De plus en plus documentée comme facteur de bonne santé mais aussi de risque de maladie chronique, la nutrition peut être, tout comme la reprise progressive d'un exercice adapté, un élément déterminant du rétablissement du patient post-chirurgie cardiaque. C’est la démonstration de ces chirurgiens cardiaques de l'Université d'État de Saint-Pétersbourg (SPSU), menée auprès de patients opérés en raison d’une cardiopathie valvulaire.
Les avocats sont riches en fibres alimentaires et en acides gras monoinsaturés (AGGM), des nutriments documentés pour leurs bénéfices pour la santé métabolique et intestinale. Ces nutritionnistes de l’University of Illinois (U of I) College of Agricultural, Consumer and Environmental Sciences montrent, que chez des personnes en surpoids ou souffrant d’obésité, un avocat par jour améliore la santé intestinale et peut même contribuer à la perte de poids.
L’effet « matrice » des aliments : nous consommons des aliments, pas seulement des nutriments
Depuis plus d’un demi-siècle, l’étude des relations entre alimentation et santé s’est focalisée sur les nutriments des aliments considérés isolément : lipides, glucides, protéines, micronutriments. Cette approche réductionniste qui lie un nutriment à un effet santé est parfaitement légitime quand il s’agit de pathologies de carence : le scorbut est lié à une carence en vitamine C et guérit avec la consommation d’agrumes.
C’est un nouvel exemple des effets bénéfiques possibles de l’alimentation, ici sur la cognition, et une nouvelle preuve que de simples modifications du régime alimentaire peuvent contribuer à réduire le déclin cognitif lié à l’âge. C’est la démonstration d’une équipe de nutritionnistes et de neurologues de l’Iowa State University, proposée dans le Journal of Alzheimer's Disease : une consommation modérée mais régulière de vin et de fromage pourrait « repousser la démence ».
Pourrions-nous améliorer notre santé en avalant une dose quotidienne de microbes vivants et sûrs bien sûr ? C’est l’hypothèse défendue par ce groupe de scientifiques de l’International Scientific Association for Probiotics and Prebiotics qui appelle, dans le Journal of Nutrition, à de nouvelles recherches et de nouvelles preuves liant la consommation de microbes vivants à une meilleure santé. Une toute nouvelle perspective qui, à ce stade, sensibilise aux lacunes de la science sur la relation entre les microbes de nos aliments et les résultats de santé.
Plusieurs études ont déjà associé ces antioxydants, les β-carotènes à un moindre vieillissement cutané, voire un moindre vieillissement cognitif. Ces études démontrent l'effet hipolipémiant des carottes et du β-carotène mais démontrent aussi qu’une enzyme en particulier, permet à tous ces bénéfices de la carotte « de s’exprimer ». Ces travaux, d’une équipe Université de l'Illinois College of Agricultural, Consumer and Environmental Sciences, publiés dans le Journal of Nutrition et le Journal of Lipids Research, confirment ainsi la carotte comme un « superaliment », plébiscitent les bénéfices des antioxydants « naturels » mais suggèrent qu'un gène en particulier, modulent ces effets selon les sujets.
On ne compte plus les bénéfices du régime méditerranéen pour la santé physique et notamment métabolique mais aussi la santé mentale et cognitive. Cette étude de cardiologues de l’Université de Cordoue, ajoute à la preuve de ses avantages dans la prévention des récidives d’une première crise cardiaque. Les conclusions, présentées dans la revue PloS Medicine, rappellent plus largement lev rôle clé de l’alimentation dans la prévention des maladies cardiaques.
La vitamine D régule le calcium dans l'intestin différemment qu'on ne le pensait, montre cette équipe de nutritionnistes de l’Université Rutgers (New Rutgers). Cette nouvelle compréhension du métabolisme du calcium et du rôle élargi de la vitamine D dans la santé intestinale, documentée dans la revue Molecular and Cellular Biology, va permettre à terme de mieux traiter la malabsorption du calcium, qui s'accroît avec le vieillissement ou en cas de chirurgie bariatrique notamment.
Est-ce un mythe ou une réalité ? Existe-t-il un régime alimentaire mieux adapté à chaque groupe sanguin ? Cette étude démystifie cette hypothèse « d’un régime alimentaire par groupe sanguin ». La recherche, publiée dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, montre, en particulier, que tous les groupes sanguins bénéficient de la même manière d'un régime à base de plantes.
La carence en fer est l'un des principaux facteurs de la charge mondiale de morbidité. Les programmes de supplémentation en fer dans les pays à faibles revenus font partie des objectifs nutritionnels mondiaux de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). L’anémie, une des conséquences de la carence en fer, affecte particulièrement les enfants, les femmes pré-ménopausées et les personnes vivant dans les pays pauvres.
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