Décidemment, les bactéries de nos intestins semblent détenir la clé de notre santé mais aussi de nos défenses contre la plupart des maladies chroniques, intestinales bien sûr, mais aussi métaboliques, neurologiques et même le cancer, souligne aujourd’hui cette équipe de scientifiques de l’Université de Wurtzbourg (Allemagne), publiée dans la revue Nature Communications. Les chercheurs font ici la démonstration de la capacité de certains acides gras à chaîne courte, produits par des bactéries intestinales, à booster nos cellules T antimorales.
Cette équipe de neurologues du Department of Psychiatry et de nutritionnistes de l’University of North Carolina (UNC) Health Care montre comment un changement de régime alimentaire basé sur certaines classes d'acides gras permet de réduire, de manière significative, les maux de tête chez des patients diagnostiqués comme migraineux. De nouvelles données, publiées dans le British Medical Journal (BMJ) qui ouvrent -une nouvelle fois- une voir thérapeutique non médicamenteuse, nutritionnelle et naturelle.
Cette étude de chercheurs de l’École de médecine de l'Université de Washington, menée à la fois sur la souris et in vitro, sur des échantillons de sang humain, suggère que le « bon » cholestérol HDL (High Density Lipoprotein) peut prévenir l'inflammation du foie : un type de « bon cholestérol » en particulier, appelé « HDL3 », lorsqu'il est produit dans l'intestin, apparaît tout particulièrement protecteur pour le foie.
C’est une conclusion « révolutionnaire » : un régime occidental riche en graisses peut littéralement « faire mal », révèle cette équipe de l’Université du Texas (UT) Health San Antonio : un régime occidental typique exacerbe les douleurs chroniques chez les personnes atteintes de maladies telles que le diabète ou l'obésité. Avec un espoir, selon ces travaux menés in vivo, à la fois chez la souris et chez l’Homme, les changements de régime alimentaire peuvent réduire considérablement, voire inverser, les différents types de douleur, aiguë ou chronique, inflammatoire ou neuropathique.
Si les résultats de cette étude de l’Université du Michigan reflètent l'expérience d'une seule institution, la Michigan Medicine, ils viennent confirmer sous un nouvel angle, la profonde détresse des adolescents associée à la pandémie et aux mesures de distanciation et de confinement. Cette étude, publiée dans la revue Pediatrics, révèle en effet, un pic des hospitalisations pour troubles du comportement alimentaiere (TCA) chez les adolescents, illustrant ainsi l’impact considérable de la crise sanitaire sur la santé mentale et physique des adolescents à travers le monde.
Quel rapport entre les opioïdes, le soleil et la vitamine D ? Une carence en vitamine D peut augmenter le risque de dépendance aux opioïdes -et aux rayons ultraviolets- conclut cette analyse de dossiers de patients, mais aussi cette étude préclinique menée sur la souris, publiée dans la revue Science Advances. Ainsi, les niveaux de vitamine D influent sur le risque de dépendance aux opioïdes, mais aussi sur le comportement de recherche de soleil (ou …de vitamine D !).
C’est une étude de cas qui ne porte que sur un patient, mais elle montre que ce patient, qui suit un régime cétogène vit avec un glioblastome -à mutation IDH1- sans progression ou presque et plus de 80 mois après le diagnostic. Suivi par les cliniciens du Boston College, ce cas, documenté dans la revue Frontiers in Nutrition, révèle a minima, l’intérêt de l'utilisation du propre métabolisme du corps pour lutter contre ce cancer particulièrement agressif, ici au lieu de la chimiothérapie et de la radiothérapie.
Dans cette ère de vieillissement des populations et de « nouveaux » objectifs de vieillissement et d’espérance de vie en bonne santé, les polyamines ont peut-être un rôle clé à jouer. Les fonctionnalités des polyamines et de leurs analogues sont déjà documentées dans le traitement et la prévention des maladies liées à l'âge. Cependant, cette équipe de bioingénieurs de Technical University of Denmark a trouvé le moyen d’optimiser encore ces molécules pour produire un complément qui a le potentiel d'optimiser le vieillissement en bonne santé.
Cette étude établit pour la première fois un lien mécanique entre la consommation de viande rouge et le développement du cancer colorectal en montrant comment des mutations génétiques indiquant des dommages à l'ADN sont associées à une consommation élevée. Ces travaux d’oncologues de la Harvard Medical School publiés dans la revue Cancer Discovery, sensibilisent un peu plus, en décryptant clairement la relation, au risque cancérigène de la viande rouge et transformée, lorsqu'elle est consommée en excès.
Ce petit essai randomisé de 3 semaines, permet de préciser les effets du jeûne intermittent, sur la perte de masse grasse. Pratiqué sous différentes formes, avec une restriction alimentaire calée sur les jours de la semaine ou des périodes de la journée, le jeûne intermittent est devenu un régime très populaire. Ses bénéfices sont de mieux en mieux démontrés sur un spectre de plus en plus large, métabolique, cardiaque ou cellulaire.
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