Mais comment la leptine, une hormone fabriquée par la graisse corporelle, supprime-t-elle l'appétit ? Cette étude d’une équipe d’endocrinologues de l'Université d'Utrecht décrypte pour la première fois un nouveau neurocircuit qui en connectant via la leptine, les réserves de graisse corporelle et le système de récompense de la dopamine du cerveau régule ou peut réguler les comportements alimentaires. Ces travaux, menés chez l’animal et publiés dans la revue Biological Psychiatry, expliquent comment l’hormone leptine freine la suralimentation et ouvrent de nouvelles perspectives pour lutter contre l’obésité.
Une substance chimique du cerveau appelée enképhaline qui provoque un signal d’envie similaire à celui de l'opium -ou des opioïdes- en cas de consommation de chocolat ? L’injection de cette même substance synthétisée dans le cerveau qui déclenche un état compulsif chez l’animal ? Ces deux constatations peuvent-elles suggérer que le chocolat pourrait entraîner une addiction aussi élevé que l'opium ?
Les conservateurs utilisés dans des centaines d'aliments populaires peuvent nuire au système immunitaire, alerte cette équipe de l'EWG, une association environnementale américaine à but non lucratif vouée à la protection de la santé humaine et de l'environnement. Cette analyse des données du ToxCast (US Environmental Protection Agency’s Toxicity Forecaster) a permis cette évaluation des risques pour la santé, associés aux produits chimiques les plus couramment ajoutés aux aliments, y compris les substances perfluoroalkylées (PFAS), qui peuvent migrer vers les aliments, à partir de leurs conditionnements.
Nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau avec cette analyse des effets du sucre sur le développement cérébral de l’Enfant, via le microbiote intestinal. L’équipe de l’University of Georgia décrypte ici, dans la revue Translational Psychiatry, comment une consommation élevée de sucre à l'enfance affecte l'apprentissage et la mémoire.
Des données à prendre en compte par les parents alors que les enfants sont les plus gros consommateurs de sucre ajouté.
L’observance de ces 2 facteurs de mode de vie, la pratique régulière de l’exercice et une alimentation saine, à partir de la quarantaine est synonyme de bénéfice considérable en matière de santé cardiométabolique plus tard dans la vie. C’est la conclusion de cette récente analyse des données de la « fameuse » Framingham Heart Study publiée dans le Journal of the American Heart Association (JAHA).
Cet examen de la littérature sur les avantages possibles des produits laitiers fermentés non seulement réaffirme une association entre la dysbiose du microbiote intestinal et l’hypertension artérielle, mais décrypte des processus sous-jacents à ces effets anti-hypertenseurs des laits fermentés. De nouvelles données publiées dans le Journal of Dairy Science qui suggèrent le développement de produits laitiers ciblés sur cet avantage pour la santé.
Des niveaux plus élevés de ghréline, incitent à faire des choix plus impulsifs, en particulier sur le plan financier, conclut à nouveau cette étude de chercheurs du Massachusetts General Hospital (MGH) et de la Harvard Medical School (Boston). Ces conclusions, présentées à ENDO 2021, la réunion annuelle de l'Endocrine Society, éclairent le rôle plus large de l’hormone de la faim, bien au-delà du comportement alimentaire.
La consommation régulière de produits de la viande transformée a déjà été associée à plusieurs risques pour la santé, dont le risque de certains cancers, de maladie cardiovasculaire et de troubles de l’humeur jusqu'à des comportements maniaco-dépressifs. Cette très large recherche de l’Université de Leeds, menée à partir des données de la BioBank britannique, présente, dans l’American Journal of Clinical Nutrition, de nouvelles preuves des effets délétères de la consommation de viande transformée sur la santé du cerveau.
Le sucre est ajouté à de nombreuses denrées alimentaires courantes et nous en consommons plus de 100 grammes par jour. La teneur élevée en calories du sucre entraîne une prise poids puis une obésité et des comorbidités. Mais quel est le processus déclenché par une consommation régulière et excessive de sucres ? Et avec quel type de sucre ? Cette équipe de nutritionnistes et endocrinologues de l’Université de Zurich montre ici, dans le Journal of Hepatology comment même des quantités modérées de sucre, précisément de fructose ou de saccharose peuvent considérablement accélérer la synthèse des graisses.
Cette équipe du Deutsches Krebsforschungszentrum ou German Cancer Research Center (DKFZ, Heidelberg) révèle comment de nouveaux agents pathogènes peuvent provoquer le développement du cancer colorectal. Ces facteurs bovins présents dans les produits laitiers et la viande (BMMFs pour bovine milk and meat factors) déclenchent une inflammation chronique locale, qui peut provoquer des mutations via des molécules d'oxygène et favoriser le développement du cancer.
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