La caféine est une habitude saine pour le cœur, conclut à nouveau, cette équipe de l’Université Sapienza de Rome qui incite même le public à joindre l’utile (la santé cardiovasculaire) à l’agréable (le café et autres boissons riches en caféine). L’étude, publiée dans la revue Rheumatology suggère que la caféine, présente dans le café mais également dans le thé et le cacao, aide activement les cellules progénitrices endothéliales, des cellules impliquées dans le renouvellement de la paroi des vaisseaux sanguins et dans la croissance vasculaire.
Des nucléosides spécifiques, présents dans certains aliments, entravent la réplication des cellules tumorales, révèle cette équipe de biologistes de l’Université d'Osaka. Des travaux publiés dans la revue PLoS ONE qui laissent espérer plus largement, d’autres avantages de ces acides nucléiques alimentaires.
Laitance de saumon, levure, des composés dérivés de leur ADN ont des effets contre la croissance des cellules cancéreuses.
Cette étude, publiée dans la revue Nutrients, lance un signal d'alarme aux parents, aux pédiatres et aux décideurs politiques face aux allégations trompeuses concernant les aliments pour bébés, et, dans la réalité, face à leur composition majoritairement non conforme aux besoins nutritionnels du petit enfant. Ainsi, l’équipe de biologistes et de nutritionnistes du George Institute for Global Health (Sydney) révèle que -sur le marché américain du moins- 60 % des aliments pour nourrissons et tout-petits ne répondent pas aux recommandations nutritionnelles.
Le régime végétarien plus efficace que le régime méditerranéen pour maintenir un poids de santé ou perdre du poids et réduire l’inflammation ? C’est ce que suggère cette équipe d’experts du Physicians Committee for Responsible Medicine (Washington) qui conseille, dans la revue Frontiers in Nutrition, d’adopter de préférence un régime végétarien à faible teneur en matières grasses.
Ce régime réduit en effet de 73 % les composés alimentaires inflammatoires nocifs appelés produits finaux de glycation avancée (AGE : advanced glycation end-products) de 73 %, par rapport au régime méditerranéen.
Ces endocrinologues et biologistes de la Harvard T.H. Chan School of Public Health identifient un lien significatif entre le fer héminique, présent dans la viande rouge et d'autres produits d'origine animale, et le risque de diabète de type 2. Leur étude, publiée dans la revue Nature Metabolism, qui montre aussi que le fer non héminique -présent dans les aliments d'origine végétale- n'est pas associé au risque de diabète de type 2.
Déjà documenté comme bénéfique à la longévité en population générale, le régime méditerranéen se révèle particulièrement associé à ce risque plus faible de mortalité, chez les survivants du cancer. Ainsi, l’adhésion à ce régime alimentaire après un diagnostic de cancer est associée à une forte réduction de la mortalité, notamment due aux maladies cardiovasculaires. Cette étude italienne menée par une équipe de chercheurs de l’Istituto Neurologico Mediterraneo Neuromed (I.R.C.C.S.),
Cette revue de la littérature, menée à l'Université George Washington, confirme de nombreux liens entre la consommation de légumineuses et des résultats positifs pour la santé, en particulier dans la gestion du diabète de type 2. Elle confirme également les effets des légumineuses sur les principaux biomarqueurs cardiovasculaires, tels que le cholestérol LDL et le cholestérol HDL. Prises ensemble, ces conclusions, présentées dans la revue Nutrients, sont favorables à l'augmentation de la consommation de légumineuses dans le cadre d’une alimentation saine et en particulier en cas de diabète.
Les diététiciens-nutritionnistes développent-ils des préjugés ou des obsessions quant à leur propre poids ou celui de leurs patients ? Cette étude britannique, basée sur un sondage, à paraître dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics révèle en effet une stigmatisation importante liée au poids de et chez ces professionnels de santé, à la fois envers eux-mêmes et envers les autres, dont leurs patients.
Cette étude de biologistes de l’Institut Riken (Japon) aboutit à une découverte importante : les antigènes alimentaires comme les protéines du lait contribuent à empêcher les tumeurs de se développer dans nos intestins, en particulier l'intestin grêle. Des expériences, menées chez la souris et présentées dans la revue Frontiers in Immunology montrent comment ces protéines déclenchent et stimulent le système immunitaire intestinal, l’engageant à stopper la croissance tumorale.
Cette équipe de nutritionnistes et de neuroscientifiques de l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign suggère que consommer plus d'aliments à base de soja pourrait améliorer plusieurs capacités cognitives, dont l’attention, la réflexion et la concentration, notamment chez les enfants. La recherche, présentée lors du Congrès Nutrition 2024 de l’American Society for Nutrition (ASN) met en lumière de nouveaux avantages des isoflavones, des flavonoïdes très présents dans les aliments à base de soja..
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