Ce n’est pas la première étude à révéler la capacité cardioprotectrice de la vitamine D mais par apport alimentaire, précisent ici ces chercheurs de l’Harokopio University (Athènes). Les conclusions de l’étude, présentées dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics révèlent en effet une association forte des apports alimentaires en vitamine D avec la santé cardiovasculaire chez les hommes et la santé métabolique chez les femmes.
Certaines variations génétiques de la peau peuvent constituer un écran solaire naturel, selon ces chercheurs de l'Université du Queensland et cet écran détermine notre production et notre statut en vitamine D. Cette étude collaborative qui a examiné les génomes de plus d'un demi-million de participants britanniques, publiée dans la revue Nature Communications, identifie plusieurs gènes candidats qui semblent influencer le statut en vitamine D.
La plupart des régimes de perte de poids entraînent cette perte de poids ainsi qu'une baisse de la pression artérielle, mais ces effets bénéfiques disparaissent en grande partie après un an. Ce banc d’essai de 14 régimes de perte de poids, présenté dans le British Medical Journal suggère ainsi que la plupart des régimes entraînent une perte de poids modeste, à peu près similaire, et une amélioration des facteurs de risque cardiovasculaire sur une période de six mois, mais appelle à mieux comprendre pourquoi le maintien de la perte de poids et des bénéfices cardiovasculaires n’est que trop rarement au rendez-vous au bout d’un an.
En particulier chez les femmes dont les femmes ménopausées ne prenant pas d'hormones, les isoflavones du tofu et des protéines végétales sont associées à un risque réduit de maladie cardiaque, conclut, à nouveau, cette étude observationnelle publiée aujourd'hui dans Circulation, la revue de l'American Heart Association.
L’équipe de la Harvard Medical School et du Brigham and Women's Hospital a analysé les données de plus de 200.000 participants de 3 études prospectives portant sur le lien entre la nutrition et la santé ; tous les participants étaient exempts de cancer et de maladie cardiaque à l’inclusion.
En analysant comment la chirurgie de pontage gastrique, une forme de chirurgie bariatrique ou chirurgie de perte de poids affecte le microbiome intestinal, cette étude de l’Université de l'État d'Arizona et de la Mayo Clinic souligne à nouveau l'importance des changements microbiotiques sur le métabolisme et la gestion du poids corporel. En documentant ces changements dans la revue NPJ Biofilms and Microbiomes, l’équipe soutient la voie de ma manipulation du microbiote intestinal pour améliorer le métabolisme et lutter contre l’obésité.
Les régimes à base de plantes sont bénéfiques à la santé cardiovasculaire, mais à une condition ne pas faire d’écarts, en grignotant des aliments moins sains comme les bonbons, les céréales raffinées ou des jus de fruits sucrés. Si l’observance n’est pas totale, et si l’on compense les fruits et légumes par de petits à-côté sucrés, le régime végétarien ne fait pas mieux qu’un régime occidental classique, pour prévenir le risque cardiovasculaire.
Le régime keto ou cétogène, adopté pour la perte de poids ou la gestion de maladies telles que le diabète de type 2 ou encore l’épilepsie, entraîne son son halo d’effets indésirables décrit ici par ses adeptes comme « une grippe keto ». De quoi s’agit-il ? De symptômes similaires à la fatigue grippale, des nausées, des étourdissements, une diminution de l'énergie, une sensation de faiblesse et des altérations du rythme cardiaque.
Certes, l’étude est soutenue par le « Hass Avocado Board, USDA », cependant les bénéfices métaboliques de l’avocat ne restent pas à démontrer : si de nombreuses études plaident pour sa consommation quotidienne, contre le syndrome métabolique et le risque cardiaque, cette nouvelle recherche, menée à Université de l'Illinois à Urbana-Champaign suggère que sa consommation quotidienne aurait également des effets cognitifs bénéfiques : l’avocat améliore l'attention chez les personnes en surpoids ou obèses, concluent les chercheurs dans le Journal of Psychophysiology
« Il existe plusieurs façons de manger pour optimiser la santé du cerveau », rappelle l’auteur principal, Naiman A.
C’est l’Agence de Sécurité alimentaire européenne (EFSA) qui l’indique, à ce jour aucune preuve ne suggère que la nourriture puisse être une source ou une voie de transmission du nouveau coronavirus SRAS-CoV-2. Cependant, les différentes organisations de santé rappellent l’importance du respect de mesures d’hygiène strictes lors de la préparation et la prise des repas.
La Responsable scientifique de l'EFSA, Marta Hugas rappelle que « les expériences des précédentes flambées de coronavirus apparentés, comme le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV), montrent que la transmission par la consommation alimentaire ne se produit pas.
Quand faut-il manger pour bien gérer son poids? Faut-il prendre un petit déjeuner ? Faut-il éviter les collations de fin de soirée ? Cette équipe de l'Université de Vanderbilt confirme, dans la revue PLoS Biology, tout l’intérêt de la chrononutrition : ce n'est pas seulement le nombre de calories que vous mangez, mais quand vous les mangez, car le moment des repas détermine dans quelle mesure on brûle ces calories.
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