Le cholestérol alimentaire peut aussi aggraver l'inflammation liée à la maladie grippale, révèle cette étude de l'Université de l'Illinois, menée chez la souris. Cette toute première démonstration d’un lien entre le cholestérol alimentaire et sévérité de la grippe ou, plus largement et probablement, l'exacerbation d'une infection virale, présentée dans le Journal of Immunology, vient compléter le lien déjà documenté entre un régime alimentaire riche en graisses, l'augmentation du cholestérol sanguin et la sensibilité accrue aux infections, avec une réponse immunitaire globalement réduite.
Il peut être indiqué de suivre un régime alimentaire hypo-protéiné c’est-à-dire sans protéines animales et principalement basé sur des plantes ou végétaux, notamment en cas de troubles métaboliques (obésité, diabète), d’insuffisance rénale ou simplement de surpoids. Cette recherche menée par une équipe du Pennington Biomedical Research Center (Louisiane) montre qu’une hormone, nommée FGF21, adresse un signal d’alarme au cerveau signalant que l’apport en protéines est plus faible, ce qui déclenche toute une série de bénéfices.
Cette équipe de dermatologues de la la Ludwig-Maximilian University (Munich) vient d’identifier un lien qui pourrait être crucial entre l'acné et un déficit en acides gras oméga-3. Ces conclusions, présentées lors du Spring Symposium de l'Académie européenne de dermatologie et de vénéréologie (EADV), ouvrent de nouvelles opportunités pour la gestion d'une maladie qui, selon les estimations, touche près de 23 millions de personnes en Europe.
De précédentes études ont mis en avant quelques bénéfices de la bière, une capacité de prévention contre le diabète et l’ostéoporose notamment. Cette recherche, présentée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, suggère que la bière blonde, qu’elle contienne de l’alcool ou non, pourrait favoriser la présence de bonnes bactéries dans le microbiote intestinal. Ainsi, l’étude pilote conclut que les hommes qui consomment une bière blonde par jour présentent un microbiote plus diversifié, ce qui peut réduire le risque de nombreuses maladies.
Cette nouvelle revue de la littérature de nutritionnistes et de biologistes de l’Université de Californie du Sud, résume pour nous les données disponibles portant sur les régimes alimentaires les plus favorables à un vieillissement et une longévité accrue, en bonne santé : toutes les caractéristiques connues d'un « régime de longévité » sont ainsi décrites dans la revue Cell, avec quelques rappels fondamentaux, beaucoup de végétaux, dont de légumineuses et peu de viande rouge voire pas du tout.
L'huile de krill -ou petits crustacés (notamment Euphausia superba) vivant dans les eaux froides de l’antarctique-, riche en acides gras omega-3 est documentée comme bénéfique pour la masse, la fonction et le volume musculaires chez les personnes de plus de 65 ans. L'étude, menée par l'Institut des Sciences cardiovasculaires et médicales (ICAMS) de l'Université de Glasgow et publiée dans la revue Clinical Nutrition, révèle qu'une supplémentation en huile de krill de 4 grammes par jour pendant 6 mois suffit à entrainer une augmentation statistiquement et cliniquement significative de la fonction et de la taille des muscles.
L’équipe de l’Université de Californie – Santa Barbara examine ici le rôle possible des régimes alimentaires à faible teneur en glucides et en sucre dans la prévention de la polykystose rénale (PDK). L'étude clinique, publiée dans le Clinical Kidney Journal, suggère l’intérêt et confirme la sécurité des régimes cétogènes et du jeûne intermittent chez les patients atteints de PKD, avec pour résultat, une réduction drastique des kystes rénaux.
Cette découverte pourrait changer la prise en charge clinique de l’anorexie, un trouble du comportement alimentaire (TCA) qui touche environ 1,4 % des femmes et de 0,2 % des hommes au cours de la vie : l’équipe de neurologues du Baylor College of Medicine (Houston) et de la Louisiana State University, identifie une activité anormale dans un circuit cérébral particulier, qui provoque l’anorexie chez un modèle animal.
La consommation de café, qu’il soit sucré ou non sucré, est associée à un risque de décès réduit, conclut cette étude de cohorte menée à la Southern Medical University de Guangzhou (Chine). L’analyse, publiée dans les Annals of Internal Medicine révèle que, par rapport aux non-buveurs de café, les adultes qui en consomment des quantités modérées (1,5 à 3,5 tasses par jour) sucré, ou non sucré, ont un risque réduit de décès à 7 ans.
Les suppléments de calcium liés à un décès précoce chez les patients âgés atteints d'une valvulopathie ou maladie des valves cardiaques, c’est la conclusion de cette équipe de cardiologues de l’Université de Vienne, qui alerte ainsi, dans la revue Heart, contre les risques de cette supplémentation, en particulier lorsqu’elle est continue et durable, chez les patients atteints de calcification (sténose aortique) et à risque élevé de maladie cardiovasculaire.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |