Si fréquemment différentes formes d’allergies, alimentaires, respiratoires et cutanées sont liées, cette petite étude originale d’une équipe de La Trobe's School of Psychology and Public Health (Australie) révèle que la consommation de poissons comme le saumon, la truite et les sardines dans le cadre d'une alimentation saine peut réduire les symptômes d'asthme chez les enfants. Ainsi, l’étude à paraître dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics montre que des enfants asthmatiques qui suivent un régime de type méditerranéen enrichi en poissons gras bénéficient d’une fonction pulmonaire améliorée au bout de seulement 6 mois.
Chez les personnes âgées, une consommation suffisante de protéines contribue-t-elle à retarder l'invalidité, la perte d’autonomie et la dépendance ? La question est posée par cette équipe de la Newcastle University qui revient, entre autres bénéfices sur l’impact positif des protéines contre la perte de masse musculaire et contre la sarcopénie. L’équipe confirme ce bénéfice sur un échantillon de patients âgés de 85 ans et plus, dans le Journal of the American Geriatrics Society.
Ces 2 anthropologues de l’Université de Californie – Santa Barbara nous offrent ici un aperçu original de l'impact de l'alimentation sur la santé et le bien-être. En nous révélant tous les bénéfices du mode de vie d’une des ethnies amérindiennes de l'Amazonie, les Chimane, ils pointent tous les dangers de nos modes de vie, dont le régime alimentaire « à l’occidentale ».
Le vieillissement et la mortalité prématurée sont causés, du moins en partie, par le stress oxydatif. Cette équipe de chercheurs de l'Université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg (FAU- Allemagne) suggère que combinés à « un peu » de zinc, certains aliments comme le chocolat, le thé, le café pourraient être bénéfiques à la santé en réduisant le vieillissement cellulaire. Ces scientifiques révèlent en effet, dans la revue Nature Chemistry, un nouveau processus de protection contre le stress oxydatif via une molécule organique que seul le zinc peut activer.
Il est bien établi que la vitamine D est essentielle pour la santé des os, mais également, de plus en plus évident, qu’elle joue un rôle clé dans d’autres parties du corps, notamment le cœur et les muscles. Les niveaux de vitamine D dans le sang sont aussi liés à la condition cardiorespiratoire, confirme cette étude présentée dans l’European Journal of Preventive Cardiology, qui associe, en pratique, des niveaux plus élevés de vitamine D à une meilleure capacité d'exercice.
Cette étude originale de l’Université Cornell (New York) montre que si nos papilles peuvent apprécier les goûts sucré ou salé des aliments, nous sommes également et réellement influencés, dans notre perception des aliments par notre environnement de consommation. Cette étude publiée dans le Journal of Food Science, utilise la réalité virtuelle pour montrer à quel point notre perception peut être altérée par notre environnement.
Le chewing-gum peut être un mode de délivrance efficace de vitamines, démontrent ces scientifiques de l’Université de Pennsylvanie. Alors que près de 15% de toutes les variétés de chewing-gum promettent de fournir aux utilisateurs des suppléments bénéfiques pour la santé, les chercheurs montrent que des produits enrichis en vitamines sont tout à fait efficaces pour apporter des vitamines à l'organisme. Leurs résultats valident le concept de gomme comme système d’administration efficace.
Les grains entiers sont l’un des apports clés du régime méditerranéen, leur bénéfice métabolique est ici réaffirmé par cette étude de l'université de technologie de Chalmers (Suède) qui apporte la preuve, sur un très large échantillon que les céréales complètes constituent l'un des groupes alimentaires les plus importants pour prévenir le diabète de type 2. Peu importe si c'est du seigle, de l'avoine ou du blé, écrivent les auteurs dans leur communiqué.
Aussi gênante que douloureuse, la crise hémorroïdaire est encore trop souvent tabou. Elle est pourtant très répandue puisqu’une personne sur deux de plus de 50 ans en a déjà souffert au moins durant une période au cours de la vie. Avec un pic de fréquence entre 45 et 65 ans, la crise hémorroïdaire concerne tout autant les hommes que les femmes.
Une hormone, FGF23, liée à des déficits structurels dans le cerveau, c’est la découverte de cette équipe de l’Université de Caroline du Sud. Une découverte documentée dans la revue PLoS ONE qui suggère des interventions visant à améliorer les habitudes alimentaires pour améliorer, aussi, la santé du cerveau.
Les scientifiques de Caroline du Sud (MUSC) documentent ici des mécanismes par lesquels des niveaux élevés d'une hormone appelée FGF23 peuvent impacter la santé du cerveau.
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