Nouvelle remise en de cause de la responsabilité d’autrui et en particulier de celle des fast-foods dans l’épidémie galopante d’obésité. Est-ce vraiment la faute des autres, des industriels de l’agroalimentaire ou des politiques qui ne font pas la bonne prévention ? Cette recherche menée par 2 économistes américains révèle que la majorité d’entre nous pense que chacun est à blâmer pour son obésité et que les restaurants, chaines de distribution, producteurs ou politiques n’ont que peu de responsabilité.
Cette recherche sur des souris génétiquement modifiées pour devenir obèses et développer les caractéristiques du diabète, nourries en plus avec un régime riche en graisses, montre que les souris ayant reçu des airelles dans leur régime alimentaire ont pris bien moins de poids que les autres. Ces conclusions présentées dans le Journal of Nutrition and Metabolism suggèrent que ces baies sauvages les airelles bloquent totalement ou partiellement les effets métaboliques néfastes d'une alimentation riche en graisses.
Finie la chirurgie bariatrique ? Considérée comme un traitement de dernier recours en dépit des bénéfices évoqués, dont l’amélioration du diabète, la chirurgie de l’obésité pourrait laisser en partie, la place à ce ballon gastrique, nommé Obalon et conditionné sous forme de simple pilule à avaler. Une petite révolution thérapeutique, car le comprimé est déjà accessible, puisqu’autorisé en UE et prescrit au Royaume-Uni, et il contribue déjà à aider les personnes en surpoids à perdre du poids.
Il ne s’agit pas de frissonner toute la journée, mais d’opter pour une température intérieure raisonnable, de 18-19°C, recommande cette étude néerlandaise, publiée dans Science and Society. Au point que les recommandations sur la température ambiante devraient faire partie du cadre d’un mode de vie sain. Les conclusions de cet examen de la littérature suggèrent que des températures de vie raisonnables favorisent la «thermogenèse sans frisson » et permettent ainsi d’optimiser son bilan énergétique personnel.
Des études toujours plus nombreuses reconnaissent les effets de certains aliments, nutriments ou régimes alimentaires sur le risque de maladies, et, plus récemment sur les maladies neurologiques, confortant la notion de traitement diététique. Cette recherche, publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry, suggère que pour la maladie d’Alzheimer aussi, la mise en œuvre précoce d'un traitement diététique, ici à base d’acides gras omega-3, peut ralentir la progression de la maladie.
2 rapports, celui du Professeur Serge Hercberg, Epidémiologiste de la Nutrition, directeur de recherche à l’Inserm et coordonnateur, entre autres études, de NutriNet Santé et du Professeur de Nutrition Arnaud Basdevant, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, mettent en avant le rôle clé que doit jouer l’alimentation, à la fois dans notre bien-être mais aussi dans la prévention et le traitement de nombreuses maladies chroniques, dont bien sûr l’obésité.
Cette étude de l'Université du Minnesota a regardé les implications concrètes de la position de l'American Medical Association (AMA) qui, en juin 2013, définissait l’obésité comme une maladie, à part entière. Au-delà de l’impact voulu de ce message d’alerte sur la communauté médicale américaine, la perception, par les patients obèses de messages axés sur les effets néfastes de l'obésité sur la santé, semble avoir limité leurs comportements de santé et leurs efforts de perte ou de contrôle du poids.
Sauter le petit déjeuner accroît le risque de résistance à l'insuline et au fil du temps celui de diabète de type2, montrait déjà cette étude de l'Université du Colorado. Cette nouvelle étude de l’Université d’Uméa suggère, à son tour, qu’un petit-déjeuner trop léger, dans la jeunesse, entraîne un risque accru de syndrome métabolique à l'âge adulte. Les conclusions, publiées dans la revue Public Health Nutrition, conseillent en pratique aux adolescents de soigner le premier repas de la journée.
Si les dernières données américaines montrent une légère amélioration chez les enfants d'âge préscolaire, la prévalence de l'obésité infantile aux Etats-Unis a doublé au cours des dernières décennies. Cette nouvelle étude, publiée dans le New England Journal of Medicine décortique les taux d’obésité infantile par tranche d’âge et conclut que, chez un enfant sur 2, elle est déjà apparente dès l’âge de 5ans.
Cette recherche de laboratoire menée à l'Université de Californie du Sud révèle comment chez le ver C. elegans, différents régimes alimentaires peuvent impacter le vieillissement et la durée de vie. Certes, la recherche a porté sur le ver, mais Caenorhabditis elegans présente des parallèles surprenants avec l’Homme. Bien que ces conclusions publiées dans la revue Cell Metabolism ne peuvent être directement généralisées à l’Homme, elles suggèrent que la combinaison génome-alimentation est associée à la durée de vie.
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