Un risque réduit de syndrome métabolique c’est-à-dire de différents facteurs cardiovasculaires dont la résistance à l'insuline, l'hypertension et l'obésité est confirmée avec une consommation régulière de café, même modérée, par cette équipe de l’Institute for Scientific Information on Coffee (ISIC). Des résultats qui certes servent la cause de l’Institut, mais sont basés sur l’analyse de la littérature et sont également en ligne avec les conclusions de précédentes études.
Certains sportifs l’ont compris et laissent une large part de leur régime alimentaire aux protéines végétales. Cette méta-analyse, menée au St Michael Hospital (Toronto) pour mettre à jour les lignes directrices de l’European Association for the Study of Diabetes, confirme les bénéfices impressionnants des légumineuses pour la santé cardiaque. Consommer des flageolets, des lentilles, des pois et d’autres légumineuses réduit le risque de maladies cardiovasculaires, de maladies coronariennes et d’hypertension artérielle, selon ces données présentées dans la revue Advances in Nutrition.
Sauter le petit-déjeuner est à nouveau associé à de moins bons résultats scolaires, par cette étude de l’Université de Leeds : les élèves qui déjeunent rarement le matin, lors des jours de classe, obtiennent de bien moins bons résultats au General Certificate of Secondary Education- l’équivalent du brevet en France- que ceux qui prennent régulièrement leur petit-déjeuner. Ces données présentées dans la revue Frontiers in Public Health, confirment le lien entre une bonne nutrition, un bon apprentissage et une bonne cognition, et appellent à élargir les interventions en santé scolaire qui donnent accès à des petits déjeuners gratuits à l’école ou à l’université, aux jeunes les plus démunis.
Plusieurs études ont déjà démontré que les régimes basés sur le jeûne intermittent réduisent un facteur de risque important de maladie cardiovasculaire, le taux de graisses dans le sang. Cette nouvelle étude du Centre médical Intermountain (Salt Lake City), présentée à la Réunion scientifique 2019 de l’American Heart Association (AHA) révèle que le jeûne intermittent augmente la longévité chez les patients éligibles à un cathétérisme cardiaque.
Doit-on prendre des suppléments en oméga-3 ou consommer 2 portions de poisson riche en oméga-3 par semaine, comme le recommande l’American Heart Association ? Les études sur le sujet sont nombreuses et leurs conclusions peu claires. En particulier lorsqu’il s’agit du risque de cancer de la prostate*. Cette équipe de l'Institut de cardiologie Intermountain Healthcare (Salt Lake City) a poursuivi la recherche sur les avantages et les risques d’une telle supplémentation, en particulier sur l'augmentation éventuelle du risque de cancer de la prostate.
La carence en vitamine D s’avère associée à une mauvaise fonction musculaire chez les adultes de 60 ans et plus, conclut cette étude d’une équipe du Trinity College Dublin. Alors que le maintien de la fonction des muscles squelettiques tout au long de la vie est un élément essentiel du vieillissement en bonne santé, car il favorise l’autonomie, la mobilité, la qualité de vie et réduit le risque de chutes et la fragilité, le statut en vitamine D doit être surveillé, compte-tenu de ce rôle protecteur.
Ce que nous mangeons, combien et quand, nos habitudes alimentaires modifient nos horloges internes et nos réponses hormonales. Cette étude du Helmholtz Zentrum München décrypte le rôle clé des glucocorticoïdes dans ce mécanisme : c’est en particulier en fonction de leur action, que les rythmes quotidiens de la sécrétion d’hormones, élevée avant le réveil et l’alimentation, faible pendant le sommeil et le jeûne, ainsi que les cycles quotidiens du stockage des sucres et des graisses ou de leur libération par le foie sont modifiés par notre régime alimentaire.
La santé d’une personne âgée dépend de son alimentation, on le sait, mais pour vieillir en bonne santé il faut adhérer, tôt dans la vie à un régime équilibré et à un apport alimentaire raisonnable. Ainsi, cette équipe du Max-Planck-Gesellschaft, montre, chez l’animal, que la réduction de l’apport alimentaire ne permet plus d’améliorer la santé de souris si elle intervient après un certain âge.
Cette étude du King’s College London révèle un facteur commun entre l’obésité et l’usure des dents chez les adultes : la consommation de boissons gazeuses, des boissons à la fois acides sucrées. Ces conclusions, présentées dans la revue Clinical Oral Investigations, appellent les dentistes à participer aussi à la lutte contre l’obésité, en recommandant aux patients concernés de limiter leur consommation.
On connaît la prévalence de l’obésité qui atteint aujourd’hui près de 40% aux Etats-Unis (15% en France) et son cortège de comorbidités.
La consommation de fibres alimentaires est protectrice pour notre intestin, contre le risque cardiovasculaire et de cancer gastro-intestinal, mais elle peut apporter bien d’autres bénéfices : cette étude de l’Université de Vanderbilt (Nashville) montre également un effet préventif contre le cancer du poumon. Même effet avec les yaourts (ou probiotiques). Ces conclusions, documentées dans le JAMA Oncology, confirment le rôle clé de la nutrition -et de certains nutriments- parmi d’autres facteurs de mode de vie, dans la prévention des cancers.
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