Rien de mieux que les acides gras oméga-3 présents « au naturel » dans les poissons gras pour la prévention du cancer, conclut cette étude de l’Université de Guelph. Les conclusions, présentées dans le Journal of Nutritional Biochemistry confirment en effet la supériorité anticancéreuse de ces oméga-3 en regard de l’huile de graines de lin (cameline) ou d’autres.
Il existe 3 types d'acides gras oméga-3 : l'acide alpha-linolénique (ALA), l'acide eicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA).
Les fibres alimentaires protègent contre l'obésité et le syndrome métabolique, confirme cette étude de la Georgia State University. Mais ici, l’équipe décrypte le processus sous-jacent à cet effet bénéfique : c’est en restaurant l'expression de la protéine interleukine-22 (IL-22), que les fibres fermentescibles favorisent cette croissance de « bonnes » bactéries dans le côlon et peuvent empêcher le développement du syndrome métabolique induit par un régime riche en graisses.
Le régime alimentaire MIND (Mediterranean-DASH Diet Intervention for Neurodegenerative Delay) ne porte pas son nom pour rien. Cependant s’il est composé en particulier d’aliments qui favorisent la santé du cerveau, cette étude de la Rush University présentée à la Conférence internationale de l'American Stroke Association va plus loin dans ce bénéfice : MIND permet aussi de ralentir le déclin cognitif chez les survivants d’AVC.
Les boissons énergisantes contiennent des composés excitants comme la caféine, la taurine, et/ou des vitamines… Cette étude de l'Université de Waterloo, présentée dans le Canadian Medical Association Journal Open, révèle des effets négatifs sur le rythme cardiaque chez plus de la moitié des jeunes et des jeunes adultes canadiens qui consomment régulièrement ce type de boissons. Difficultés à s’endormir, maux de tête, nausées, vomissements, diarrhée, douleurs thoraciques et convulsions, les symptômes associés sont multiples et fréquents.
Cette méta-analyse des études publiées confirme que l’adhésion au régime méditerranéen peut réduire le risque de fragilité chez les personnes âgées. Des données présentées dans le Journal of the American Geriatrics Society qui suggèrent qu'un régime mettant l'accent sur les fruits et légumes, les grains entiers, les légumineuses et les noix peut fortement contribuer à un vieillissement en bonne santé.
Ce n’est pas la première étude à associer le régime méditerranéen à la longévité, cependant elle sensibilise à l’importance d’une alimentation diversifiée et principalement « végétale » pour réduire la fragilité, et donc à la perte d’autonomie, dont la prévalence augmente avec le vieillissement des populations.
Parmi les interventions possibles pour réduire les apports de sucres libres, il y a celles pouvant favoriser l’hygiène du sommeil et notamment la durée de sommeil. C’est la conclusion de cette enquête qui révèle un lien original entre sommeil et grignotage. Ainsi, selon ces conclusions, présentées dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les personnes qui dorment habituellement moins de 7 heures par nuit peuvent augmenter leur temps de sommeil et réduire du même coup leurs apports d’aliments sucrés.
Issue des graines de la cameline ou « petit lin », une plante de la famille des crucifères, l'huile de cameline déjà largement utilisée pour « réparer » les cheveux ou la peau, améliore le profil lipidique en réduisant les taux de cholestérol total et de cholestérol LDL chez les personnes ayant un métabolisme du glucose altéré. Cette étude de l’University of Eastern Finland, publiée dans la revue Molecular Nutrition & Food Research lui trouve des qualités incomparables contre la dyslipidémie en comparaison des omega-3.
Des doses élevées (mais sûres) de vitamine D peuvent réduire rapidement la raideur artérielle chez les personnes carencées, en surpoids ou souffrant d’obésité, révèle cette étude de l'Université Augusta. L’étude, présentée dans la revue PLoS ONE rappelle que la rigidité des parois artérielles est un prédicteur majeur et indépendant de maladie cardiovasculaire et de risque de décès, que la carence en vitamine D peut y contribuer et qu’une supplémentation élevée en vitamine D peut contribuer à réduire considérablement ce risque.
Quel est le bon moment pour commencer à proposer aux nourrissons des aliments solides ? Cette étude publiée dans le Journal de l'Académie américaine de Nutrition et de Diététique indique que de nombreux parents commencent à nourrir leurs bébés d’aliments solides et d'autres aliments hors lait maternel, bien avant l’âge préconisé par les recommandations actuelles.
Les recommandations sur le moment optimal d’introduction dans l’alimentation du nourrisson des aliments complémentaires au lait maternel ou aux préparations fixent l'âge de 6 mois environ, et la plupart des experts s'accordent pour dire que la diversification alimentaire ne devrait pas intervenir avant l’âge de 4 mois.
Consommer des produits à base de viande comme des saucisses ou du bacon augmente le risque de cancer du sein chez les femmes plus âgées, révèle cette étude à grande échelle. Ainsi, si les liens entre la viande transformée et divers cancers du système digestif sont connus, c’est l’une des premières études à associer la consommation de viande transformée au risque de cancer du sein chez les femmes plus âgées.
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