Une supplémentation en vitamine D peut contribuer à protéger les personnes à faibles niveaux contre les formes de COVID-19 sévères, réaffirme cette étude du Montefiore Health System et de l’Albert Einstein College of Medicine (New York, Bronx). Un rappel documenté lors du congrès ENDO 2021 de l’Endocrine Society, alors qu'environ 80% des patients COVID-19 sont carencés et que la moitié des patients ayant une faible teneur en vitamine D ne reçoivent pas de supplémentation.
On sait qu’adopter un régime alimentaire trop riche, de type « occidental », entraîne des risques accrus de différentes maladies métaboliques, dont l’obésité et ses comorbidités, le diabète de type 2, le syndrome métabolique, la maladie cardiovasculaire et la stéatose hépatique. Cependant, cette équipe de nutritionnistes du Karolinska Institutet (Suède) soutient qu’il est possible d’éliminer les dysfonctionnements métaboliques causés par un régime trop riche en graisses.
Un Appel des scientifiques européens pour la mise en œuvre du Nutri-Score en Europe, un logo nutritionnel simple et transparent reposant sur des bases scientifique solides, destiné à aider les consommateurs à améliorer leurs choix alimentaires et contribuer à la prévention des maladies chroniques.
269 scientifiques et 21 associations d’experts (représentant des centaines de scientifiques et de professionnels de la santé) travaillant dans 32 pays européens dans les domaines de la nutrition, de l’obésité, de l’endocrinologie, de la santé publique, de la médecine préventive, de la cancérologie, de la cardiologie, de la pédiatrie et du marketing social,..
Les bienfaits du régime méditerranéen et/ou d’un régime de perte de poids se « répercutent » sur toute la famille de la personne qui l’initie et l'observe, c’est ce que ces chercheurs du Hospital del Mar Medical Research Institute (IMIM) appellent « l’effet halo » ! Ainsi, la recherche, publiée dans l’ International Journal of Obesity, révèle que les proches d’un patient qui suit un programme de poids « médicalisé » perdent en moyenne près de 4 kilos, une perte de poids évaluée ici 2 ans après le début du régime.
« Le régime végétalien conduit-il à une mauvaise santé des os ? », s’interroge cette équipe de nutritionnistes du Federal Institute for Risk Assessment (BfR, Berlin). L’étude, publiée dans la revue Nutrients révèle en effet des différences dans la santé des os associées au régime alimentaire mixte ou végétalien.
Le régime végétalien est à la mode et son impact sur la santé fait l'objet d'études scientifiques plus nombreuses.
Une supplémentation en zinc chez les patients COVID-19 carencés pourrait en effet favoriser leur rétablissement, conclut cette équipe de l’Hospital del Mar Medical Research Institute (IMIM) and de la Pompeu Fabra University (UPF, Barcelone) : la mortalité par COVID dans ce groupe de patients atteint 21% vs 5% chez les patients ayant des niveaux plus élevés de zinc dans le sang.
Ces chercheurs du Texas A&M décryptent un peu plus les effets nocifs des boissons énergisantes sur le cœur. Ils montrent, dans la revue Food and Chemical Toxicology, comment ces boissons peuvent parfois « donner un coup de pouce », mais dans d’autres cas, contribuer au développement de maladies cardiaques graves. En cause, des effets directs sur les cardiomyocytes, les cellules musculaires du cœur.
Sport, jeûne intermittent, chez certains rien n’y fait, la graisse du ventre résiste. Cette étude d’endocrinologues et de biologistes de l’Université de Sydney montre à quel point la localisation de la graisse est importante dans sa persistance : en cartographiant, par spectographie de masse ce qui se passe dans des tissus adipeux de souris pendant le jeûne intermittent, les chercheurs australiens décryptent une cascade de changements biologiques bien spécifique au type de dépôts graisseux et à sa localisation dans le corps.
Cette recherche d’une équipe de l’Université de Reading apporte une nouvelle explication à l’effet néfaste des régimes riches en graisses sur la santé cardiaque : les graisses suractivent une protéine destructrice qui stresse les cellules cardiaques jusqu’à l’hypertrophie, et ce jusqu’à la crise cardiaque. Ces travaux, publiés dans la revue Biochemical and Biophysical Research Communications, identifient une protéine clé dans ce processus, qui constitue une nouvelle cible thérapeutique prometteuse.
C’est une nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau, que nous propose cette équipe de l’Oregon Health & Science University (OHSU) qui identifie des changements dans le microbiome intestinal liés à un comportement comparable à celui observé dans la maladie d'Alzheimer. Cette étude, menée chez la souris et publiée dans les Scientific Reports, élargit notre compréhension du rôle critique des microbes dans la santé cérébrale et cognitive.
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