Pourquoi le jeûne réduit-il les crises ? Cette équipe de pédiatres du Boston Children's Hospital identifie des voies moléculaires qui pourraient conduire à des alternatives au jeûne -ainsi qu’au régime cétogène-, 2 régimes alimentaires documentés pour réduire les crises. Ces travaux, publiés dans les Cell Reports participent aussi à améliorer la compréhension de l’axe intestin–cerveau.
La restriction calorique a déjà été associée à une réduction des crises d'épilepsie.
Comment l'alimentation et le microbiome affectent-ils le risque de cancer colorectal ? C’est la question pratique que se pose ici l’équipe d’oncologues et de gastroentérologues de l’Université de Cincinnati, qui explique pourquoi, si grâce au dépistage, l’incidence du cancer colorectal est réduite chez les plus âgés, elle augmente fortement chez les jeunes adultes. Une explication réside dans le rôle du régime alimentaire occidental et du microbiote intestinal qui sont confirmés ici comme des facteurs contributifs majeurs.
Cette vitamine que l’organisme ne sait pas fabriquer et qui n’est apportée que par l’alimentation ou la supplémentation est décrite ici, par cette équipe de psychiatres de l’Université de Reading comme efficace à réduire l'anxiété et la dépression : il s’agit de la vitamine B6. Evaluée auprès de jeunes adultes, cette supplémentation à forte dose et sur 1 mois, permet en effet de réduire les sentiments d'anxiété et de dépression.
De nombreuses études ont démontré qu’une consommation excessive de viande rouge et de produits de la viande conduisait à un risque plus élevé de cancer colorectal. Cette nouvelle étude d’une équipe de la Tufts University et de Harvard, (Boston), révèle plus largement, que les aliments ultra-transformés sont en cause dans la hausse d’incidence du cancer colorectal chez les hommes. Ces données publiées dans le British medical Journal (BMJ) alertent donc principalement les hommes sur la qualité de leur alimentation, avec à nouveau des apports trop élevés de produits de la viande.
Cet essai clinique mené au São Paulo Research Foundation (FAPESP) et publié dans la revue Nutrition, suggère que la taurine, un acide aminé, pourrait être bénéfique et efficace en tant que thérapie anti-âge. Une supplémentation en taurine pourrait renforcer les défenses antioxydantes de l’organisme et éventuellement réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète et d’hypertension artérielle.
Notre corps possède un véritable arsenal d’enzymes antioxydantes qui aident à maintenir un équilibre approprié des espèces réactives de l’oxygène (ROS), cependant ces mécanismes de contrôle deviennent moins efficaces avec l’âge.
Cette étude confirme les bénéfices des oméga-3 et en particulier de l’acide gras docosahexaénoïque (DHA) pour prévenir le risque de maladie d’Alzheimer. La recherche révèle en effet, dans la revue Nutrients, que les personnes ayant un taux sanguin élevé de cet acide gras polyinsaturé oméga-3 encourent un risque réduit précisément de 49%, de développer cette forme de démence.
Ainsi, si ces conclusions étaient confirmées, une simple intervention diététique pourrait contribuer à réduire la prévalence croissante de la démence, préserver un vieillissement en bonne santé chez des centaines de milliers de personnes et permettre aussi des milliards d'économies en soins de santé.
La restriction calorique améliore la longévité, mais tous les régimes de restriction n’ont pas les mêmes effets, précise cette équipe de neuroscientifiques de l'Université du Texas (UT) Southwestern. C’est la première étude à identifier -chez la souris- les conditions précises dans lesquelles la restriction calorique apporte cet effet « longévité en bonne santé ». Les conclusions, présentées dans la revue Science, soutiennent l’importance de 2 facteurs, la réduction de l’apport calorique bien sûr, mais aussi le moment de cet apport durant la période d’activité du cycle circadien.
« Vous vous sentez anxieux ou déprimé ? Les aliments ultra-transformés pourraient être néfastes à la santé mentale », conclut cette équipe de la Florida Atlantic University (FAU). Alors qu’aux États-Unis, plus de 70 % des aliments conditionnés sont ultra-transformés, qu’ils représentent 60 % de l’apport calorique moyen, cette nouvelle illustration de l’axe intestin-cerveau pourrait contribuer à expliquer et à entraîner une véritable épidémie de troubles mentaux.
Si l’obésité a été liée à un risque plus élevé de fractures chez les femmes, un IMC trop faible pourrait également être un facteur de risque. C’est la conclusion de cette étude de l’Université de Leeds qui révèle, dans la revue BMC Medicine, un risque plus élevé de fracture de la hanche, chez les femmes végétariennes. Cette augmentation du risque n’est pas constatée chez les pescatariens, les personnes qui mangent du poisson mais pas de viande.
Si de nombreux effets de la vitamine D ont été démontrés, la vitamine D est surtout connue pour ses bénéfices dans la santé osseuse. Cette équipe de l’University of South Australia en décrit un nouvel avantage en documentant, pour la première fois, un lien direct entre de faibles niveaux de vitamine D et des niveaux élevés d'inflammation. Cette étude génétique, publiée dans l’International Journal of Epidemiology identifie ainsi un biomarqueur important permettant de détecter les personnes à risque de formes plus sévères de maladies chroniques à composante inflammatoire.
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