Des images marquantes voire choquantes sur les méfaits du tabac ont aujourd’hui fait leurs preuves dans la prévention du tabagisme. Faudrait-il recourir à ce type d’avertissement pour dissuader les consommateurs lors de leurs décisions d’achat, de consommer « trop de sucre » ? Des apports raisonnables en sucre ne sont pas mauvais pour la santé, cependant, écrivent ces chercheurs de l'Université de Göttingen (Allemagne), « la société devient accro au sucre et les personnes qui en consomment en excès augmentent considérablement leur risque d’obésité et d’autres problèmes de santé ».
L’idée d’augmenter l’accès aux produits alimentaires frais, en particulier pour les groupes de populations les plus démunis, ce qui passe par une réduction des prix, pour optimiser en population générale les bénéfices d’une alimentation variée pour la santé, est bien une « vieille » idée. Encore faudrait-il que cette réduction sur les prix entraîne en pratique une augmentation de la consommation de ces aliments.
Cette étude suggère en effet la pertinence de l'intelligence artificielle (IA) pour les personnes qui souhaitent s’informer sur l'énergie et les macronutriments présents dans les différents aliments et obtenir ainsi de premières informations sur leur régime alimentaire. L’équipe de nutritionnistes de la Taipei Medical University (Taïwan) conclut que si les chatbots basés sur l’IA ne remplaceront pas les nutritionnistes, ils peuvent apporter une première analyse en temps réel sur les propriétés nutritionnelles des aliments, et finalement pourraient transformer fondamentalement la relation entre les patients et leurs nutritionnistes.
Oui, une alimentation saine et équilibrée peut aussi contribuer au succès de la FIV, conclut cette étude qui apporte principalement les preuves des avantages du régime méditerranéen et de quelques nutriments bien précis sur le succès des traitements de fertilité. L’équipe de l’University of Western Australia and City Fertility (Perth), soutient ainsi dans la revue Reproductive BioMedicine Online, que l’approche nutritionnelle participe aussi aux chances de conception, mais point de supplémentation sans avis médical.
Un quart des personnes qui par ailleurs se « nourrissent bien » annulent les bienfaits de repas sains en grignotant des aliments malsains. Cette équipe de nutritionnistes du King's College de Londres alerte à nouveau contre les effets du grignotage, mettant en avant le risque significativement accru d’accident vasculaire cérébral (AVC) et de maladies cardiovasculaires. Ces conclusions, publiées dans l’European Journal of Nutrition confirment assi que le moment du grignotage peut aussi être crucial pour la santé.
Cet ouvrage consacré à la compréhension et à la gestion des troubles du comportement alimentaire (TCA), écrit par une équipe de professionnels spécialisés, dont deux auteurs touchés personnellement par ces troubles, révèle un phénomène social qui semble réduire l’accès aux patients des minorités au soutien et aux soins des TCA. Il s’agit du mythe de « la jeune fille blanche et riche », décrit ici par les auteurs comme « une barrière dangereuse pour les personnes des autres sexes et d’autres communautés qui peuvent eux-aussi, tout à fait souffrir de troubles de l'alimentation « .
Pour favoriser une alimentation saine en population générale, il est préférable de communiquer sur des aliments « sains et durables » plutôt que sur des aliments « à base de plantes » ou « végétaliens » ! C’est la conclusion de cette enquête de l’Université de Californie du Sud (USC) qui suggère donc, dans le Journal of Environmental Psychology, qu’adapter les étiquettes des aliments à base de plantes pour se concentrer sur leurs allégations de santé et leur moindre impact environnemental, pourrait en pratique favoriser des acuats alimentaires plus sains et plus durables.
Dès la première bouchée, notre sens du goût nous permet de mieux contrôler notre satiété et notre prise alimentaire. C’est la conclusion de cette équipe de neurologues, de biologistes et de nutritionnistes de l’Université de Californie – San Francisco (UCSF) qui montre, avec ces travaux publiés dans la revue Nature, que nos papilles gustatives constituent la première ligne de défense contre une alimentation trop rapide.
La Vitamine B12 est documentée comme un acteur clé de la reprogrammation cellulaire et de la régénération et réparation tissulaire par cette équipe de biologistes de l’Institute for Research in Biomedicine (IRB, Barcelone). Ces nouvelles données, publiées dans la revue Nature Metabolism éclairent notamment 2 nouvelles actions de la vitamine B12, un rôle facilitateur de régénération et une action contre l’inflammation.
L'eau en bouteille aussi peut contenir des centaines de milliers de microparticules de plastique jusqu'alors non détectés, révèle cette étude menée par des biologistes et des chimistes de différents instituts de recherche, dont la Columbia University (New York). En utilisant une nouvelle technique microscopique adaptée à la détection des nanoplastiques, cette équipe documente, dans les Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), ces nombreuses particules qui peuvent passer dans le sang, atteindre les cellules et « polluer » le cerveau.
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