Cette étude passionnante du Scripps Institute (La Jolla) révèle comment une température corporelle réduite joue un rôle clé dans l'initiation des bienfaits pour la santé des régimes hypocaloriques. L’étude, présentée dans la revue Science Signaling montre que si réduire son apport calorique de manière significative n'est pas une tâche facile pour la plupart d’entre nous, la restriction calorique apporte une foule d'avantages pour la santé allant d'une durée de vie plus longue à une réduction considérable du risque de cancer, de maladie cardiaque, de diabète et de maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer.
Une étude de la Cornell University (New York) décrypte le rôle clé d’un composant lipidique encore peu documenté du lait maternel, montre comment ces sphingolipides contribuent à façonner le microbiome des nourrissons et propose une nouvelle technique pour suivre les nutriments, leurs métabolites et leurs interactions avec le microbiote. Ces travaux, menés chez la souris et présentés dans le Journal of Lipid Research contribuent aussi à expliquer pourquoi les microbiomes intestinaux des nourrissons allaités diffèrent considérablement de ceux des nourrissons nourris au lait maternisé.
Cette revue des études scientifiques existantes sur les régimes à la mode de type jeûne intermittent, ou kéto, menée par une équipe du National Jewish Health a regardé quels étaient, au-delà des modes et à long terme, les bénéfices de ces régimes pour la perte de poids et la santé métabolique et cardiovasculaire. L’étude conclut à des résultats positifs avec même un résultat surprenant : ces régimes permettent également la consommation d'aliments pourtant connus pour augmenter le risque cardiovasculaire.
La vittamine D : une supplémentation bénéfique pour le microbiome intestinal d'un bébé et associée à des changements positifs observables à l'âge de 3 mois, c’est la conclusion de cette analyse de l'Université de l'Alberta qui décrypte dans la revue Gut Microbes, certains effets positifs et préventifs de la supplémentation en vitamine D contre certaines maladies chroniques et virales, plus tard dans l'enfance.
Les aliments végétariens ne sont pas tous « sains » ou bénéfiques à la santé au même niveau, relève cette étude présentée au Congrès digital ESC 2020. L’étude met ainsi en évidence une qualité nutritionnelle variable des aliments végétaux : ainsi la préférence pour plus d'aliments à base de plantes et moins de produits d'origine animale ne conduit pas toujours à une meilleure santé.
Cette étude d’une équipe de nutritionnistes de l’Université d'Alabama à Birmingham (UAB) confirme tous les bénéfices, cette fois chez des personnes âgées souffrant d’obésité, d’un régime de 8 semaines, pauvre en glucides. L’étude, publiée dans la revue Nutrition and Metabolism montre qu’un tel régime, au-delà de la perte de poids attendue, permet des améliorations de la composition corporelle, de la distribution des graisses et de la santé métabolique mais sans « toucher » à la masse musculaire.
Cette recherche d’une équipe de l’Edith Cowan University montre que certains légumes, et pas toujours nos préférés, sont peut-être les plus bénéfiques pour prévenir les maladies vasculaires. Le brocoli et les choux de Bruxelles se révèlent ici, dans le British Journal of Nutrition, des aliments cruciaux pour la santé des vaisseaux, en combattant naturellement contre l’accumulation de calcium, un marqueur clé du développement de l’athérosclérose, un facteur majeur d’événement cardiaque.
Aux seuls Etats-Unis, plus de 40 millions de personnes souffrent d'ostéopénie, une maladie osseuse qui conduit souvent à l'ostéoporose. Cette analyse des données de la National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES) montre, dans la revue PLoS ONE, tout l’impact des carences en calcium et en vitamine D sur le risque d'ostéoporose. Un impact particulièrement élevé chez les groupes de population à plus faibles revenus, en raison d’un apport nutritionnel moins diversifié et insuffisant en ces nutriments essentiels pour la santé des os.
Cette équipe de l’Université de l'Illinois à Chicago (UIC), montre, avec cette étude présentée dans la revue Cell Metabolism, que les régimes basés sur le jeûne intermittent sont efficaces pour la perte de poids. 2 régimes de jeûne intermittent basés sur le principe de « l’alimentation restreinte » à une plage de temps limitée, sont ici évalués.
Le jeûne intermittent -ou l’alimentation « calée » plus tôt dans la journée ou encore sur une plage de temps restreinte, synchronisée au mieux avec notre horloge biologique -et notre activité- a déjà démontré sa capacité à réduire l'appétit et à améliorer la combustion des graisses.
La prévalence de la maladie du foie gras est de 25% dans le monde, ce qui en fait la principale cause de maladie chronique du foie, la principale cause de cirrhose et de cancer du foie. L'exercice aérobie pourrait résoudre à lui-seul la maladie du foie gras, mais voilà, pour cela, un engagement à long terme et même à vie est nécessaire.
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