Si cette étude est menée par l’Institute for Scientific Information on Coffee (ISIC), elle pourra néanmoins intéresser tous les amateurs de café dans le doute et à la recherche de preuves sur ses effets, en particulier sur le sommeil et sur la vigilance. Rédigé par le professeur Renata Riha, du département de médecine du sommeil de l'Université d'Édimbourg, ce rapport, intitulé «Café et sommeil dans la vie quotidienne», ne manque en effet pas de références.
Cette étude originale de l’Université de Toronto s’est penchée sur les différents facteurs possibles associés au trouble de stress post-traumatique (SSPT). Cette recherche aboutit à un certain nombre de découvertes qui relient la nutrition au SSPT. Parmi ces facteurs figure la consommation quotidienne de fibres ? Un résultat d’association, finalement pas si surprenant, documenté dans la revue Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology.
C’est une nouvelle étude qui remet en cause l’hypothèse que café puisse être « mauvais » pour le cœur parce que responsable de palpitations, d’hypertension artérielle, ou autres complications… Cette méta-analyse, publiée dans la revue Circulation de l’american Heart Association (AHA), confirme la relation maintenant mieux documentée entre l'augmentation de la consommation de caféine et une diminution du risque d’insuffisance cardiaque.
Cet essai croisé randomisé « révolutionnaire » qui a comparé les régimes végétalien et méditerranéen révèle qu'un régime végétalien allégé en graisse n’a pas d’équivalent en termes de poids, de composition corporelle, de sensibilité à l'insuline et de taux de cholestérol. Même pas le régime méditerranéen pourtant documenté comme la référence pour la santé cardiométabolique ! Ces nouvelles données publiées dans le Journal of the American College of Nutrition, contredisent l'idée reçue de perte de poids associée au régime méditerranéen.
On ne compte plus les bénéfices du thé, en particulier du thé vert pour la santé, et à elle-seule, la boisson la plus consommée du monde confirme le potentiel thérapeutique de certaines plantes et de certains aliments. Quant au café, c’est « quasi idem », à condition de ne pas en consommer en excès. Cette étude observationnelle de l’Université University in Suita (Japon), documente, dans la revue Stroke, un nouveau bénéfice : boire du thé vert et du café semble réduire le risque de récidive de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.
Certes cette étude est financée par le US Mushroom Council, cependant elle apporte des données très intéressantes sur ce légume d’appoint, le champignon, et sur ses effets bénéfiques possibles à partir de données issues de la fameuse National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES 2011-2016). Cette analyse confirme ainsi l'impact nutritionnel significatif d'une seule portion de champignons, et l'apport de vitamine D, et le tout sans augmentation des calories ou de sodium.
La consommation d'aliments frits est définitivement liée à un risque très accru d’événement cardiaque majeur, conclut cette étude chinoise qui met pour la première fois en exergue la relation dose-dépendante entre ces apports alimentaires et le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) : selon ces données à paraître dans la revue Heart, chaque portion hebdomadaire supplémentaire de 100g environ accroît le risque jusqu’à 12%.
La stéatose hépatique non alcoolique ou maladie du foie gras non alcoolique touche entre 20 et 30% de la population des pays riches. La maladie peut entraîner une résistance à l'insuline, un diabète de type 2, un risque cardiovasculaire ainsi qu'une dysbiose intestinale. Cette étude de la Ben Gurion University (BGU), publiée dans la revue Gut, révèle l’effet préventif et curatif remarquable d’un régime méditerranéen, encore enrichi en plantes ( « green-Mediterranean diet ») qui permet de diviser par 2 la quantité de graisse accumulée dans le foie.
Ces pharmacologues de l’Université de Bristol reviennent sur les preuves d'efficacité spécifique de certains micronutriments, en cas d'exposition au virus SRAS-CoV-2 et au-delà de leur effet mieux connu de soutien du système immunitaire humain. A travers un examen général de la littérature et des simulations mathématiques effectuées sur des bases de milliers de composés, ces travaux présentés dans la revue Angewandte Chemie, expliquent comment certaines vitamines, stéroïdes et antiviraux en se liant à la protéine de pointe, parviennent à inhiber la capacité infectieuse du virus.
C’est un facteur circadien efficace contre le cancer du sein : le moment où l’on s’alimente semble en effet exercer un impact significatif sur le risque de cancer et, le cas échéant la progression tumorale : cette étude de l’Université de Californie San Diego montre, chez la souris que, non pas ce qu’elle mange, mais la plage de temps durant laquelle elle mange, a une incidence significative sur ce risque.
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