Alors les omega-3 bénéfiques ou néfastes à la santé ? Et si oui, faut-il préférer les aliments riches en omega-3 ou une simple supplémentation ?
Le débat se poursuit et au fil des études, la connaissance progresse sur les effets multiples de ces acides gras. Pour preuve, cette étude de l'Intermountain Healthcare Heart Institute (Salt Lake City) qui révèle que certains omega-3 sont bénéfiques à la santé cardiaque et d’autres pas.
Leur consommation quotidienne recommandée est d’au moins 400 grammes par jour. Consommer plus de fruits et légumes réduit le risque de maladies chroniques, métaboliques et cardiaques, mais permet aussi de réguler son stress, conclut cette équipe de nutritionnistes et psychologues de l'Université Edith Cowan (ECU, Perth, Australie). En cause, les niveaux de caroténoïdes, ces pigments végétaux qui donnent leurs couleurs aux fruits et aux légumes, et qui sont également de puissants antioxydants, bénéfiques à la santé physique et mentale.
On sait qu’un seul verre c’est tout l’apport de sucre d’une journée, pourtant certaines personnes en consomment de manière quotidienne. Or consommées régulièrement, avant l'âge de 50 ans, les boissons sucrées sont également associées à un risque jusqu’à multiplié par 2 de cancer de l'intestin, révèle aujourd’hui cette équipe de nutritionnistes de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston) et de la Washington University (St.
Ses effets neuroprotecteurs, aussi, sont déjà bien documentés, le régime méditerranéen est à nouveau plébiscité, ici, dans la revue Neurology, par une équipe du DZNE – German Center for Neurodegenerative Diseases pour sa capacité de protection contre la perte de mémoire et la démence : un apport relativement plus important de légumes, légumineuses, fruits et céréales et des acides gras monoinsaturés, tels que l'huile d'olive, protège contre les dépôts de protéines toxiques mais aussi contre l'atrophie cérébrale.
Le régime végétarien est à nouveau confirmé comme associé à une meilleure santé cardiovasculaire via un profil de biomarqueurs plus sain, avec cette très large étude britannique, présentée à l’European Congress on Obesity de l’European Association for the Study of Obesity. Des résultats qui confirment les avantages des protéines végétales plutôt qu’animales contre le risque cardiaque et cela, quels que soient l’âge et le poids corporel et même indépendamment de certains facteurs de mode de vie, pourtant clivants pour la santé, comme le tabagisme et la consommation d'alcool.
Consommer l'équivalent d'une tasse de légumes verts feuillus par jour permet de réduire le risque de maladie cardiaque et favorise la force musculaire. Alors que les effets vasculaires du nitrate inorganique, étudiés dans les essais cliniques, sont toujours discutés, cette équipe de l’Edith Cowan University (Australie) revient au naturel en montrant les bienfaits d’un apport alimentaire quotidien en légumes à feuilles, riches en nitrates.
Cette étude du Max Delbrück Center for Molecular Medicine (Berlin) révèle comment l’augmentation des concentrations de sodium dans le sang amène les mitochondries, les centrales électriques des cellules à produire temporairement moins d'adénosine triphosphate (ATP), une molécule indispensable à leur fonctionnement. Ces travaux, publiés dans la revue Circulation, révèlent qu’en plus d’augmenter notre tension artérielle, un excès de sel peut gravement perturber l'équilibre énergétique de certaines de nos cellules, immunitaires.
Cette équipe de la Georgia State University montre que les régimes occidentaux, riches en graisse et en aliments transformés et déficients en fibres entraînent un appauvrissement rapide et durable du microbiote intestinal. Alors le microbiote devient beaucoup plus vulnérable aux infections bactériennes, de type E. coli, sa réponse immunitaire est réduite et avec elle la défense du corps contre les bactéries pathogènes.
Plusieurs études portant sur les bénéfices des omega-3 ont soulevé la question de la différence entre apport d’omega-3 via l’alimentation ou une supplémentation. Cette étude menée par une équipe de nutritionnistes et de cardiologues de l'Université Virginia Commonwealth identifie une corrélation entre les suppléments d'huile de poisson et le risque de trouble du rythme cardiaque. L’étude, publiée dans l’European Heart Journal – Cardiovascular Pharmacotherapy, une revue de la Société européenne de cardiologie (ESC) montre, précisément, que la supplémentation est associée à un risque accru de fibrillation auriculaire (FA) chez les personnes ayant des taux de lipides sanguins élevés.
Le jeûne intermittent a déjà été associé à la santé cardiovasculaire, cette étude de nutritionnistes et cardiologues du Baylor College of Medicine révèle comment ce régime alimentaire, de plus en plus largement adopté, abaisse la tension artérielle en remodelant le microbiote intestinal. Alors que dans les pays riches près de 50% des adultes souffrent d’une tension trop élevée, cette étude, présentée dans la revue Circulation Research, suggère une option simple, accessible et naturelle de mieux contrôler (son poids) et sa tension.
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