Pourquoi êtes-vous plutôt « café » ou plutôt « bière » ? Votre génétique pourrait bien vous dicter vos préférences en matière de boissons, en fonction des effets psychoactifs attendus, révèle cette étude génomique de la Northwestern University (Chicago). Ce tout premier test à l'échelle du génome pour les préférences de boissons amères ou sucrées suggère en effet, dans la revue Human Molecular Genetics, que nos choix de boissons tiennent plus de la récompense mentale que du goût.
Cette méta-analyse de l'Université de Toronto, des données de dizaines d'essais cliniques menés au cours des deux dernières décennies, confirme les effets bénéfiques du soja sur le cœur, des effets significatifs sur la durée. Précisément, cette très large analyse confirme la capacité du soja, d’ailleurs peu contestée, à réduire le cholestérol sérique. Des conclusions présentées dans le Journal of the American Heart Association (JAHA) qui encouragent au passage progressif à l'ère des protéines d'origine végétale.
Cette relation entre une variante génétique et le microbiome intestinal, découverte par une équipe de la Cornell University (New York) va aider les nutritionnistes à personnaliser leurs recommandations. Les patients possédant un grand nombre de copies d'un gène appelé AMY1, qui exprime une enzyme salivaire qui permet la décomposition de l'amidon, présentent également un profil spécifique de bactéries intestinales et buccales.
Le corps peut, de temps en temps, s'adapter à une suralimentation occasionnelle. Dans cette situation, le corps se concentre ainsi sur l’élimination du glucose pour préserver la sensibilité à l’insuline. Ainsi, si sans aucun doute, la suralimentation altère le contrôle du glucose dans le sang et le taux d'insuline, cette étude de l'Université Deakin (Australie), présentée dans l’American Journal of Physiology, suggère que la durée de la période de suralimentation détermine cette capacité d’adaptation de l’organisme.
Prendre un petit-déjeuner régulièrement réduit la mortalité liée aux maladies cardiovasculaires et aux accidents vasculaires cérébraux, conclut cette étude de la Wuhan University of Science and Technology (Chine), présentée dans le Journal of the American College of Cardiology. Ces nouvelles données qui apportent au débat sur les bénéfices du petit-déjeuner pour la santé, soulignent l’importance de sa régularité.
L’analyse a porté sur les données de la National Health and Nutrition Examination Survey (1988-1994), de 6.550 participants âgés de 40 à 75 ans, exempts d’antécédent de maladie cardiovasculaire ou de cancer et suivis durant 18 ans.
De nombreuses recherches ont déjà révélé les bénéfices de la curcumine, un antioxydant du curcuma ou safran des Indes, cette étude met en évidence son activité antitumorale sur le cancer de l'estomac. Plus largement, cet article de synthèse rédigé par des chercheurs brésiliens de la São Paulo Research Foundation (FAPESP) évalue, dans la revue Epigenomics plusieurs composés présentant un potentiel thérapeutique contre les tumeurs gastriques.
Les études sur l'association entre cholestérol alimentaire ou consommation d'œufs et risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) aboutissent à des résultats contradictoires. Cette étude de l’University of Eastern Finland montre qu'un apport modérément élevé en cholestérol alimentaire ou la consommation d’un œuf par jour ne sont pas associés à un risque plus élevé d'accident vasculaire cérébral. L’étude, publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition n’identifie de plus aucune association chez les porteurs du phénotype APOE4, qui affecte le métabolisme du cholestérol.
Ces experts en nutrition soutiennent, avec 2 nouvelles recherches, que les oméga-6 sont bénéfiques pour la santé : ces travaux présentés dans la revue Circulation concluent en effet que les personnes qui consomment le plus d'oméga-6 sont moins susceptibles de développer une maladie cardiovasculaire ou un diabète.
L’étude enrichit ainsi le débat de ces 10 dernières années sur les avantages pour la santé des acides gras oméga-6.
Cette étude montre toute l’importance des habitudes alimentaires en matière de santé et de risque cardiaque, en particulier en cas d’antécédent d’infarctus du myocarde. Les personnes qui sautent le petit-déjeuner et dînent juste avant d'aller se coucher ont en effet un bien moins bon pronostic, après une première crise cardiaque. Ces conclusions, présentées dans l’European Journal of Preventive Cardiology, révèlent même un risque de décès fortement accru chez les personnes qui suivent à la fois ces deux « mauvaises » habitudes alimentaires.
La plupart des études regardent comment un régime alimentaire ou la pratique de l’exercice peuvent apporter des bénéfices pour la santé. Cette étude de l’Université de Saint Louis, présentée dans le Journal of the American College of Nutrition, montre qu'un régime documenté comme bon pour la santé, le régime méditerranéen, est également favorable à la performance physique. Ce régime permet en quelques jours seulement, d’améliorer les performances d’endurance.
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