Ces chimistes de McMaster (Canada) ont développé ce test infaillible à « suivre » les graisses que nous mangeons : il s’agit d’un test sanguin fiable et précis qui permet de suivre l'apport individuel en graisses. Précisément, à partir d’une goutte de sang, ce dispositif détecte les acides gras non estérifiés (NEFAs : non-esterified fatty acids) ou acides gras libres ou circulants.
Cette méta-analyse d’une équipe internationale de nutritionnistes indiens, japonais et slovaques réaffirme toute l’importance du régime alimentaire dans le risque et la pathogenèse de l’insuffisance cardiaque et l’infarctus du myocarde. A nouveau, ces données présentées dans l’ Open Inflammation Journal mettent en avant l’effet anti-oxydant et anti-inflammatoire des régimes de type méditerranéen.
Le rôle du régime alimentaire dans la pathogenèse de la dysfonction cardiaque reste à préciser.
Cette étude de l’Université Anglia Ruskin (Cambridge) menée sur l’association entre la vitamine D et la maladie COVID-19 confirme la relation à partir de l'analyse de données épidémiologiques de 20 pays européens : de faibles niveaux de vitamine D apparaissent en effet associés à un nombre de cas et des taux de mortalité à COVID-19 plus élevés. Ces résultats, présentés dans la revue Aging Clinical and Experimental Research, sont en ligne avec de précédentes études d’observation ayant déjà signalé une association entre de faibles niveaux de vitamine D et une sensibilité accrue aux infections aiguës des voies respiratoires.
Ce sont ces aliments courants dans les régimes alimentaires de patients atteints de maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) que révèle cette étude de la Georgia State University qui devraient donc être évités. L'enquête présentée dans la revue PLoS ONE confirme l’association entre malbouffe et maladie inflammatoire de l'intestin.
La maladie inflammatoire chronique de l'intestin, caractérisée par une inflammation chronique du tractus gastro-intestinal, affecte plus de 10 millions d'adultes dans le monde, sous la forme de 2 grands types d'affections, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.
Le thé vert peut réellement apporter un coup de pouce dans la perte de poids, confirme cette méta-analyse d’endocrinologues du Jinan Municipal Hospital of Traditional Chinese Medicine. A partir de l’analyse des données de 26 essais contrôlés randomisés, l’équipe documente, dans la revue Phytotherapy Research, les avantages d’une consommation régulière de thé vert pour la perte de poids et la réduction du tour de taille et suggère que la boisson devrait être combinée à une alimentation équilibrée et la pratique régulière de l’exercice physique dans la prise en charge des patients atteints de surpoids et d’obésité.
Le café est l'une des boissons les plus populaires au monde et le stimulant le plus utilisé. Mais comment le préparer et le consommer ? Surtout lorsqu’on en consomme de grandes quantités ? Ces cardiologues nous apportent quelques conseils sur sa préparation dans l’European Journal of Preventive Cardiology, de manière à préserver sa santé, cardiovasculaire en particulier.
L’étude apporte des données solides sur les avantages de l’utilisation d’un filtre, qui réduit le risque d’infarctus notamment, le café non filtré contenant des substances qui augmentent les niveaux de cholestérol sanguin, écrivent ces auteurs du Norwegian Institute of Public Health.
Plus de 40 millions d'enfants sont atteints d’obésité, et c’est aussi le cas de plus de 650 millions d'adultes dans le monde. La découverte de cette « protéine de l’obésité » va permettre de développer de meilleurs traitements, soutient, dans la revue Science, cette équipe de l’Université de Californie du Sud. Elle rappelle que l’obésité déjà documentée comme responsable de nombreuses comorbidités est aussi un facteur majeur de sévérité de la pneumonie COVID-19.
Face à la pandémie COVID-19 l’accent a été mis sur les stratégies de distanciation et la recherche de vaccins et de traitements. Peu d’études ont encore porté sur les mesures de mode de vie, pratique de l’exercice ou alimentation qui, en boostant notre immunité, peuvent également permettre de repousser l’infection. Pourtant, certaines vitamines, minéraux et acides gras spécifiques ont un rôle clé à jouer pour aider notre système immunitaire à lutter contre COVID-19.
Si la promesse peut apparaître un peu « simplette », c’est pourtant celle de cette très sérieuse équipe de médecins nutritionnistes de l'Université du Queensland qui publient leur recommandation dans l’American Journal of Clinical Nutrition : Adhérer au régime végétarien « traditionnel » réduit le risque de naissance prématurée.
L’équipe australienne analyse ici le régime alimentaire de près de 3.500 femmes et constate qu’une consommation élevée de carottes, de chou-fleur, de brocoli, de citrouille, de chou, de haricots verts et de pommes de terre avant même la conception du bébé a accru de manière significative les chances de mener la grossesse à terme.
Ce n’est pas la première étude à suggérer un lien puissant entre nutrition et cognition : cette analyse récente des données de 2 études importantes portant sur les maladies oculaires, montre que l'adhésion au régime méditerranéen, riche en légumes, en grains entiers, en poisson et en huile d'olive est corrélée avec une fonction cognitive plus élevée. Les facteurs alimentaires semblent également jouer un rôle dans le ralentissement du déclin cognitif.
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