Les femmes enceintes déficientes en vitamine D pont un risque accru de donner naissance à des enfants obèses, relève cette recherche de l’University of Southern California qui suggère que chez ces mères, une supplémentation en vitamine D pendant la grossesse pourrait contribuer à endiguer l'obésité infantile. Cependant, alors qu’un excès de vitamine D peut entrainer des dommages au cœur, aux vaisseaux sanguins et aux reins, ces conclusions à paraître dans la revue restent sous réserve de confirmation d’autres essais cliniques.
Régime pauvre en graisses ou faible en glucides ? Cette étude de l'université de Stanford tente de démêler le vrai du faux et répond : les deux régimes fonctionnent bien ! Cette étude bien menée, présentée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), apporte des conclusions de bon sens : les deux régimes peuvent bien fonctionner, tout dépend de l’adhésion des patients.
L’hypertension artérielle touche pas moins d'un milliard de personnes dans le monde et constitue le facteur majeur de maladie cardiovasculaire. Or un apport accru de yaourt pourrait permettre de réduire, de manière « naturelle », par l’alimentation, le risque de maladie cardiovasculaire chez les patients souffrant d’hypertension artérielle (HTA). Ces données, présentées dans l’American Journal of Hypertension confirment les résultats de précédentes études documentant les effets bénéfiques de la consommation de produits laitiers sur la santé cardiovasculaire.
Des efforts sont nécessaires pour exploiter le potentiel des nutraceutiques, souligne cette revue de la littérature de l'Université de Naples Federico II. Car si la demande est croissante pour ces produits considérés par le grand-public comme à mi-chemin entre les produits pharmaceutiques et l’alimentation et bénéfiques pour la santé, leur définition et leur potentiel restent à préciser. Cet examen présenté dans le British Journal of Clinical Pharmacology y contribue et aborde la question d'une réglementation claire permettant d’assurer leur utilisation en toute sécurité.
C’est une nouvelle analyse des données de l’étude française NutriNet Santé qui nous est proposée dans le British Medical Journal. L’analyse révèle une association entre les aliments ultra-transformés (pains et gâteaux industriels, boissons gazeuses et plats cuisinés…) et le risque de cancer, en particulier, de cancer du sein, chez les femmes ménopausées.
Ici, les aliments sont considérés comme « ultra-transformés » au sens de la classification NOVA qui classe les aliments en fonction de la nature, le degré et l’objectif de leur transformation.
La vitamine D3 (cholécalciférol) pourrait contribuer à prévenir les dommages cardiovasculaires, suggère cette étude de l'Université de l'Ohio. Un peu plus de lumière du soleil ou une petite supplémentation (?) pourrait même aider à restaurer les dommages cardiovasculaires. L’étude, présentée dans l’International Journal of Nanomedicine montre précisément que la vitamine D3 produite naturellement par l'organisme lorsque la peau est exposée au soleil peut restaurer de manière significative les dommages au système cardiovasculaire causés par plusieurs maladies, dont l'hypertension, le diabète et l'athérosclérose.
Rien de mieux que les acides gras oméga-3 présents « au naturel » dans les poissons gras pour la prévention du cancer, conclut cette étude de l’Université de Guelph. Les conclusions, présentées dans le Journal of Nutritional Biochemistry confirment en effet la supériorité anticancéreuse de ces oméga-3 en regard de l’huile de graines de lin (cameline) ou d’autres.
Il existe 3 types d'acides gras oméga-3 : l'acide alpha-linolénique (ALA), l'acide eicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA).
Les fibres alimentaires protègent contre l'obésité et le syndrome métabolique, confirme cette étude de la Georgia State University. Mais ici, l’équipe décrypte le processus sous-jacent à cet effet bénéfique : c’est en restaurant l'expression de la protéine interleukine-22 (IL-22), que les fibres fermentescibles favorisent cette croissance de « bonnes » bactéries dans le côlon et peuvent empêcher le développement du syndrome métabolique induit par un régime riche en graisses.
Le régime alimentaire MIND (Mediterranean-DASH Diet Intervention for Neurodegenerative Delay) ne porte pas son nom pour rien. Cependant s’il est composé en particulier d’aliments qui favorisent la santé du cerveau, cette étude de la Rush University présentée à la Conférence internationale de l'American Stroke Association va plus loin dans ce bénéfice : MIND permet aussi de ralentir le déclin cognitif chez les survivants d’AVC.
Les boissons énergisantes contiennent des composés excitants comme la caféine, la taurine, et/ou des vitamines… Cette étude de l'Université de Waterloo, présentée dans le Canadian Medical Association Journal Open, révèle des effets négatifs sur le rythme cardiaque chez plus de la moitié des jeunes et des jeunes adultes canadiens qui consomment régulièrement ce type de boissons. Difficultés à s’endormir, maux de tête, nausées, vomissements, diarrhée, douleurs thoraciques et convulsions, les symptômes associés sont multiples et fréquents.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |