Ces experts de l’Université de Stirling (Ecosse) apportent de nouvelles directives aux athlètes sur l'apport en protéines. Ces données, présentées dans l’International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism font partie intégrante de la déclaration de consensus mise à jour de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) sur la nutrition sportive pour les athlètes d'athlétisme.
L’auteur principal, le Dr Oliver Witard, de la Faculté des sciences de la santé et du sport de Stirling, a travaillé spécifiquement sur l’aspect apport protéinique aux côtés d'experts du Comité olympique et paralympique norvégien et de la Confederation of Sport, ainsi que de l'Université McMaster (Canada).
Préserver le goût mais réduire le sel, c’est l’objectif de cette équipe d’experts en Science de la nutrition de l’Université d'État de Washington. Car si pour le goût, nous avons « besoin » de sel, il est nécessaire d’en réduire notre consommation pour limiter le risque d’hypertension. L’étude, publiée dans le Journal of Food Science montre qu’il est possible de donner un goût salé aux aliments, tout en réduisant la quantité de chlorure de sodium.
Ce sont à nouveau les régimes végétariens et méditerranéens sains, à la fois pour leurs bienfaits pour la santé (et pour la promotion de la durabilité de l'environnement) qui sont recommandés par cette équipe de la Harvard T.H. Chan School of Public Health, en particulier en regard du risque cardiovasculaire : la substitution des protéines de la viande rouge par des protéines végétales saines réduit en effet significativement le risque de maladie cardiaque.
L'augmentation de l'obésité, du diabète et du syndrome métabolique ces dernières années souligne la nécessité de stratégies alimentaires fondées sur des preuves pour promouvoir un mode de vie sain tout au long de la vie. Les résultats de cette large méta-analyse, présentés dans la revue Neuroscience & Biobehavioral Reviews indiquent que les boissons ou les collations sucrées n’apportent pas cette énergie positive espérée et ne permettent pas de « se sentir plus alerte ».
Un régime alimentaire complet à base de fruits et légumes, fibres et vitamines C et D permet de réduire la gingivite et en particulier les saignements associés, conclut cet essai randomisé publié dans le Journal of Clinical Periodontology. Des données qui suggèrent, selon l’équipe de recherche de l’Université de Fribourg que le régime occidental, riche en sucres et en graisses serait un facteur indépendant de gingivite.
Rien que le fait d’être exposé à un stimulus qui rappelle le café peut éveiller notre esprit, révèle cette étude de l'Université de Toronto qui décrit, dans la revue Consciousness and Cognition, un phénomène cognitif appelé « amorçage » : l'exposition à des signaux même subtils peut influencer nos pensées, notre comportement et même notre biologie.
Alors que le café est très bien documenté sur ses effets physiques, cette étude traite de sa signification psychologique ou comment être exposé à des stimuli qui le rappellent peut influer sur notre façon de penser.
Une seule dose de glucides peut suffire à endommager les vaisseaux sanguins, conclut cette étude de University of British Columbia (Vancouver). Les auteurs affirment ainsi que les personnes qui suivent un régime « céto » n’ont vraiment pas droit au « cheat day » classique dans de nombreux régimes de perte de poids. Sous peine de retrouver très rapidement leur ancien métabolisme.
Le lien entre l’alimentation et les allergies est indiscutable, cette étude de l’Université Johns Hopkins précise ici les effets opposés des acides gras oméga-3 et oméga-6 sur les symptômes de l'asthme chez l'enfant. Ainsi, les enfants dont le régime alimentaire est riche en oméga-3 souffrent d'une forme d’asthme généralement moins sévère. Des données présentées dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine qui suggèrent que si la relation de cause à effet entre l'alimentation et l'asthme était confirmée, une alimentation plus saine pourrait protéger les enfants asthmatiques, en particulier contre certains des effets nocifs de la pollution.
L'alimentation maternelle pendant la grossesse peut permettre de réduire le risque de symptômes du trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez les enfants à naître, conclut cette recherche du Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal). L’étude, présentée dans le Journal of Pediatrics révèle ainsi une association entre le ratio omega-6/omega-3 (ici dans le cordon ombilical) et l'apparition de ces symptômes de TDAH.
Risque cardiaque, pulmonaire, rénal, de cancers et accélération du vieillissement, ces effets néfastes d’une consommation trop régulière ou excessive de viande rouge et de produits à base de viande transformée ont largement été documentés. Cette étude de la Loma Linda University (Californie) va plus loin en montrant que consommer même de petites quantités de viande rouge et transformée peut augmenter le risque de décès, notamment de causes cardiovasculaires.
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