours très limitée.
L’équipe d’Oxford démontre qu'un régime bien connu pourrait améliorer l'efficacité de la chimiothérapie contre le cancer du pancréas.
Le calcium joue un rôle non seulement important dans la santé osseuse mais vital aussi dans la santé cardiaque, rappelle cette équipe de l'Université d'Osaka. Ces travaux publiés dans la revue Science Translational Medicine, identifient une mutation génétique qui, en perturbant la fonction normale de la protéine, dont la gestion du calcium dans les cardiomyocytes, peut finalement mener à l’insuffisance cardiaque.
Cette recherche confirme toute l’importance du régime alimentaire de la mère, durant la grossesse, pour la croissance de l’enfant : un régime alimentaire de haute qualité pendant la grossesse est en effet associé à un risque très réduit de retard de croissance fœtale, conclut l’équipe de pédiatres et de gynécologues de la Washington University School of Medicine à St. Louis. Ces données, présentées lors de la Réunion annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine (SMFM), « The Pregnancy Meeting™ » et à paraître dans l'American Journal of Obstetrics and Gynecology (AJOG), ajoutent à la preuve de l‘importance des facteurs de mode de vie modifiables chez la mère pour la santé du bébé.
La consommation maternelle d'édulcorants pendant la grossesse peut affecter le microbiome du bébé à naître ainsi que son risque d'obésité plus tard dans la vie. Cette étude, menée chez la souris et publiée dans la revue Frontiers in Nutrition, est ainsi la première à identifier des changements dans les populations bactériennes du microbiote, mais aussi dans le métabolisme des bébés lorsque leurs mères ont consommé des édulcorants avant leur naissance.
Consommer plus de viande est un facteur de risque de sclérose en plaques (SEP), tout comme, plus globalement, le régime alimentaire, « l'écologie intestinale » ou le microbiote : ce sont tous des facteurs corrélés à l’aggravation des symptômes de la SEP, conclut cette équipe de neurologues de l’Université du Connecticut (UConn Health) et de la Washington University School of Medicine.
Certaines vitamines, comme la vitamine D plus souvent évoquée, permettent-elles de réduire le risque d’infection ou la sévérité de la maladie COVID-19 ? C’est la question que s’est posé cette équipe de recherche de l’Université de Tolède, qui nous propose, dans la revue Clinical Nutrition ESPEN (de l’European Society for Clinical Nutrition and Metabolism), une méta-analyse des études publiées sur le sujet.
C’est une étude de plus à démontrer que l'intervention alimentaire peut être aussi efficace que les médicaments pour réduire le cholestérol et qui prône l’alimentation telle un traitement plus « simple et tout aussi viable » pour les nombreux patients qui ne peuvent ou ne veulent pas prendre une statine. Ainsi, en remplaçant seulement une petite partie de ce que les patients hyperlipidémiques consomment habituellement, par des produits formulés avec précision pour aider à réduire le cholestérol LDL, il apparaît possible d’obtenir une réduction rapide et très significative du cholestérol.
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