C’est une interaction complexe entre l'apport alimentaire en acides gras et le risque d'hypertension qui nous est révélée par cette étude de l'Université de Kanazawa (Japon). L’étude, présentée dans la revue Nutrients, montre qu'un apport alimentaire régulier en acides gras n-6 (ou omega-6) peut être bénéfique pour le contrôle de l'hypertension chez les personnes en bonne santé, mais, il peut, en revanche, augmenter le risque d'hypertension chez les patients diabétiques.
Des études de plus en plus nombreuses documentent l’axe intestin – cerveau, cette étude de l'Université Loma Linda révèle un lien entre la malbouffe et la maladie mentale, précisément une détresse psychologique modérée à sévère. Des résultats présentés dans l’International Journal of Food Sciences and Nutrition qui viennent boucler la boucle, une mauvaise santé mentale ayant déjà été liée à une mauvaise alimentation.
Cette équipe de l'Université de l'Illinois révèle comment le stress chronique favorise le cancer : l'épinéphrine déclenche une cascade de réactions favorisant la propagation du cancer chez l’animal, ici modèle de cancer du sein et souffrant de stress chronique. Ces travaux, présentés dans le Journal of Clinical Investigation, confirment l’impact majeur, déjà documenté, du stress chronique sur le développement du cancer mais identifient aussi la vitamine C comme traitement possible.
Le lien puissant entre nutrition et « éducation » -ou apprentissage- est confirmé par cette nouvelle étude de l'ESMT Berlin. L’étude montre en effet que les enfants des écoles primaires ayant bénéficié d’un programme de déjeuners gratuits, proposant des apports équilibrés sur une longue période, obtiennent de meilleurs résultats. Selon ces conclusions présentées dans le Journal of Development Economics, les enfants ayant bénéficié durant 5 années de cette « intervention alimentaire » ont obtenu, en moyenne, des scores 18% plus élevés aux tests de lecture et 9% plus élevés aux tests de mathématiques.
Contrairement aux recommandations, à savoir qu’une plus grande consommation de sodium ou sel peut contribuer à prévenir l’étourdissement lorsqu’on passe un peu rapidement de la position assise à la position debout, cette équipe du Centre médical Beth Israel Deaconess (BIDMC- New York) suggère qu’un apport en sodium plus élevé va plutôt, du moins dans certains cas, augmenter le risque d’étourdissement. De nouvelles données, présentées dans le Journal of Clinical Hypertension qui suggèrent que le rôle du sel/sodium dans notre alimentation reste encore bien mal compris.
La fibre de lin qui fermente dans l'intestin pourrait bien améliorer la santé et réduire significativement l'obésité : cette étude menée chez la souris montre que cette fibre en particulier augmente les « bonnes » bactéries et les acides gras bénéfiques dans l’intestin. Des conclusions présentées dans l’American Journal of Physiology : Endocrinology and Metabolism qui révèlent une option naturelle, par le régime alimentaire, pour améliorer la santé métabolique et lutter contre la prise de poids.
On connait les bénéfices de la pratique de l’exercice contre les symptômes dépressifs, mais le régime alimentaire joue aussi un rôle clé de prévention de la dépression. C’est la démonstration de cette équipe de l’Université de Manchester. Ces données présentées dans la revue Psychosomatic Medicine suggèrent que tous les types d'amélioration alimentaire peuvent entraîner des effets bénéfiques et globalement similaires sur la santé mentale.
Une tasse de café est le produit final de toute une chaîne d'opérations complexe : agriculture, transformation, torréfaction et brassage, et, dans le cas précis du café, des temps de fermentation plus longs peuvent en améliorer le goût. Les bactéries lactiques jouent ainsi un rôle positif important dans ce processus. D'autres espèces de microbes sont également impliquées, cette recherche publiée dans la revue Applied and Environmental Microbiology révèle que de ce traitement « microbien » ou préparation par voie humide, couramment utilisé pour l'Arabica et les cafés de spécialité, dépend la qualité sensorielle du café.
Existe-t-il un risque saisonnier de carence pour les patients présentant déjà une déficience en folates ? Cette équipe de l'Université de Malaga (UMA) démontre que les niveaux de cette vitamine dans le corps diminuent pendant les mois où l'impact du soleil est plus important. En démontrant pour la première fois cette relation et en confirmant que le rayonnement ultraviolet affecte directement proportionnellement les niveaux de folates dans le sang, cette étude, présentée dans le Journal of Photochemistry, appelle les patients présentant une teneur en folate inférieure à 4 ng / mL à consommer pendant l’été des aliments riches en folates, tels que des légumineuses ou des légumes verts, voire d’opter pour une supplémentation -à valider avec le médecin- en cas de carence sévère.
« On est ce que l’on mange », mais si l’alimentation avait aussi une incidence sur la mémoire ? C’est ce que suggère cette équipe de l’Iowa State University qui identifie une hormone de satiété qui, à des niveaux plus élevés, permet de diminuer le risque de développer la maladie d'Alzheimer. Des travaux présentés dans la revue Neurobiology of Aging que les auteurs résument dans leur communiqué par : « ce que nous mangeons et ce que notre corps en fait affecte notre cerveau ».
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