Cette étude, menée à l’Université de Barcelone corrèle pour la première fois la consommation de fructose liquide à la stéatose hépatique- ou maladie du foie gras. Ainsi, un régime riche en graisses n’est pas toujours suffisant à provoquer une stéatose hépatique à court terme. En revanche, associée à un régime trop riche en sucres, via la consommation de boissons sucrées riches en fructose liquide, accélère l'accumulation de graisses dans le foie.
La restriction calorique -et le jeûne intermittent– sont aujourd'hui documentés comme bénéfiques à de multiples égards. Cette nouvelle recherche menée au Pennington Biomedical Research Center (Louisiane), confirme 3 avantages majeurs : la restriction calorique « recâble » le métabolisme, optimise l'immunité et en conséquence, favorise une plus longue durée de vie. Ces travaux, publiés dans la revue Science, identifient notamment des effets bénéfiques de réduction d’un gène délétère, dont la réduction de l'inflammation liée à l'âge et l'amélioration de la santé métabolique.
Le régime cétogène, un régime riche en graisses et pauvre en glucides peut améliorer considérablement la qualité de vie des personnes atteintes de sclérose en plaques (SEP) selon cette étude de l’Université de Virginie (Charlottesville), présentée lors de la 74è réunion annuelle de l’American Academy of Neurology (AAN, Seattle).
Le régime cétogène, qui se compose principalement d’aliments comme la viande, le poisson, les œufs, la crème épaisse, le beurre, les huiles et les légumes non féculents comme les petits pois, les carottes, le brocoli et les poivrons est aujourd’hui présenté comme très bénéfique pour les personnes atteintes de sclérose en plaques (SEP) .
Il existe des mesures simples de mode de vie qui permettent de mieux contrôler la pression artérielle, voire de gérer une hypertension (HTA). Parmi ces options naturelles, une simple habitude alimentaire, la consommation quotidienne de yaourt s’avère ici associée, selon cette étude de chercheurs de l’Université d’Australie du Sud et de l’Université du Maine, à une baisse jusqu’à 7 points de pression artérielle.
Cette large étude d’une équipe de l'Université d'Oxford confirme qu’une consommation de viande trop régulière ou trop importante est associée à un risque de cancer plus élevé. Ces données d’association, publiées dans la revue BMC Medicine montrent également les bénéfices protecteurs d’un régime végétarien et végétalien contre le risque de cancer.
Si l’étude ne fait pas la démonstration d’une relation de cause à effet entre l'alimentation et le risque de cancer, elle apporte à la preuve d'association à grande échelle dentre une consommation trop élevée de viande et une incidence plus élevée des cancers- cette association est également identifiée pour d’autres maladies chroniques.
Manger des légumes contribue, mais ne suffit absolument pas à protéger contre les maladies cardiovasculaires, conclut cette étude à grande échelle menée à partir des données de la BioBank britannique. Des conclusions publiées dans la revue Frontiers in Nutrition, qui suggèrent que de multiples études précédentes, très positives sur les régimes à base de plantes n’ont pas suffisamment et correctement pris en compte les facteurs de confusion possibles, dont notamment les facteurs socio-économiques et d'autres facteurs de mode de vie.
Cette étude préclinique du Ludwig Institute for Cancer Research révèle les bénéfices du régime cétogène dans le traitement du cancer du pancréas. En combinaison avec la chimiothérapie. De précieuses données publiées dans la revue Med, alors que si son traitement a considérablement progressé, le pronostic du cancer du pancréas reste très fréquemment très négatif, avec une survie toujours très limitée.
L’équipe d’Oxford démontre qu'un régime bien connu pourrait améliorer l'efficacité de la chimiothérapie contre le cancer du pancréas.
Le calcium joue un rôle non seulement important dans la santé osseuse mais vital aussi dans la santé cardiaque, rappelle cette équipe de l'Université d'Osaka. Ces travaux publiés dans la revue Science Translational Medicine, identifient une mutation génétique qui, en perturbant la fonction normale de la protéine, dont la gestion du calcium dans les cardiomyocytes, peut finalement mener à l’insuffisance cardiaque.
Cette recherche confirme toute l’importance du régime alimentaire de la mère, durant la grossesse, pour la croissance de l’enfant : un régime alimentaire de haute qualité pendant la grossesse est en effet associé à un risque très réduit de retard de croissance fœtale, conclut l’équipe de pédiatres et de gynécologues de la Washington University School of Medicine à St. Louis. Ces données, présentées lors de la Réunion annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine (SMFM), « The Pregnancy Meeting™ » et à paraître dans l'American Journal of Obstetrics and Gynecology (AJOG), ajoutent à la preuve de l‘importance des facteurs de mode de vie modifiables chez la mère pour la santé du bébé.
La consommation maternelle d'édulcorants pendant la grossesse peut affecter le microbiome du bébé à naître ainsi que son risque d'obésité plus tard dans la vie. Cette étude, menée chez la souris et publiée dans la revue Frontiers in Nutrition, est ainsi la première à identifier des changements dans les populations bactériennes du microbiote, mais aussi dans le métabolisme des bébés lorsque leurs mères ont consommé des édulcorants avant leur naissance.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |