Les aliments à faible Nutri-Score sont définitivement associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires, conclut cette équipe de médecins nutritionnistes et de chercheurs en nutrition de l’INSERM, France. La recherche, publiée dans le Lancet Regional Health rapporte un risque accru de maladies cardiovasculaires associé à la consommation d'aliments moins bien classés sur l'échelle Nutri-Score au sein de la cohorte européenne EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition).
Cet essai clinique, mené à l’Oregon Health & Science University (OHSU), tente de conclure sur l'effet de l'huile de poisson et des omega-3 sur le cerveau des personnes âgées et aboutit à « un bénéfice statistiquement significatif » pour les personnes génétiquement prédisposées à la maladie d'Alzheimer. Les conclusions, publiées dans le JAMA Network Open, ne révèlent en effet et précisément aucun bénéfice statistiquement significatif pour toutes les personnes âgées en général.
Ce sont 2 nutriments moins fréquemment évoqués à cette étape de la vie, pourtant, le zinc et le calcium sont associés à des grossesses plus saines, conclut cette équipe de nutritionnistes lors du Congrès Nutrition 2024 de l’American Society for Nutrition : des apports plus élevés en ces nutriments au moment de la conception pourraient en effet contribuer à prévenir des problèmes de tension artérielle, dangereux pendant la grossesse.
Oui, l’alimentation du père, avant même la conception a une influence sur la santé de l’enfant à naître, réaffirme cette étude menée par des nutritionnistes et des biologistes de l’Université de Syracuse. Cette fois, c’est une recherche sur l’animal qui suggère, précisément, la capacité d’un supplément paternel d'huile de poisson à réduire le risque d'obésité chez sa progéniture. Ces travaux présentés au Congrès Nutrition 2024 de l’American Society for Nutrition confirment ainsi un lien entre la santé métabolique du père et celle de ses enfants et posent la question de l'opportunité d’une supplémentation des pères aussi, avant la conception.
Les nitrates d'origine végétale sont positifs pour la santé humaine, conclut cette équipe de l’Université Edith Cowan (ECU, Australie) qui révèle les effets contraires des différents nitrates alimentaires. L’étude, publiée dans l’European Journal of Epidemiology, accessoirement, apporte une nouvelle motivation à préférer les régimes à base « de plantes ».
Les nitrates, un composé présent dans les légumes, la viande mais aussi l'eau potable, est toujours l'objet de débats en raison de son impact possible sur la santé.
Même suivi à court terme, le régime végétalien est déjà associé à une réduction de l'âge biologique, conclut cette équipe de biologistes de la Stanford University : 8 semaines ont suffi pour réduire les niveaux de méthylation de l'ADN, une modification épigénétique associée au vieillissement. La recherche, publiée dans la revue BMC Medicine, montre à nouveau tout l’impact de l'alimentation sur le vieillissement, mais aussi sur la santé des différents systèmes organiques.
Les fibres alimentaires, présentes principalement dans les fruits, les légumes et les grains entiers permettent à nos bactéries intestinales de vivre aussi sainement et de constituer un microbiote sain et fonctionnel. L’équipe de chercheurs de la Technical University of Denmark (DTU) décrypte ici, dans la revue Nature Microbiology, comment les fibres alimentaires jouent un rôle clé dans l’équilibre entre la production de substances saines et nocives et donc en régulant le comportement des bactéries du côlon.
Une supplémentation en potassium participe à la prévention de la fibrillation auriculaire (FA) après une chirurgie cardiaque, confirme cette équipe internationale de cardiologues qui préconise cependant de recourir à la supplémentation uniquement lorsque la concentration sérique de potassium est tombée en dessous de 3,6 mEq/L (milliéquivalent par litre). Cet essai, publié dans le JAMA Network révèle que pour cette prophylaxie, la supplémentation uniquement lorsque la concentration sérique de potassium est tombée en dessous de 3,6 mEq/L n'est pas inférieure à la pratique courante actuelle basée sur un seuil supérieur.
Ce sont des milliards de personnes dans le monde qui consomment des niveaux insuffisants de micronutriments essentiels à la santé humaine. Cette conclusion d’une large étude, menée à la Harvard Chan School fait même état de carence chez près de la moitié de la population mondiale et pour plusieurs micronutriments essentiels à la santé. Ces données, présentée dans le Lancet Global Health, constituent un bilan plus sévère qu’on ne le pensait de la malnutrition, avec des disparités aussi entre les femmes et les hommes.
La vitamine D se révèle un traitement d'appoint prometteur pour la stéatose hépatique ou maladie du foie gras non alcoolique (NAFLD : non-alcoholic fatty liver disease), en raison de ses propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et antifibrotiques. Si d’autres recherches restent nécessaires pour préciser les recommandations d’apport de vitamine D dans la NAFLD, selon ces données, publiées dans la revue Exploratory Research and Hypothesis in Medicine, la vitamine D pourrait devenir la pierre angulaire de l’approche multidimensionnelle de la gestion de ces maladies du foie.
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